swissmanrider a écrit Euh celle qui est éclairée c'est la Corée du sud Et on voit très bien la frontière entre les 2 ... La seule ville éclairée en corrée du nord est Pyongyang .
non,c'est une centrale nucléaire
ce pourquoi j'aime Tokyo... <<Ce n'est que quand l'homme aura tué le dernier animal,coupé le dernier arbre et pollué la dernière rivière ,qu'il se rendra compte que l'argent n'est pas comestible "- Indien Mohawk.
swissmanrider a écrit Euh celle qui est éclairée c'est la Corée du sud Et on voit très bien la frontière entre les 2 ... La seule ville éclairée en corrée du nord est Pyongyang .
Pour nous c'est affreux, mais eux, ils ne savent pas ce qu'il se passe sur le reste de la planète, pour eux c'est "normal", si je peux dire. En plus leurs cerveaux sont retournés avec la propagande et la censure.
L'Homme n'est pas fait pour travailler, la preuve: c'est que cela le fatigue (Voltaire)
jedo18 a écrit Pour nous c'est affreux, mais eux, ils ne savent pas ce qu'il se passe sur le reste de la planète, pour eux c'est "normal", si je peux dire. En plus leurs cerveaux est retourné avec la propagande et la censure.
Ah oui c'est vrai je ne le voyais pas de ce point de vue la
Je ne joue plus, ça ne veut pas dire jamais, ni que je suis mort... :)
Euh même dans un pays fermé ils savent que dehors il y a la liberté et tout, faut pas abuser. D'ailleurs ils essayent tous de fuir vers la Thaïlande car c'est le seul pays du coin qui veut bien leur accorder l'asile politique. Les autres c'est reconduite au pays direct.
Enfin peut-être pas la Corée du Sud, mais dans ce cas précis la frontière est infranchissable...
Et ne dis pas qu'ils trouvent ça "normal", ils sont conscient de ce qui se passe. C'est pas parce que t'as été battu toute la vie que ça te fait pas mal si je te cogne dessus... au contraire même.
Peuvent aussi essayer de prendre une pirogue (ou un bateau avec quelques provisions, dans le meilleur des cas) pour aller au Japon, mais je sais pas si après tout ce qui s'est passé ils les recevront bien
"Ne dites jamais du mal de vous; vos amis en diront toujours assez" Charles-Maurice de Talleyrand.