[citer a]Batteur (à oeufs)[citer]Un autre exemple: mon frère avocat travaille au Centre-Ville de Montréal, et il habite une maison à Dorion (30 minutes à l'ouest de la ville)! Avant, il avait un appartement au Centre-Ville et il marchait pour se rendre au boulot, ensuite il s'est trouvé un meilleur appartement (avec son nouveau bébé) à Lachine (15 minutes du C-V)! On voit que la banlieutisation de la population fait augmenter le nombre de voitures sur les routes ainsi que le temps que ces voitures demeurent sur ces routes![/citer]
Je reste en banlieue (Ste-Thérèse, 30 min au nord de Mtl), et je n'ai pourtant pas de voiture... Le train de banlieue de même que le transport en commun remplissent amplement mes besoins. Ton frère est très paresseux de prendre sa voiture pour se rendre au boulot, surtout que Lachine n'est pas vraiment une banlieue à mon sens!!!
[citer a]Batteur (à oeufs)[citer]Néanmoins, moi, j'habite en banlieue! Pour aller en ville, j'ai le choix soit de prendre l'autobus et d'y être dans une heure, ou de prendre mon char et d'y être en 17 minutes!!! Le temps, c'est de l'argent, et ceux qui ont les moyens vont toujours privilégier le moindre temps! [/citer]
Le problème, c'est que tu restes à Québec, et que Québec est la ville avec la plus grande quantité d'autoroutes par habitant en Amérique du Nord. La ville s'est développée autour de ça, laissant le transport en commun pour les pauvres, les étudiants et les personnes âgées. La journée où le TEC sera vraiment une alternative pour les Québec-citéens (comme à Montréal), cette situation absurde que tu décris ne sera plus la norme.
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Einstein, maire virtuel de régions non-terminées
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