message posté le 13 déc 2007 à 02h09édité le 13 déc 2007 à 02h46 par The Rock [membre]
Ces deux articles sont le genre de textes qui me font carrément bander cr*** !!!
..........................................................
Sherbrooke, la mieux cotée pour son pouvoir d’attraction
Denis Dufresne
La Tribune
SHERBROOKE
Sherbrooke fait relativement bonne figure dans un palmarès – un autre! – sur le pouvoir d’attraction des 27 régions métropolitaines de recensement (RMR) canadiennes, réalisé par le Conference Board of Canada, avec une 12e position.
Sherbrooke est toutefois la mieux cotée des villes de 100 000 à 250 000 habitants.
« L’époque où les travailleurs allaient là où il y avait du travail se transforme lentement, alors que de plus en plus d’entreprises recherchent non seulement des endroits avec un bassin de main-d’œuvre qualifiée, mais où celui-ci est appelé à croître », indique cet organisme.
« Les entreprises vont là où les employés qualifiés et talentueux veulent vivre », ajoutent les auteurs de l’étude, intitulée « Villes aimants : comparer le pouvoir d’attraction des RMR canadiennes ».
L’organisme sans but lucratif, qui se spécialise dans l’étude des grandes tendances économiques et des enjeux nationaux, analyse la performance de 27 RMR en fonction de sept critères : économie, innovation, environnement, éducation, santé, société et logement, en se basant sur les données du dernier recensement de Statistique Canada (2001).
Chacune se voit attribuer une note pour chacun des indicateurs analysés, de même qu’un classement global pour son pouvoir d’attraction.
L’ensemble des résultats démontre que la taille des villes étudiées est un critère important.
Trois-Rivières: un pouvoir d'attraction médiocre
Martin Lafrenière
Le Nouvelliste
Trois-Rivières
La région métropolitaine de recensement de Trois-Rivières a du travail à faire pour améliorer son pouvoir d'attraction auprès de futurs habitants.
L'étude "Villes aimants: comparer le pouvoir d'attraction des RMR du Canada" a été menée par le Conference Board du Canada. L'enquête détermine que celle de Trois-Rivière arrive au 22e rang parmi 27 RMR analysées.
Cette étude vise à mesurer la capacité d'attirer des travailleurs qualifiés et les investissements économiques engendrés par leur présence.
Selon le Conference board, cette capacité des villes et des régions métropolitaines de recensement aura un impact sur la compétitivité économique du Canada et sur leur propre niveau de prospérité.
L'étude rendue public hier fait état de la pénurie de main-d'oeuvre découlant de la baisse démographique.
Comme l'explique le document, "devant l'intensification de la course mondiale aux travailleurs talentueux, le Canada doit impérativement attirer des travailleurs qualifiés et créatifs pour assurer sa prospérité. Selon des prévisions démographiques, l'immigration devrait être l'unique moteur de croissance de la main-d'oeuvre nette d'ici 2011, ainsi que de la population en général d'ici 2030. Il devient impératif que nos villes soient attrayantes pour les gens."
Cette étude analyse et met en comparaison les particularités qui font que les villes sont attirantes pour les travailleurs qualifiés et les populations mobiles.
Alors que Trois-Rivières mérite un C avec son 22e rang pour sa capacité d'attraction, Calgary arrive en première place.
La grande ville de l'Alberta devance Toronto et Vancouver dans le top trois. Sherbrooke arrache la 12e position. Saguenay, Saint-John (Nouveau-Brunswick) et Thunder Bay occupent les trois derniers rangs.
Sept critères d'évaluation
Pour déterminer le classement général du niveau d'attraction, le Conference board a évalué sept critères. La performance économique (revenus par habitant, croissance de l'emploi), la santé (offre de soins médicaux spécialisés, habitudes de vie des habitants), le facteur social (tissu multiculturel, réseaux de transport en commun, niveau de sécurité), le logement (coûts de location et d'achat d'habitations), l'environnement (qualité de l'air, consommation d'eau potable), l'innovation (promotion de la recherche) et l'éducation (présence d'institutions, encadrement des élèves) ont permis de tracer ce portrait.
L'étude reconnaît que la taille des régions métropolitaines de recensement a une influence sur leur performance générale: cinq des six premières positions du classement général sont occupées par des grandes villes.
..........................................................
Sherbrooke, la mieux cotée pour son pouvoir d’attraction
Denis Dufresne
La Tribune
SHERBROOKE
Sherbrooke fait relativement bonne figure dans un palmarès – un autre! – sur le pouvoir d’attraction des 27 régions métropolitaines de recensement (RMR) canadiennes, réalisé par le Conference Board of Canada, avec une 12e position.
Sherbrooke est toutefois la mieux cotée des villes de 100 000 à 250 000 habitants.
« L’époque où les travailleurs allaient là où il y avait du travail se transforme lentement, alors que de plus en plus d’entreprises recherchent non seulement des endroits avec un bassin de main-d’œuvre qualifiée, mais où celui-ci est appelé à croître », indique cet organisme.
« Les entreprises vont là où les employés qualifiés et talentueux veulent vivre », ajoutent les auteurs de l’étude, intitulée « Villes aimants : comparer le pouvoir d’attraction des RMR canadiennes ».
L’organisme sans but lucratif, qui se spécialise dans l’étude des grandes tendances économiques et des enjeux nationaux, analyse la performance de 27 RMR en fonction de sept critères : économie, innovation, environnement, éducation, santé, société et logement, en se basant sur les données du dernier recensement de Statistique Canada (2001).
Chacune se voit attribuer une note pour chacun des indicateurs analysés, de même qu’un classement global pour son pouvoir d’attraction.
L’ensemble des résultats démontre que la taille des villes étudiées est un critère important.
Trois-Rivières: un pouvoir d'attraction médiocre
Martin Lafrenière
Le Nouvelliste
Trois-Rivières
La région métropolitaine de recensement de Trois-Rivières a du travail à faire pour améliorer son pouvoir d'attraction auprès de futurs habitants.
L'étude "Villes aimants: comparer le pouvoir d'attraction des RMR du Canada" a été menée par le Conference Board du Canada. L'enquête détermine que celle de Trois-Rivière arrive au 22e rang parmi 27 RMR analysées.
Cette étude vise à mesurer la capacité d'attirer des travailleurs qualifiés et les investissements économiques engendrés par leur présence.
Selon le Conference board, cette capacité des villes et des régions métropolitaines de recensement aura un impact sur la compétitivité économique du Canada et sur leur propre niveau de prospérité.
L'étude rendue public hier fait état de la pénurie de main-d'oeuvre découlant de la baisse démographique.
Comme l'explique le document, "devant l'intensification de la course mondiale aux travailleurs talentueux, le Canada doit impérativement attirer des travailleurs qualifiés et créatifs pour assurer sa prospérité. Selon des prévisions démographiques, l'immigration devrait être l'unique moteur de croissance de la main-d'oeuvre nette d'ici 2011, ainsi que de la population en général d'ici 2030. Il devient impératif que nos villes soient attrayantes pour les gens."
Cette étude analyse et met en comparaison les particularités qui font que les villes sont attirantes pour les travailleurs qualifiés et les populations mobiles.
Alors que Trois-Rivières mérite un C avec son 22e rang pour sa capacité d'attraction, Calgary arrive en première place.
La grande ville de l'Alberta devance Toronto et Vancouver dans le top trois. Sherbrooke arrache la 12e position. Saguenay, Saint-John (Nouveau-Brunswick) et Thunder Bay occupent les trois derniers rangs.
Sept critères d'évaluation
Pour déterminer le classement général du niveau d'attraction, le Conference board a évalué sept critères. La performance économique (revenus par habitant, croissance de l'emploi), la santé (offre de soins médicaux spécialisés, habitudes de vie des habitants), le facteur social (tissu multiculturel, réseaux de transport en commun, niveau de sécurité), le logement (coûts de location et d'achat d'habitations), l'environnement (qualité de l'air, consommation d'eau potable), l'innovation (promotion de la recherche) et l'éducation (présence d'institutions, encadrement des élèves) ont permis de tracer ce portrait.
L'étude reconnaît que la taille des régions métropolitaines de recensement a une influence sur leur performance générale: cinq des six premières positions du classement général sont occupées par des grandes villes.