message posté le 2 déc 2007 à 13h58édité le 2 déc 2007 à 14h20 par moctezuma [membre]
J'ai plein de choses à dire sur le sujet mais je vais me limiter.
Je trouve que la majorité des propos sont allusifs. les arguments sont basé sur des "observation" et manquent nettemment de rigueur.
Beaucoup de jugement de valeurs sont à deplorer. par exemple tous les propos sur la prétendue richesse des "jeunes de cité" qui emprunte surement beaucoup aux clips de rap. On ne peut pas non plus dire que les "fils d'immigrés" n'ont rien en France".
La distinction radicale entre ceux-qui-veulent-s'en-sortir et ceux-qui-n'en-n'ont -plus-rien-à-faire est fausse. Les vieilles croyances que c'est pas sa volonté seule que l'on peut s'en sortir ont montrés leurs limites depuis longtemps mais emporte encore un incroyable succès. Dans une société, on est influencé par des choses qui nous depassent. Bravo à ceux qui veulent s'en sortir, mais ne jetons pas l'anathème sur ce qui ne le "veulent" pas.....
Cela veut dire quoi d'opposer de supposés fils d'ouvrier à des fils d'immigrés. Devrai-je vous rappeller que des fils d'ouvrier sont aussi impliquer dans des émeutes urbaines. La classe ouvrière dont parle Josh est celle d'autefois (dans les "banlieues rouges"). C'est sa destructuration qui a à l'origines des "quatrier defavorisés". C'est pource la que je suis moyennement d'accord avec Josh : il faudrait comparer dans une perspective chronologique avant tout.
Je vois que certains ont quelques petits problèmes avec l'immigration. constamment est rappellé sur ce sujet qu'il s'agit de fils d'immigrés qui organisent ces violence. outre le fait qu'il puissent s'agir de petits-enfants d'immigrés, une elle appellation enferme ces population dans une catégorie pré-determinée.
Ce n'est pas non plus le racisme présumé des policier qui explique la violence. peu de personnes soutiennent une telle assertion. Voilà de quoi rassurer ceux qui se mettent en rogne (ils se reconnaiterons) dès que l'on parle de racisme. Même s'il n'y a pas de racisme, comprenons pourquoi certaines personnes utilisent un tel argument. Ce n'est pas juste un prextexte.
En France la question raciale se ratache beaucoup à celle de classe. Les fameux "jeunes de banlieues" appartiennent aux classes populaires avant de celle des personnes issus de l'immigrations. L'origine immigrés est importante à prendre en compte, mais pas forcement la plus pertinente. Ce que nous appellons "intégration" devrait etre une integration économique et sociale.
Un dernier point : evitons les explications mono-causales. un certains nombre de gens pas très cultivés qui circulent sur les plateaux de TV (les journalistes) expliquent les phénomène d'émeutes par le chômage, voire uniquement par la discrimination à l'embauche des Noirs Asiatiques et Arabes.. C'est une analyse très incomplete qui ne dit rien sur d'autres causes. Remarquez par la suite que ces explications aussi incomplètes soient-elles ne sont pas forcement valorisantes pour eux
- un espace urbain marqué par des frontières physiques (lignes de RER, Autoroutes, routes Nationales...)
- la stigmatisation des lieux
- la culture violente des Cités
- le sentiment de "rage"
- l'absence d'institutions de revedication et d'un modèle de contre-sociét"é
- la haine de la police créé par un sentiment de suspition envers ces jeunes (majoritairement d'origines etrangères)
- la concurence entre Cité pour le plus grand nombre de minute d'antenne.
- l'aspect ludique et exitant de la violence
- l'absence de perspectives d'avenir
- l'échec solaire et le décalage entre culture scolaire et celle de la Cité et des classes populaires
- etc.
Je trouve que la majorité des propos sont allusifs. les arguments sont basé sur des "observation" et manquent nettemment de rigueur.
Beaucoup de jugement de valeurs sont à deplorer. par exemple tous les propos sur la prétendue richesse des "jeunes de cité" qui emprunte surement beaucoup aux clips de rap. On ne peut pas non plus dire que les "fils d'immigrés" n'ont rien en France".
La distinction radicale entre ceux-qui-veulent-s'en-sortir et ceux-qui-n'en-n'ont -plus-rien-à-faire est fausse. Les vieilles croyances que c'est pas sa volonté seule que l'on peut s'en sortir ont montrés leurs limites depuis longtemps mais emporte encore un incroyable succès. Dans une société, on est influencé par des choses qui nous depassent. Bravo à ceux qui veulent s'en sortir, mais ne jetons pas l'anathème sur ce qui ne le "veulent" pas.....
Cela veut dire quoi d'opposer de supposés fils d'ouvrier à des fils d'immigrés. Devrai-je vous rappeller que des fils d'ouvrier sont aussi impliquer dans des émeutes urbaines. La classe ouvrière dont parle Josh est celle d'autefois (dans les "banlieues rouges"). C'est sa destructuration qui a à l'origines des "quatrier defavorisés". C'est pource la que je suis moyennement d'accord avec Josh : il faudrait comparer dans une perspective chronologique avant tout.
Je vois que certains ont quelques petits problèmes avec l'immigration. constamment est rappellé sur ce sujet qu'il s'agit de fils d'immigrés qui organisent ces violence. outre le fait qu'il puissent s'agir de petits-enfants d'immigrés, une elle appellation enferme ces population dans une catégorie pré-determinée.
Ce n'est pas non plus le racisme présumé des policier qui explique la violence. peu de personnes soutiennent une telle assertion. Voilà de quoi rassurer ceux qui se mettent en rogne (ils se reconnaiterons) dès que l'on parle de racisme. Même s'il n'y a pas de racisme, comprenons pourquoi certaines personnes utilisent un tel argument. Ce n'est pas juste un prextexte.
En France la question raciale se ratache beaucoup à celle de classe. Les fameux "jeunes de banlieues" appartiennent aux classes populaires avant de celle des personnes issus de l'immigrations. L'origine immigrés est importante à prendre en compte, mais pas forcement la plus pertinente. Ce que nous appellons "intégration" devrait etre une integration économique et sociale.
Un dernier point : evitons les explications mono-causales. un certains nombre de gens pas très cultivés qui circulent sur les plateaux de TV (les journalistes) expliquent les phénomène d'émeutes par le chômage, voire uniquement par la discrimination à l'embauche des Noirs Asiatiques et Arabes.. C'est une analyse très incomplete qui ne dit rien sur d'autres causes. Remarquez par la suite que ces explications aussi incomplètes soient-elles ne sont pas forcement valorisantes pour eux
- un espace urbain marqué par des frontières physiques (lignes de RER, Autoroutes, routes Nationales...)
- la stigmatisation des lieux
- la culture violente des Cités
- le sentiment de "rage"
- l'absence d'institutions de revedication et d'un modèle de contre-sociét"é
- la haine de la police créé par un sentiment de suspition envers ces jeunes (majoritairement d'origines etrangères)
- la concurence entre Cité pour le plus grand nombre de minute d'antenne.
- l'aspect ludique et exitant de la violence
- l'absence de perspectives d'avenir
- l'échec solaire et le décalage entre culture scolaire et celle de la Cité et des classes populaires
- etc.
Le 10 000ème messages du forum "dernier mot", c'est qui ? Bin c'est moi !!!