Les villes françaises sont d'une manière générale moins vertes et moins "naturelles" que leurs homologues allemandes, scandinaves ou anglaises pour ce citer qu'elles !
La France comme l'ensemble des pays latins, a une culture où l'homme marque sa supériorité sur la nature. Les jardins de Versailles en est le plus beau exemple ! Pour cette raison, la nature est peu voire mal tolérée en ville. Les espaces verts sont très horticoles, ordonnés et structurés, alors que dans les pays d'Europe du nord, on préfére des jardins plus naturels et sauvages. Par exemple on laisse l'herbe pousser au pied des arbres en ville. On retrouve un peu cet esprit au Québec comme AX et Le Calmar l'ont fait voir dans la banlieue de Montréal !
"Les Alpes sont pour l'Isérois le raisin sec sur la polente, la cerise sur le gâteau."
Sherbrooke est la ville au Canada la plus propice aux affaires.
Cette nouvelle consécration pour la Reine des Cantons-de-l’Est fait la manchette de l’édition du magazine Canadian Business qui devrait prendre place sur les tablettes des marchands, dans les prochaines heures, si ce n’est déjà fait.
L’édition du 10 septembre de ce magazine accorde en effet le premier rang à Sherbrooke, en se basant sur les réponses que lui ont faites 5343 lecteurs qui ont répondu à son enquête en ligne.
Canadian Business a évalué les villes canadiennes en fonction de cinq critères: les coûts variables des opérations (basés sur les coûts assumés par une entreprise de 350 personnes, en prenant Toronto comme mesure-étalon), le coût de la vie, la facilité à obtenir des permis non résidentiels, le taux de chômage et le taux de criminalité. Ce sont les lecteurs qui attribuent des cotes à ces villes.
Or, rapporte Les Affaires.com qui a fait état, hier, de l’enquête de Canadian Business, les lecteurs de ce magazine craquent vraiment pour les villes québécoises puisqu’ils font figurer cinq d’entre elles parmi les dix premières villes au Canada où il fait meilleur pour les affaires.
Sherbrooke devance ainsi Saguenay qui occupe le troisième rang; Laval qui détient la cinquième position; Trois-Rivières qui arrive par la suite, en sixième place; et Longueuil, à la dixième position.
Pour Sherbrooke, il s’agit d’un formidable bond à l’avant puisque l’enquête précédente, menée en 2006, la classait au 10e rang canadien et au 4e rang québécois, derrière Québec, Saguenay et Laval.
Cette fois-ci, en 2007, les lecteurs ont fait valoir les atouts sherbrookois: le dynamisme de ses échanges commerciaux avec le Nord-Est des États-Unis ainsi que sa transformation rapide de ville industrielle vers un pôle du savoir, avec ses nombreux instituts de formation.
Canadian Business va même jusqu’à affirmer que Sherbrooke dispose de «la plus forte concentration de cerveaux, d’étudiants et de recherche du continent», a traduit Les Affaires.com.
L’arrivée des Laboratoires Charles River a également joué en faveur de Sherbrooke puisque cette compagnie recherchait un milieu pour sa qualité de vie et ses coûts de production moins élevés, a noté le maire de Sherbrooke, Jean Perrault.
En entrevue téléphonique, en fin d’après-midi mardi, il ne cachait pas sa joie de pouvoir ajouter cette enquête de Canadian Bussiness«xc> aux arguments que doit avancer Sherbrooke afin d’attirer des entrepreneurs.
«Nous sommes très contents et l’ensemble des Sherbrookois doivent se réjouir d’une telle nouvelle... Nous sortons d’un sommet avec des orientations pour les dix prochaines années et l’objectif de devenir un centre d’innovation reconnu au Canada et à travers le monde. Une telle publication vient nous dire que nous sommes sur une bonne voie», a dit le maire.
Pour le directeur général de la Société de développement économique de Sherbrooke, Pierre Dagenais, ces résultats ne sont pas si surprenants si on sait que cette enquête se base sur cinq critères où, effectivement, Sherbrooke, fait très bonne figure en 2007.
«Le taux de chômage a fortement baissé à Sherbrooke. On lisait samedi qu’il était rendu à 5,4 pour cent. Cela n’est pas étranger au fait que Sherbrooke a grimpé jusqu’au premier rang, cette année... Ici, on sait aussi que le coût de la vie est très bas et qu’il en coûte moins cher qu’ailleurs pour faire fonctionner une entreprise», a-t-il souligné.
Il a ajouté que si ce classement n’a pas le même poids que l’étude KPMG, il prendra néanmoins une place dans sa valise de démarcheur. Des copies seront également expédiées dans les délégations québécoises et les ambassades canadiennes où ils viendront appuyer la promotion en faveur de Sherbrooke.
Malheureusement, ce ne sont pas toutes les entreprises qui veulent venir ici. Voyant peut-être d'autres facteurs, ils préfèrent encore aller à Montréal et c'est bien dommage. Sherbrooke n'est pas assez sur la carte.
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-Si la Philosophie est la mère de toutes sciences, l'Histoire en est le père.-
-Dieu est innocent de la toute-puissance dont on a voulu l'accabler.- Albert Jacquard En d'autres termes, il n'existe pas...
C'est sur que Montréal aura des aventages tel la masse de population. D'eilleur, une des raisons qu'a énuméré Charles River de ce qui l'a poussé a venir ici, c'est la proximité de Montréal... Malgré tout, elle a choisi Sherbrooke, grace a sont taux d'éducation et de bilinguisme élevé, a la qualité de vie est au faible cout d'installation. On sait donc qu'entant que ville de taille moyenne, on doit miser la dessus...
Aussi, on peut se dire qu'on est au top des villes moyennes du Québec pour attirer d'importants investissements... C'est déja un pas énorme, très aventageux... En avancant pas par pas, on pourra un jour, peut-être, être de taille contre Montréal...
Rome ne s'est pas bati en un jour... faut trimer dur !
K3V1N a écrit la maniere que je lis cela...Sherbrooke est une des meilleures villes du mondes ! (desoler..les accents ne fonctionnent pas.)
Loin de la, mais il est indéniable qu'elle a des aventages énormes !
-deux universités reconnues mondialement (dont une anglophone)
-une localiation géographique au coeur du triangle Montréal/Québec/Nouvelle-Angleterre, donnant accès a un bassin de population de plus de cent millions de personnes et ce, a moins de 4 heures de route
-une qualité de vie exceptionnelle dans un cadre régional grandiose
-un taux de bilinguisme élevé
-un taux de scolarisation attirant pour les entreprises (quand on pense qu'il y a 40 000 étudiants a Sherbrooke, c'est pas mal de potentiels génies ca !)
-un cout de la vie relativement bas
-un taux de criminalité bas
on est en buisness en sale !... mais encore aujourd'hui, beaucoup de ces forces ne sont pas utilisés ou dévelloppés a lur plein potentiel. Mais il y a beaucoup d'effort en ce sens. On a qu'a penser au Sommet de Sherbrooke...
Canadian Business va même jusqu’à affirmer que Sherbrooke dispose de «la plus forte concentration de cerveaux, d’étudiants et de recherche du continent», a traduit Les Affaires.com.
Carrément!
Je doute pas que ta ville connaisse un boom de notoriété. Reste à espérer si cette tendance là se confirme et à ce qu'il n'y ait pas de contre-performance au niveau économique... Regarde, nous, avec la crise de l'A380. Il y a 2 ans pour le 1er vol, aucun Toulousain n'aurait crû que Airbus allait freiner notre croissance!...
Allez, on croise les doigts, et vive Sherbrooke
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Ma vie, ma ville Toulouse Ici, on vient chercher l'image d'une brandade fière de l'être...
Actuellement, ce qu'il manque a Sherbrooke, c'est une diversification des domaines d'économie du savoir. Pour l'instant, on est principalement axé sur les biotechnologies. Il faudrait dévellopper d'autres domaines et vite. On a notemment de grande forces de génie. Ce domaine devrait être plus encadré...
