message posté le 13 fév 2008 à 18h54édité le 13 fév 2008 à 19h16 par yarabundi [membre]
D'abord, le lien
J'en ai parlé dans le fil consacré à nos lectures mais je crois que je vais ouvrir ici un nouveau fil car je crois que ce livre et les connaissances historiques entourant la soi-disante découverte des Amériques par les Européens est fortement remise en question ici ( voire complètement remise en question !! )
L'auteur de ce livre émet des théories qui risques de se vérifier dans les décénnies à venir. Selon lui, trois amiraux chinois auraient reçu en 1421 la mission d'aller à la découverte du monde et auraient entre 1421 et 1423 pratiquement fait le tour du monde ayant découvert les trois Amériques -autant le long du littoral atlantique que pacifique -ils seraient même remontés jusqu'en Colombie-Brittanique !! auraient découvert l'Australie, la Tasmanie, la Nouvelle-Zélande.
Ils seraient partis de Chine avec une flotte de plusieurs centaines de vaisseaux dont ceratins qualifiés par l'auteur de "vaisseaux-trésors" étaient remplis des plus riches objets que les Chinois souhaitaient troquer avec les peuples qu'ils risquaient de rencontrer (ils auraient entre autre rencontré les Incas au Pérou et les Mayas au Mexique ; les Aborigènes d'Australie ; des peuples Maoris en Nouvelle-Zélande et peut être même dans certaines îles de la Polynésie Française, de nombreux peuples des nations amérindiennes d'Amérique du Nord, etc...).
Ils auraient emportés avec eux des plantes indigènes d'Asie qui n'existaient pas à l'état naturelles dans les Amériques par exemple et dont les premiers explorateurs européens confirment la présence dans le Nouveau Monde et le contraire aussi : des voyageurs européens constatent la présence du maïs en Chine au 15ième siècle alors que cette céréale n'est pas indigène de l'Asie.
Avant de quitter l'Asie, la flotte devait raccompagner chez eux des ambassadeurs de pays avec lesquels la Chine avait des relations économiques et politiques. Dans chaque port d'Asie où la flotte s'arrêtait, on invitait des commerçants à se joindre à la flotte si bien que lorsque cell-çi s'engagea en direction de l'Afrique, elle était composée de navires venant du Laos, du Viet-Nam, des l'Inde, etc... C'est donc une flotte multi-nationale qui s'est engagée dans ce périple de deux ans !!
Les mers étant difficiles et le plus souvent dangeureuses pour ces aventuriers, des douzaines de navires ont coulés, des dizaines d'autres se sont échoués ici et là et leurs équipages ont fondé des colonies autant en Océanie que dans les Amériques.
Selon l'auteur, seul 10% de la flotte est revenue en Chine. Conséquemment, il y a un potentiel de découverte de centaines d'épaves de tous ces navires pratiquement partout sur la planète.
Ses recherches lui ont permis de trouver des documents européens d,Époque dans lesquels des explorateurs confirment avoir visité des colonies du Nouveau Monde où les habitants parlaient le chinois.
Des comparaisons entre des mots des langues autochtones du Nouveau Monde et le chinois du 15ième siècle a permis de découvrir des similitudes surprenantes.
Des testes d'ADN ont également permis de trouver des particularités génétiques spécifiques au Chinois dans le code génétiques de peuples américains ou océaniens -peuples dont la position géographique rend très probable la possibilité ques les courants marins aient poussé les Chinois sur des rivages les permettant de s'installer -voire de se mêler- avec les peuples présents sur ces terres !!
Vous trouverez sur ce site, des cartes interactives vous permettant de mieux comprendre les prétentions de l'auteur.
Ce sont justement ces cartes-là que l'auteur publie sur son site qui auraient permis au Européens (Christophe Colomb le premier) de naviguer avec une très grande certitude et avec l'assûrance de trouver ce qu'ils ont finalement trouvé.
J'en ai parlé dans le fil consacré à nos lectures mais je crois que je vais ouvrir ici un nouveau fil car je crois que ce livre et les connaissances historiques entourant la soi-disante découverte des Amériques par les Européens est fortement remise en question ici ( voire complètement remise en question !! )
L'auteur de ce livre émet des théories qui risques de se vérifier dans les décénnies à venir. Selon lui, trois amiraux chinois auraient reçu en 1421 la mission d'aller à la découverte du monde et auraient entre 1421 et 1423 pratiquement fait le tour du monde ayant découvert les trois Amériques -autant le long du littoral atlantique que pacifique -ils seraient même remontés jusqu'en Colombie-Brittanique !! auraient découvert l'Australie, la Tasmanie, la Nouvelle-Zélande.
Ils seraient partis de Chine avec une flotte de plusieurs centaines de vaisseaux dont ceratins qualifiés par l'auteur de "vaisseaux-trésors" étaient remplis des plus riches objets que les Chinois souhaitaient troquer avec les peuples qu'ils risquaient de rencontrer (ils auraient entre autre rencontré les Incas au Pérou et les Mayas au Mexique ; les Aborigènes d'Australie ; des peuples Maoris en Nouvelle-Zélande et peut être même dans certaines îles de la Polynésie Française, de nombreux peuples des nations amérindiennes d'Amérique du Nord, etc...).
Ils auraient emportés avec eux des plantes indigènes d'Asie qui n'existaient pas à l'état naturelles dans les Amériques par exemple et dont les premiers explorateurs européens confirment la présence dans le Nouveau Monde et le contraire aussi : des voyageurs européens constatent la présence du maïs en Chine au 15ième siècle alors que cette céréale n'est pas indigène de l'Asie.
Avant de quitter l'Asie, la flotte devait raccompagner chez eux des ambassadeurs de pays avec lesquels la Chine avait des relations économiques et politiques. Dans chaque port d'Asie où la flotte s'arrêtait, on invitait des commerçants à se joindre à la flotte si bien que lorsque cell-çi s'engagea en direction de l'Afrique, elle était composée de navires venant du Laos, du Viet-Nam, des l'Inde, etc... C'est donc une flotte multi-nationale qui s'est engagée dans ce périple de deux ans !!
Les mers étant difficiles et le plus souvent dangeureuses pour ces aventuriers, des douzaines de navires ont coulés, des dizaines d'autres se sont échoués ici et là et leurs équipages ont fondé des colonies autant en Océanie que dans les Amériques.
Selon l'auteur, seul 10% de la flotte est revenue en Chine. Conséquemment, il y a un potentiel de découverte de centaines d'épaves de tous ces navires pratiquement partout sur la planète.
Ses recherches lui ont permis de trouver des documents européens d,Époque dans lesquels des explorateurs confirment avoir visité des colonies du Nouveau Monde où les habitants parlaient le chinois.
Des comparaisons entre des mots des langues autochtones du Nouveau Monde et le chinois du 15ième siècle a permis de découvrir des similitudes surprenantes.
Des testes d'ADN ont également permis de trouver des particularités génétiques spécifiques au Chinois dans le code génétiques de peuples américains ou océaniens -peuples dont la position géographique rend très probable la possibilité ques les courants marins aient poussé les Chinois sur des rivages les permettant de s'installer -voire de se mêler- avec les peuples présents sur ces terres !!
Vous trouverez sur ce site, des cartes interactives vous permettant de mieux comprendre les prétentions de l'auteur.
Ce sont justement ces cartes-là que l'auteur publie sur son site qui auraient permis au Européens (Christophe Colomb le premier) de naviguer avec une très grande certitude et avec l'assûrance de trouver ce qu'ils ont finalement trouvé.
"Oncques ne fauldray...jamais ne faillira"
Homo Platoregimontis