Maudit, j'ai carrément raté cete photo, je l,ai coupée en plein sur le milieu du skyline!!

AX

-------------------------------------------
Mes photos sur mon site

Crée AX va !... la prochaine fois, tu feras un panoramique !

Haha! Pas mal, mais tu es sûr que c'est à l'échelle pour ta 2e photo? La tour de 15 étages me paraît haute en sacre. Steve Rowland est peut-être trop pessimiste et toi un peu trop optimiste comme tu disais, tenons-en nous au milieu. Sherbrooke est la ville qui bénéficie d'une des plus grosses croissances au Canada, c'est clair que ça serait bête de penser que la ville ne verra pas de highrises pousser. C'est une question de temps, et on voit que depuis quelques mois/années il y a une effervesence de projets qui sortent de partout, mais comme tu dis, pas assez souvent au centre-ville. Mais depuis quelques mois les investissements au centre-ville ont monté en flèche, les projecteurs sont en train de tourner, les gens y revoient un intérêt. Je suis convaincu que d'ici quelques mois, disons 1 an ou 1 an et demi, on aura au moins un projet majeur qui verra le jour!

Et comme maintenant grâce à mes cours je peux me baser sur du concret et pas seulement sur des suppositions, un gros hôtel dans un centre-ville c'est une garantie de vie urbaine tout au long de la journée et une partie de la nuit, on appelle ça une fonction primaire. Ces gens vont dépenser comme des malades, surtout que pour un hôtel 4 étoiles ils en ont les moyens, on verra donc pousser des fonctions secondaires dans un bon rayon autour de l'hôtel, et ces gens étant aisés, plusieurs de ces fonctions seront peut-être spécialisées (un peu comme sur Frontenac) On assistera peut-être à la naissance d'un pôle d'attraction! Et des fonctions secondaires spécialisées ayant comme effet d'attirer les gens de l'extérieur, si on a la chance d'avoir un pôle, c'est l'assurance d'un flux d'étrangers en permanence! Le monde attirant le monde, la "haute-ville" sera effervescente 24h sur 24, et les institutions financières et bureaux recherchant l'effervesence pour attirer les employés, les garder et assurer un cadre de vie intéressant, s'installeront à proximité de tout ça, suivis d'autres investissements privés de type résidentiel, etc. Si tout va bien on aurait un pôle multifonctionnel et vivant au centre-ville Tout ça est hypothétique, mais l'hôtel est le premier pas dans cette direction.

(je te prêterai un livre de Jane Jacobs quand j'en aurai fini, tu vas voir ça parle de tout ça et comment emmener la vie dans les villes)

Sauf que cet hôtel se construit sur la réputation d'un hôtel déjà existant. S'il réussi à attirer suffisament de monde, il se peut fort bien que l'hôtel Delta, comme plusieurs sites dans la ville, se voit vite abandonner. On n'a qu'à penser durant les dernières années comment le Président a eu de la difficulté. Je crois qu'on avait même parlé de fermeture définitive. Si ce n'était pas le Président, c'était un autre motel ou hôtel à Sherbrooke. Alors, si on parle de la fermeture d'un motel de 2 étages, comment peut-on espérer la construction d'un hôtel de 8 étages construit sur ce dernier sans qu'il n'y ait aucun changement? La population de la ville n'a pas doublée en quelques années...

Et Sherbrooke continue encore de se développer sur le long dans les anciennes banlieues. Les innombrables champs et forêt qu'on a coupé à Fleurimont et Rock Forest... On ne peut pas les rassembler autour du centre-ville en moins de dix ans.

Ça me fait penser... Quand nous avons déménagé de chez nous, à Rock Forest l'année passée, il devait y avoir en moyenne 5 maisons à vendre par petite rue. Ce n'est pas vraiment ce que j'apellerais une pénurie de logement.

Il faut penser plus loin que "Ah, le centre-ville, il faut le restaurer absoluement!". On a investi dans la périphérie, ce n'est pas le moment de concentrer tout l'argent dans des projets qui parfois ne verront même pa sle jour (le téléphérique par exemple).

Je suis peut-être pessimiste, mais moi aussi je compte bien devenir urbaniste un jour. Je pense qu'il faut prendre en compte plusieurs facteurs et pas juste se fier à notre affectivité avec une ville. J'adore Sherbrooke! Cela dit, il y a des questions importantes sur la table qu'il faudrait régler. Par exemple, lorsque Charest quittera le Parti Libéral (il n'en a plus pour longtemps, c'est pas une surprise...), comment est-ce qu'on va s'en sortir? On ne se le cachera pas, c'est pas mal grâce à lui si on a tant d'argent à Sherbrooke. On est un peu perçu comme la ville "chouchou" du Québec.

======================
-Si la Philosophie est la mère de toutes sciences, l'Histoire en est le père.-

-Dieu est innocent de la toute-puissance dont on a voulu l'accabler.- Albert Jacquard En d'autres termes, il n'existe pas...

Je ne crois pas vraiment que l'hotel du centre-ville aura des répercutions négatives dans le parc hotelier de la ville. On l'a vu dans la Tribune, Sherbrooke manquait cruellement de chambres d'hotels de 4 étoiles, ce qui avait pour conséquence que plusieurs conférenciers devaient coucher a Drummondville ou pire encore, certains congrès ont simplment été transférés dans une autre ville, par manque de places ou crècher a Sherbrooke. Et je n'invente rien, c'était écrit dans la Tribune. Et même au niveau des statistiques, Sherbrooke comptait autant de chambres d'hotels que la ville de Val D'or (on s'entend tu qu'on compare une métopole régional de près de 200 000 habitants a une autre grande ville régionale de même pas 50 000). Le manque est criant a Sherbrooke... Et pourquoi l'Hôtel gouverneur a fermé ses portes ? Peut-être une mauvaise gestion ?... Tout simplement que peut-être que les services qu'offraient cet hotel n'accomodaient pas une certaine clientèle en demande. Quand on veut une chambre 4 étoiles et qu'on a qu'une chambre de deux étoiles au gouverneur, c'est frustrant pour un riche... Gouverneur aurait simplement du s'adapter selon moi...

Quant aux banlieues, je crois qu'on ne devrait que les entretenirs comme elles sont la. Fini les investissements massif de dévelloppement... L'étalement urbain est une plaie pour la cohésion social. Le centre-ville revit peut a peut et l'investissement qu'on y fait sera peut a peut très profitable : densification du territoire (meilleurs temps de trajet, meilleur service pour le transport en commun, meilleur milieu de vie... non axé sur un individualisme destructeur mais sur la société)...

Investissements de la part de Charest ? Il a peut-être aidé pour le CHUS, et quelques autres infrastructures en effet, mais, c'est majoritairement la ville de Sherbrooke qui y a investi des sommes (appart pour le CHUS). Dernier mendat de Charest ? Et puis... Le privé a déja commencé a embarquer alors, j'm'en fait pas trop pour ca. L'engrenage est déja en marche, la roue a commencé a tourner...

Et el Calmar, j'ai bien hate de voir ton livre !

Hôtel des Gouverneurs... Voilà le nom que je cherchais. Moi et les noms.

======================
-Si la Philosophie est la mère de toutes sciences, l'Histoire en est le père.-

-Dieu est innocent de la toute-puissance dont on a voulu l'accabler.- Albert Jacquard En d'autres termes, il n'existe pas...

Steve Rowland a écrit
Le pavillon 6 du Cégep restera selon moi encore longtemps le plus haut bâtiment de la ville

yeah !! jy ait habité 1 an la dedans !! residence rock lol

parait qu il va y avoir un CBD a stoke !! lol, plus serieusement je pense possible le projet de the rock, mais cela va prendre beaucoup d année et d ici la les projets auront peut etre changé ...

Cummins Power truck !

skyblazer a écrit


parait qu il va y avoir un CBD a stoke !! lol, plus serieusement je pense possible le projet de the rock, mais cela va prendre beaucoup d année et d ici la les projets auront peut etre changé ...

Ouais c'est sur que comme je disais, cette projection n'est qu'un fatasme.... une fantsame presque réaliste, mais un fantasme tout de même

Dans les prochaines années, la société québécoise connaitra des problèmes jamais encore connus : le papy boom, le manque de main d'oeuvre, le système financier qui comme c'est la, risque de s'écrouler a cause du surnombre de papy boom, etc. Des données imprévisibles qui pourraient plonger le Québec en entier dans une recession immense... Ou alors, on voit le nombre de naissances qui augmentes, ainsi que l'immigration. Deux choses qui pourraient régler les problèmes qui pointent. Mais peut-être y aura t-il des problèmes plus tard auxquels ont a même pas encore pensé ? Imagoinez si l'industrie pharmaceutique plantait. Sherbrooke mangerait une claque comme c'est la....

Donc tout peut changer. Mais comme c'est la, les choses sont, en majorités, bien parties !




Articlre bandant dans la Tribune :

La Ville accueille froidement le projet d'Olymbec



La Tribune

SHERBROOKE - Le projet de conversion de l’ex-usine de Tissages Sherbrooke en immeuble commercial et à bureaux a sérieusement du plomb dans l’aile. Le maire de Sherbrooke, Jean Perrault, et l’élu du centre-ville, Serge Paquin, s’y opposent catégoriquement, tandis que le président du comité consultatif d’urbanisme, Louida Brochu, ne semble pas très chaud à cette éventualité.

La société immobilière Olymbec, propriétaire de l’immense usine désaffectée de la rue du Pacifique, veut y loger non seulement des bureaux, mais aussi des commerces. La Ville de Sherbrooke a reçu une demande de changement de zonage à cet effet mardi, a indiqué mercredi à La Tribune le maire de Sherbrooke, Jean Perrault.
Comme le révélait La Tribune dans son édition de mardi, Olymbec convoite présentement trois clients pour son usine désaffectée d’une superficie de 400 000 pieds carrés, soit la firme d’ingénierie CIMA +, une division de l’Agence de la santé et des services sociaux ainsi qu’un troisième joueur.

Selon le maire Perrault, Olymbec a déposé mardi une demande de changement de zonage pour son bâtiment afin de pouvoir offrir 100 000 pieds carrés d’espaces à bureaux et 300 000 pieds carrés de surface commerciale.

Le maire se dit «très préoccupé» par cette demande. Y consentir nuirait grandement au centre-ville, estime-t-il.

Le conseiller du centre-ville, Serge Paquin, est exactement du même avis. Concentrer des espaces à bureaux sur la rue du Pacifique «freinerait le développement du centre-ville» et créerait un effet d’entraînement vers ce secteur, avance-t-il. M. Paquin est également président de l’arrondissement du Mont-Bellevue, où est située l’usine d’Olymbec.

Dans le nouveau plan d’urbanisme présenté le printemps dernier, la Ville voulait concentrer les espaces à bureaux au centre-ville afin d’y attirer une plus grande clientèle. Même si ce plan d’urbanisme a été rejeté par la population lors d’un référendum, la vision de développement du centre-ville «n’a pas soulevé d’objections dans la population», rappelle Serge Paquin. Louida Brochu, président du comité consultatif d’urbanisme, tient sensiblement les mêmes propos.

Actuellement, le zonage de l’usine y permet les usages industriels ainsi que certains bureaux dont ceux d’ingénieurs, d’architectes et d’arpenteurs-géomètres.
Les quelque 200 employés de la firme CIMA + pourraient ainsi emménager dans la bâtisse sans qu’un changement de zonage ne soit nécessaire. L’Agence de la santé et des services sociaux et ses partenaires, par contre, ne pourrait pas le faire sans que les élus n’acceptent des modifications au zonage, ce qui semble très loin d’être acquis.

Dans son plan d’urbanisme, la Ville voulait convertir le secteur industriel de la rue du Pacifique, y compris l’usine d’Olymbec, en vaste zone résidentielle. Le maire Perrault maintient cette vision, tout comme Serge Paquin.

Par ailleurs, des commerçants du centre-ville sont réticents à commenter le nouveau projet d’Olymbec. La société immobilière détient plusieurs immeubles au centre-ville et a été un acteur majeur de sa revitalisation récente.

Inscriptions: l'UdeS domine au Québec

La Tribune

SHERBROOKE - L’Université de Sherbrooke domine une fois de plus le Québec avec la plus forte hausse du nombre d’inscriptions d’étudiants cet automne, soit 5,3 %, mais le portrait est beaucoup moins rose pour l’université Bishop’s, qui enregistre une perte de clientèle de 13 %, soit la pire au Québec.

La hausse d’inscriptions à l’UdeS est marquée à tous les cycles, soit 4,7 % au premier cycle, 5,2 % au deuxième, et 16 % au troisième, selon les données dévoilées jeudi par la Conférence des recteurs et principaux des universités du Québec.

Selon les statistiques de fréquentation compilées chaque automne, l’effectif étudiant de l’UdeS a augmenté de 24 % en six ans, passant de 15 733 en 2002 à 18 518 en 2006, puis à 19 506 en 2007 (campus principal seulement).

L’université anglophone sherbrookoise Bishop’s accuse de son côté une perte de clientèle inquiétante de 13 %. Elle ne compte plus que 2254 étudiants cet automne, dont 1816 à temps plein et 438 à temps partiel. À l’automne 2006, elle en avait 2101 à temps plein et 495 à temps partiel.

Le recteur de l’UdeS, Bruno-Marie Béchard, est évidemment très heureux de la hausse de clientèle. «Notre leadership en matière de régime coopératif alternant travail et études, le libre accès au transport en commun urbain, notre approche humaine et notre capacité d’innovation expliquent notamment cet engouement».

«Nous attirons des étudiants de partout au Québec, puisque 80 % d’entre eux proviennent de l’extérieur de l’Estrie», souligne le recteur. Selon lui, «il y a du rattrapage à faire au Québec» et il y a encore place à la croissance. «À population égale, on forme deux fois moins de diplômés universitaires qu’en Suisse, qu’en Belgique», dans un monde où pourtant «les emplois sont de plus en plus spécialisés».

L’UdeS s’est taillé une réputation enviable. L’automne dernier, une étude du quotidien Globe and Mail auprès des étudiants universitaires révélait que l’UdeS était la mieux cotée au pays, pour une troisième année de suite. Le classement de la revue Maclean’s allait dans le même sens.

Le porte-parole de Bishop’s, David McBride, a rappelé à La Tribune que l’université s’attendait à un baisse et qu’elle étudiait des mesures de redressement.

«On est en train de faire un examen de tous nos programmes académiques, précise-t-il, et on élabore une stratégie de recrutement». Le site Internet de l’université sera actualisé fin décembre début janvier pour être plus attrayant, et le recrutement se poursuivra. «On va travailler au Québec dans les cégeps. Aussi, il y a une croissance d’étudiants en Ontario».

À l’heure actuelle, fait remarquer M. McBride, «environ 55 % des étudiants de Bishop’s viennent de l’extérieur du Québec».

«Le mont Royal» des Sherbrookois

La Tribune

SHERBROOKE

Mont Bellevue: des sentiers à découvrir

Les nouveaux sentiers du parc du Mont-Bellevue ont été inaugurés vendredi avant-midi par la Ville de Sherbrooke et l’Université de Sherbrooke, à proximité de l’ancienne Maison Reine-Marie que l’UdeS veut transformer en résidence pour étudiants.

Un sentier multifonctionnel de 1,6 km, aménagé cette année par la Ville, fait le lien entre le campus de l’Université de Sherbrooke et le chalet Antonio-Pinard, au pied de la station de ski.

Le sentier de 1,1 km, entre le stationnement Dunant et le campus de l’UdeS, a aussi été doublé cette année afin d’assurer la sécurité des usagers, toujours plus nombreux à marcher ou à faire du vélo dans le parc.

La Ville de Sherbrooke et l’arrondissement du Mont-Bellevue ont investi 125 000 $ cette année pour réaliser ces divers travaux.

Le maire de Sherbrooke, Jean Perrault, invite les Sherbrookois à découvrir ou à se réapproprier les sentiers. « Le parc du Mont-Bellevue est un joyau inestimable au cœur de notre ville », affirme-t-il.



«Le mont Royal» des Sherbrookois

Le président de l’arrondissement du Mont-Bellevue, Serge Paquin, admet pour sa part que la Ville a « malheureusement négligé le mont Bellevue » par le passé. Ce n’est plus le cas aujourd’hui, croit-il. « L’objectif, c’est que le mont Bellevue devienne pour Sherbrooke ce qu’est le mont Royal pour les Montréalais », ajoute-t-il avec optimisme.

L’an dernier, la Ville avait investi 145 000 $ pour aménager la boucle sud du parc, d’une longueur de 3,3 km.

Au cours des deux prochaines années, la Ville souhaite finaliser son sentier multifonctionnel entre le stationnement Dunant et le chalet Antonio-Pinard, ce qui permettrait aux usagers de faire un tour complet du parc dans des sentiers aménagés et balisés.

Entre 2006 et 2010, la Ville prévoit injecter 750 000 $ dans le parc du Mont-Bellevue dans le cadre d’un plan quinquennal d’aménagement. La majorité des terrains du parc appartiennent à l’Université de Sherbrooke.