glambolez a écrit
moctezuma a écrit
Tout à fait
De même, pourquoi Segolène Royal, plait alors qu'elle n'a pratiquement pas d'opinion ?
:)
celle là est très bonne . C'est Hollande qui sera d'accord avec toi [vert].
Ouai, j'ai regardé les guignols hier [vert]
Ségolène Royal, elle n esera jamais élue, parce qu'elle est belle, et que les femmes pour être élues doivent être moches. C'est pour ça que Fabius va se présenter en tant que femme, parce que en femme, lui, il est ignoble [vert]
Plus sérieusement, je suis d'accord avec Glambolez.
Quand GER dit que Sarkozy est un ultra-répressif, je ne vais pas jusque là, mais je préfère dire qu'on réprimande uniquement le répréhensible finalement, et que en France, eh bien si on en croit ce qui se passe, il y'a beaucoup de choses à réprimander... C'est un fait : tout a été laissé à l'abandon, y compris la société par les politiciens qui font de la politique parce que c'est leur gagne pain. Tant qu'on est en place, on risque rien. Sarkozy change un peu cette image molle qui colle si bien à la peau des Hollande, Balladur, Chirac et Villepin. La précarité de l'emploie? C'est une question de souveraineté Nationale. On a abandonné le Franc pour l'Euro, et ce dernier nous contraint à maintenit notre dette extérieure à un niveau de 15% du PIB, et 3% du PNB. Ce qui veut dire quoi : on prélève le pognon, parce qu'on a la SECU aussi. A qui on prélève? Aux sociétés, premiers employeurs de France, les artisans, PME, PMI... Et qui va embaucher derrière ça? Le cout de la main d'oeuvre, ce n'est pas la qualification ou le diplôme qui le fait, mais les taxes. Et ça, ce n'est pas normal. Une monnaie qu'on ne peut pas dévaluer, tout ça pour quoi? Pour favoriser les échanges? Qui profitent à qui? Aux caisses de l'état? Pourquoi faire? Pour combler les trous provoqués par le chômage, la vieillesse, la maladie etc... Ce que personne n eveut s'avouer, mis à part Pasqua, c'est que L'euro, c'est une muraille pourrie dressée droit devant nous, qu'on ne pourra jamais franchir. On est dans la merde... Sauf si on quitte le panier monétaire, ce qui est impossible... Quant à la politique intérieure, elle se résume aux banlieux, à la sécurité, à l'étranger aussi (paradoxal non?) Bref, on n'est maître de rien. On est européen. Et l'europe, c'est Bruxelles, Luxembourg, et La Haye, en moindre mesure, Strasbourg et ses technocrates...
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