Moi je me fous completement de tout ce tintouin, je veux juste que la France ne soit pas bloquée le 28 Octobre prochain histoire que je puisse aller à Paris.
maximussimo a écrit ...De plus, l'argument de la pénibilité est totalement bidon, car les métiers les plus "pénibles" bénéficient d'aménagements d'horaires, de suivis spécifiques etc.
Je prends l'exemple des dockers du port de Marseille : 15 h par semaine, examens médicaux chez un ostéopathe tous les mois, salaires plus qu'enviables, 5 semaines de congés payés avec un stress peu présent.
A comparaison, un cadre en entreprise est soumis à des horaires pas possible, du stress, des heures supplémentaires, pas toujours de CE et des objectifs à réaliser. Est ce qu'il vit mieux? Pas sur...
Ton exemple du docker de Marseille n'est peut être pas le plus représentatif de la situation Quand je vois les ouvriers sur le chantier qui bossent depuis leurs 18 ou 16 ans à ratisser de l'enrobé en respirant les vapeurs de goudrons, je me dis que ces personnes méritent largement la retraite à 60 ans, contrairement à moi par exemple. Ceci dit, je suis d'accord avec toi, les employés et cadres peuvent aussi vivre des conditions difficiles notamment à cause du stress et des cadences de travail infernales dépassant largement les 35H hebdomadaires.
"Les Alpes sont pour l'Isérois le raisin sec sur la polente, la cerise sur le gâteau."
Theo a écrit Moi je me fous completement de tout ce tintouin, je veux juste que la France ne soit pas bloquée le 28 Octobre prochain histoire que je puisse aller à Paris.
Pas de danger de ce côté là. Le 28, ce sont les vacances
J'ai tapé sur le PS pour la reforme des retraites, mais je dois souligner que j'adhère totalement à une proposition d'un membre du PS qui propose comme le font les Etats Unis un impôt internationnal permetant de rendre imposables les exilés fiscaux.
La réforme des retraites d'accord, dans la mesure du possible, mais là où le bât blesse, c'est le montant de certaines retraites. Bosser pendant des années pour en fin de compte toucher 700 euros par mois comme beaucoup trop de gens, c'est tout bonnement scandaleux.
Orange a écrit J'ai tapé sur le PS pour la reforme des retraites, mais je dois souligner que j'adhère totalement à une proposition d'un membre du PS qui propose comme le font les Etats Unis un impôt internationnal permetant de rendre imposables les exilés fiscaux.
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Le problème, c'est l'international.
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Ma vie, ma ville Toulouse Ici, on vient chercher l'image d'une brandade fière de l'être...
"La censure, quelle qu'elle soit, me paraît une monstruosité, une chose pire que l'homicide ; l'attentat contre la pensée est un crime de lèse-âme" Gustave Flaubert (1821-1880).
Orange a écrit J'ai tapé sur le PS pour la reforme des retraites, mais je dois souligner que j'adhère totalement à une proposition d'un membre du PS qui propose comme le font les Etats Unis un impôt internationnal permetant de rendre imposables les exilés fiscaux.
Totalement irréalisable. Il y aura toujours UN pays qui ne voudra pas le faire, et qui touchera le pactole
A priori cela fonctionne aux USA donc... par contre je n'ai trouvé que cela comme info :
"Nouvel. Obs. - Vous proposez aussi de taxer les exilés fiscaux. Mais comment ? Jérome Cahuzac. - Nicolas Sarkozy veut déchoir de leur nationalité certains délinquants. Il ferait mieux de la rappeler aux exilés fiscaux. Pourquoi ne pas réfléchir à la mise en place d'un impôt mondialisé pour les citoyens français ? Cela existe pour les citoyens nord- américains redevables de l'impôt fédéral aux Etats-Unis, quel que soit leur lieu de résidence. Ce ne serait pas plus compliqué que de tenter de faire avaliser par le Conseil constitutionnel des dispositions juridiquement très contestables sur la déchéance de nationalité. C'est, évidemment, à expertiser soigneusement, notamment pour éviter toute double imposition des expatriés, qui vivent de leur travail et qui paieraient alors leurs impôts en France. Mais, en matière fiscale, pourquoi ne pas privilégier la nationalité française, et non plus le lieu de résidence, hors de France, à fiscalité faible ou nulle ? Le chef de l'Etat juge la question de la nationalité d'actualité. Il est alors légitime de se la poser en matière fiscale."