vb2n a écrit A ma connaissance, dans le système coloniale, il n'y avait pas de droit de vote pour les indigènes, ni les même droits que pour les coloniaux. Souhaiter le retour d'un système ne respectant pas les Droits de l'Homme (Tous les Hommes naissent libre et égaux en droit) et dire défendre les Droits de l'Homme, c'est comme confier à la Lybie la tête de la Commission des droits de l'Homme à l'ONU htmCommission des droits de l'Homme à l'ONU C'est du grand n'importe quoi.
De toute façon les libyens n'ont pas le droit de vote alors qu'est que ça leur changera
et tu connais pas le second degré ? Si on faisait tout ce qu'on disait le monde serait pas pareil...
1. Dans les colonies, il peut y avoir le droit de vote, soit en donnant à certains indigènes le même droits que les coloniaux, soit en distribuant à une majorité un vote de seconde zone.
2. Les Libyens votent. d'ailleurs, officielement, la Libye est une démocratie directe ou selon la terminologie du régime "l'état des masses" (Jamahiriya). En réalité, c'est une véritable dictature.
Le 10 000ème messages du forum "dernier mot", c'est qui ? Bin c'est moi !!!
1. C'est pas moi qui est dit qu'on pouvait pas voté dans les colonies : j'en savais rien du tout en fait
2. Et bah ça conforte (plus ou moins) ce que je disais
Dans les colonies.... ou comment faire croire qu'un peuple est inapte à se gouverner lui-même.
Les occidentaux qui se croyent tout puissant et leur seuls à avoir raison.
Ca fait 1 millénaire qu'ils usent de cette pratique et qu'ils ont toujours pas compris que leurs méthodes sont loin, trèèèès loin d'être les meilleures. Elles sont même si loin que les adjectifs "pourris" et "inhumain" sont parfait pour les qualifier. (J'exagère évidemment un peu)
Le seul problème avec Khadafi, c'est qu'il a 2 otages. S'il n'avait pas ces otages, il n'aurait aucun moyen de faire pression. Ce que Khadafi fait, ca doit bien enfreindre une tonne de conventions.
Selon les chiffres parus dans "Le Matin Dimanche" et la "SonntagsZeitung", la cote de popularité de Hans-Rudolf Merz s'est effondrée de 31 points durant son année de présidence. Le ministre des Finances n'est soutenu que par 47% des Helvètes, contre 78% en février et 59% en juin.