message posté le 7 juil 2011 à 17h32
et j'ai retenue quelque passage important de cette article
Cette tendance à la multiplication des utilisations de GSM rencontre de manière évidente les intérêts des différents opérateurs de téléphonie mobile. Celle-ci est devenue en un temps record un secteur économique important. Apparemment, ce mouvement peut perdurer. Sans problème ?
ce passage de l'article servira avec un autre de justifier le danger des ondes électromagnétique.
Les communications par GSM se font via la propagation d’ondes électromagnétiques transmises entre les GSM et des antennes relais. En conséquence, plus il y a usage de GSM, plus il y a d’antennes relais. Chacune d’elles permet de recouvrir une zone, une superficie donnée. Afin de proposer un service qu’il veut efficace, chaque opérateur vise à couvrir tout le territoire belge par un ensemble d’antennes.
ce passage de l'article ma frapper et ma questionner un peu, sur cette (grosse) problématique " pourquoi utilisé des ondes encore plus dangereuse que se qu'il y a déja et pourquoi doublé voir triplé l'exposition des citoyens a ces ondes ? ", lisez cette sitation :
Dès lors, de plus en plus d’habitations et d’espaces de vie se retrouvent à proximité d’une antenne relais. Il faut aussi tenir compte pour l’avenir des nouveaux réseaux en cours de déploiement. Ils sont liés à l’exploitation du système de communication mobile de la troisième génération souvent appelé UMTS (Universal Mobile Telecommunications System). Ces nouveaux développements technologiques contribuent à augmenter l’exposition des individus aux champs électromagnétiques.
sur la suite il est dit que
Les possesseurs de GSM apprécient d’être atteignables à tout moment, n’importe où, sans la contrainte d’un poste fixe et d’un câble. Un GSM permet de parler sans empêcher la liberté de mouvement. Les opérateurs se servent d’ailleurs de cet argument pour promouvoir l’utilisation des GSM : «Etre mobile ? C’est pouvoir se rendre librement partout ! Et pour «...», le téléphone mobile a aussi cet accent de liberté : communiquer quand on veut, comme on veut et où que l’on soit.» Par contre, les riverains eux n’apprécient pas toujours que les antennes relais soient implantées près de chez eux. Ils expriment des inquiétudes par rapport aux conséquences de ce voisinage sur la préservation du paysage ou sur leur santé. «… La population est donc divisée entre le groupe qui aimerait ne pas avoir d’antennes GSM dans les environs et le groupe qui utilise le téléphone cellulaire comme outil de travail ou comme lien télécom principal. Cela démontre bien une attitude contradictoire au sein de la population qui n’aimerait pas voir d’antenne dans leur jardin mais qui voudrait une qualité de couverture maximale. Il s’agit de ce qu’on appelle communément l’attitude Nimby» (not in my backyards - Pas dans mon jardin).
après tout chacun aura sont opinions la dessus ...
et la voici le cauchemar subit par une famille :
Au-delà, la question essentielle est celle de la qualité de vie et des nuisances pour la santé dues à l’exposition continue à des radiations électromagnétiques non ionisantes (rayonnements insuffisamment énergétiques pour rompre les liaisons intramoléculaires. Au contraire des rayons ionisants, comme les rayons X). Les riverains des antennes relais sont exposés aux ondes qu’elles émettent.
«Dans la chambre de sa fille, Michel oriente le voltmètre vers l’antenne GSM à portée de regard, en périphérie bruxelloise. Selon l’orientation, les chiffres scintillent sur l’écran de son appareil et affichent une exposition de 3 volts par mètre. Nous sommes peutêtre en deçà de la norme autorisée en Belgique, constate Michel, mais ma fille se plaint de maux de tête depuis que cette antenne existe… Qualité de vie ? Notre diplomate songe à revendre sa maison face à l’inamovible antenne qui le tourmente. La moindre des choses serait d’implanter ce type de relais hors des zones habitées. J’en ai compté une vingtaine rien que dans ma commune.»
voici une définition tres simple, qui se trouvait a la page de l'article
Tout être vivant qui se trouve dans le champ de propagation des ondes y est exposé, d’autant plus qu’il est proche de la station émettrice. A partir de quelle distance d’une antenne relais, peut-on séjourner sans danger ? A quelle puissance de champ électromagnétique peut-on être exposé sans péril? Les puissances des antennes relais sont variables. Certaines sont de plus grande puissance, souvent implantées à plusieurs kilomètres d’intervalle ; d’autres sont de moindre puissance et généralement distantes de quelques centaines de mètres. «Encore faut-il prouver qu’il vaut mieux être soumis de manière permanente à une irradiation faible que subir des rayonnements plus importants de manière ponctuelle». (4) Les rayonnements non ionisants ont des effets de deux types sur les vivants : des effets thermiques et des effets non thermiques. Les effets thermiques sont plus connus, ils sont caractérisés par un échauffement des tissus vivants. Certaines recommandations scientifiques par rapport à l’exposition aux ondes ne tiennent compte que de ces effets et ne visent à protéger que contre eux. Néanmoins, d’autres scientifiques relèvent des effets non thermiques à des intensités d’exposition très faibles et préconisent en conséquence des normes plus sévères. Les effets non thermiques qu’ils mettent en avant sont de la fatigue, des insomnies, de la somnolence, des difficultés de concentration, des nausées, de l’anorexie, des effets cardiovasculaires.
Des normes d’exposition sont préconisées par diverses instances. Elles ne sont pas identiques. Des pays ont légiféré, en mettant les interdictions d’exposition à des niveaux différents. Par exemple, dans notre pays, en mars 2005, le Conseil supérieur d’hygiène (CSH) a émis un avis au Ministre fédéral de la santé publique. Celui-ci indique au Parlement qu’il maintiendra probablement la norme en vigueur précédemment et en cela ne suivra pas l’avis du CSH qui recommande une norme d’exposition plus sévère. La norme reconnue par le Ministre est elle-même plus contraignante que celle de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Clairement, on se trouve devant une incertitude scientifique et une absence de consensus scientifique à propos des nuisances et des dangers provoqués par une exposition à des rayonnements non ionisants quand ils sont faibles. Certaines études donnent des résultats contradictoires. Les données scientifiques ne permettent pas actuellement d’apprécier précisément la menace que constitue une telle exposition à des effets non thermiques. Quant aux opérateurs, ils n’y voient, eux, aucun problème. C’est ainsi qu’on peut lire sur le site de Proximus :
«En conclusion, les recherches les plus récentes n’ont pas permis de démontrer un quelconque danger pour l’être humain des émissions générées par la mobilophonie…».
il y a un principe de précaution, et ici il est expliquer :
Le principe de précaution est de mise face aux incertitudes scientifiques.Le principe de précaution, ce n’est pas avoir peur de tout, refuser tout risque. Le principe de
«Nous ferons grand cas de ce qu’on appelle le “principe de précaution”. Doit-on, en effet, attendre d’avoir la preuve complète et irréfutable d’un danger pour le prendre au sérieux ? Si vous voyez de la fumée dans votre cuisine, vous vous alarmez avant d’avoir la certitude absolue qu’il y a le feu…».
précaution ne repose pas sur des émotions ; il consiste à prendre les décisions les plus sages face à
l’incertitude scientifique sur la cause, la probabilité, la nature et la grandeur d’un danger.
En appliquant le principe de précaution, on agit avant un dommage possible plutôt qu’après un
dommage survenu. Des mesures sont alors prises pour éviter un danger scientifiquement plausible
mais incertain, un danger inacceptable. C’est-à-dire un danger qui
«est menaçant pour la vie ou pour la santé humaine, ou bien grave et réellement irréversible, ou bien inéquitable pour les générations présentes ou futures, ou bien imposé sans qu’aient été pris dûment en compte les droits humains de ceux qui le subissent».
c'etait une réponse dite " technique " justifier avec un article assez complet, pour répondre aux problèmes des antenne relai GSM