message posté le 22 fév 2010 à 07h47
Je commence ici un sujet qui risque d'âtre chaud. Libre aux modos de le laisser ouvert ou pas. Quoi qu'il en soit, je souhaite que tous le monde reste respectueux des opinions des autres.
Note. Ce sujet concerne la politique québécoise et non la politique française. Non pas que je ne m'intéresse pas a la politique française, mais plutôt que je voudrais éviter une digression en ce sens. Merci de bien vouloir respecter le cadre de cette discutions.
J'ai écris un courriel au Calmar concernant la gouvernance au Québec et j'ai envie d'avoir votre opinion et de vous partager la mienne. Voici la transcription (modifié pour rester politiquement correcte) de ce que j'ai écris au calmar. Je vous préviens tout de suite par contre, je me montre un peu virulent.
Je suis parfois dégouter du Québec lorsque je constate a quel point on s'en va droit dans un mur a force d'être dirigé par des politiciens de campagne incompétents, carriéristes, dont leur champ de vision ne dépasse pas le bout de leur nez. Pour être plus précis, je suis dégouté de par notre complaisance incommensurable par rapport au développement économique, social et environnementale de notre province. Et comme on le disait avec Antoine l'autre jour mitch, ces aspects se reflètent dans le life style de notre population : souvent nombriliste, peu soucieuse de l'avenir collectif et mal informés concernant les enjeux économiques, sociaux et environnementaux du Québec.
Pendant que les étudiants, les personnes agées, les syndicats, les fonctionnaires et tous les dépendants demandent au pourvoyeur gouvernemental plus d'argent, celui-ci s'endette et se retrouve de plus en plus dans une situation aussi catastrophique qu'une prostitués piégé dans des sables mouvant.
J'ai lu dans un article sur cyberpresse que si l'on calcul la dette net du Québec (incluant les pansions, Hydro-Québec, etc) , qu'on additionne les dettes municipales et notre part de la dette fédéral, on arrive au montant de 333 milliards, soit 110 % de notre PIB.
C'est pas l'fun du tout, surtout quand on constate que malgré tout, nos infrastructures vieillissantes tombent souvent en ruine et que nos programmes sociaux sont insuffisants malgré les sommes colossales investies.
Seules solutions a mon sens :
- le Québec doit s'enrichir au plus vite en investissant avant-tout dans l'innovation technologique via le financement de la recherche et des universités ainsi que dans la création de nouveaux produits novateurs et unique au Québec
- Le Québec doit resserrer sont budget pour les quelques années a venir le temps de se remettre sur pied. Ce que je vais dire va faire mal, mais on pourrait par exemple envisager d'inciter les citoyens a payer une partie de leur frais de santé lorsqu'ils doivent en bénéficier, on pourrait aussi hausser quelque peu les frais de scolarité pour un réinvestissement direct dans l'éducation, etc.
Mais bref, pour faire tout ca, ca prendra un politicien qui a d'autres ambitions que sa carrière et qui est équipé d'une expérience solide et d'une grosse paire de couilles... Malheureusement, lorsque je regarde l'aile jeunesse des différents partis politique, j'observe qu'a peu de chose près, ils sont trop souvent aussi tatas et carriéristes que nos politiciens actuels, mais en plus jeune et moins expérimenté... Je ne suis pas croyant, mais Dieu, amène nous la perle rare !!!
Note. Ce sujet concerne la politique québécoise et non la politique française. Non pas que je ne m'intéresse pas a la politique française, mais plutôt que je voudrais éviter une digression en ce sens. Merci de bien vouloir respecter le cadre de cette discutions.
J'ai écris un courriel au Calmar concernant la gouvernance au Québec et j'ai envie d'avoir votre opinion et de vous partager la mienne. Voici la transcription (modifié pour rester politiquement correcte) de ce que j'ai écris au calmar. Je vous préviens tout de suite par contre, je me montre un peu virulent.
Je suis parfois dégouter du Québec lorsque je constate a quel point on s'en va droit dans un mur a force d'être dirigé par des politiciens de campagne incompétents, carriéristes, dont leur champ de vision ne dépasse pas le bout de leur nez. Pour être plus précis, je suis dégouté de par notre complaisance incommensurable par rapport au développement économique, social et environnementale de notre province. Et comme on le disait avec Antoine l'autre jour mitch, ces aspects se reflètent dans le life style de notre population : souvent nombriliste, peu soucieuse de l'avenir collectif et mal informés concernant les enjeux économiques, sociaux et environnementaux du Québec.
Pendant que les étudiants, les personnes agées, les syndicats, les fonctionnaires et tous les dépendants demandent au pourvoyeur gouvernemental plus d'argent, celui-ci s'endette et se retrouve de plus en plus dans une situation aussi catastrophique qu'une prostitués piégé dans des sables mouvant.
J'ai lu dans un article sur cyberpresse que si l'on calcul la dette net du Québec (incluant les pansions, Hydro-Québec, etc) , qu'on additionne les dettes municipales et notre part de la dette fédéral, on arrive au montant de 333 milliards, soit 110 % de notre PIB.
C'est pas l'fun du tout, surtout quand on constate que malgré tout, nos infrastructures vieillissantes tombent souvent en ruine et que nos programmes sociaux sont insuffisants malgré les sommes colossales investies.
Seules solutions a mon sens :
- le Québec doit s'enrichir au plus vite en investissant avant-tout dans l'innovation technologique via le financement de la recherche et des universités ainsi que dans la création de nouveaux produits novateurs et unique au Québec
- Le Québec doit resserrer sont budget pour les quelques années a venir le temps de se remettre sur pied. Ce que je vais dire va faire mal, mais on pourrait par exemple envisager d'inciter les citoyens a payer une partie de leur frais de santé lorsqu'ils doivent en bénéficier, on pourrait aussi hausser quelque peu les frais de scolarité pour un réinvestissement direct dans l'éducation, etc.
Mais bref, pour faire tout ca, ca prendra un politicien qui a d'autres ambitions que sa carrière et qui est équipé d'une expérience solide et d'une grosse paire de couilles... Malheureusement, lorsque je regarde l'aile jeunesse des différents partis politique, j'observe qu'a peu de chose près, ils sont trop souvent aussi tatas et carriéristes que nos politiciens actuels, mais en plus jeune et moins expérimenté... Je ne suis pas croyant, mais Dieu, amène nous la perle rare !!!