message posté le 8 déc 2012 à 13h15
Pendant ce temps à Bruxelle.
L'UE va en gros considéré tous les concurrents plus petit comme des paradis fiscaux, si les impôts sont plus bas. En fait, si comme si la Suisse avait encore 2-3 cantons avec des impôts régressifs et qu'elle allait obliger les autres à abolir ce principe....
L'autre soir, un politicien a émit les mêmes doutes que j'ai émis l'autre jour: son entêtement avec la Suisse. Comme si on était responsable des dizaines de centaines de milliards de dollars de dettes de l'UE:
Travail au noir et % PIB (pertes fiscales en milliards d'€) :
en Grèce : 25,1%; (40)
en Espagne, 20% (200)
au Portugal 20% : (40)
en Italie : 20%; (320)
en France : 11,8% (200)
aux États-Unis : 7,2% (1000 milliards $)
Par exemple pour la France, ces 200 milliards permettrait de combler le déficit annuel et de renflouer les caisse à hauteur de 40 milliards par an. Mais visiblement, c'est plus important de vouloir couler les autres qui n'ont pas de déficit pour gagner 5-10 milliards qui ne servent à rien.
Ou alors, l'UE et tous les pays du monde ayant une certaine puissance économique, se mettent d'accord sur le principe de: on gère nos impôts comme on veut, MAIS, impôts de minimum 5% pour les entreprises et 7% sur les salaire ou fortune.
Parce que dans le fond, on est tous d'accord que ça ne va pas d'avoir des entreprises qui paient très peu d'impôts, même si elles apportent du bons. Mais soit tout le monde le fait et respecte ces règles (l'UE ne respecte même pas ses propres règles qu'elles essaient d'imposer à la Suisse.... même la Corée du Nord est plus honnête...), soit personne. Personnellement, se mettre tous d'accord là dessus, ça serait la solution rêvée.... mais ça reste du rêve malheureusement.
Enfin bon, l'UE a choisi les bons politiciens pour l'amener à son but ultime: la faillite de la quasi totalité des pays du continent en rendant l'Europe tellement non concurrence, qu'aucune entreprise n'y viendra plus poser ses pieds. Il ne faut pas oublier que Londres et Genève sont les plaques tournantes de la bourse et du négoces en Europe. Et leur pire ennemie est Singapour. Mais visiblement, c'est une force de trop pour l'Europe, il faut s'en débarrasser au plus vite. Peut-être que ces gros vendus sont payés par d'autres pays qui eux ont un budget supérieur à 2€.
L'UE va en gros considéré tous les concurrents plus petit comme des paradis fiscaux, si les impôts sont plus bas. En fait, si comme si la Suisse avait encore 2-3 cantons avec des impôts régressifs et qu'elle allait obliger les autres à abolir ce principe....
L'autre soir, un politicien a émit les mêmes doutes que j'ai émis l'autre jour: son entêtement avec la Suisse. Comme si on était responsable des dizaines de centaines de milliards de dollars de dettes de l'UE:
Travail au noir et % PIB (pertes fiscales en milliards d'€) :
en Grèce : 25,1%; (40)
en Espagne, 20% (200)
au Portugal 20% : (40)
en Italie : 20%; (320)
en France : 11,8% (200)
aux États-Unis : 7,2% (1000 milliards $)
Par exemple pour la France, ces 200 milliards permettrait de combler le déficit annuel et de renflouer les caisse à hauteur de 40 milliards par an. Mais visiblement, c'est plus important de vouloir couler les autres qui n'ont pas de déficit pour gagner 5-10 milliards qui ne servent à rien.
Ou alors, l'UE et tous les pays du monde ayant une certaine puissance économique, se mettent d'accord sur le principe de: on gère nos impôts comme on veut, MAIS, impôts de minimum 5% pour les entreprises et 7% sur les salaire ou fortune.
Parce que dans le fond, on est tous d'accord que ça ne va pas d'avoir des entreprises qui paient très peu d'impôts, même si elles apportent du bons. Mais soit tout le monde le fait et respecte ces règles (l'UE ne respecte même pas ses propres règles qu'elles essaient d'imposer à la Suisse.... même la Corée du Nord est plus honnête...), soit personne. Personnellement, se mettre tous d'accord là dessus, ça serait la solution rêvée.... mais ça reste du rêve malheureusement.
Enfin bon, l'UE a choisi les bons politiciens pour l'amener à son but ultime: la faillite de la quasi totalité des pays du continent en rendant l'Europe tellement non concurrence, qu'aucune entreprise n'y viendra plus poser ses pieds. Il ne faut pas oublier que Londres et Genève sont les plaques tournantes de la bourse et du négoces en Europe. Et leur pire ennemie est Singapour. Mais visiblement, c'est une force de trop pour l'Europe, il faut s'en débarrasser au plus vite. Peut-être que ces gros vendus sont payés par d'autres pays qui eux ont un budget supérieur à 2€.
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