message posté le 18 sept 2005 à 01h34
édité le 18 sept 2005 à 12h49 par will69
Suite de la visite de Lyon, deuxième partie de cette première partie…
15h30 sortie des cours, On remonte encore sur la croix Rousse au début, on n’est toujours pas allé la où on le devait, mais cette fois
on y va, escalier, menant directement au plateau :
La vue de la ou on était au tout début, on voit bien les quais de la sâone, avec cette façade rouge, à droite des arbres c’est un très vieux
bâtiment, puis, les couleurs pastels typiques de Lyon au bord de ses rives…
L’escalier, et oui a la Croix Rousse ça grimpe…
Une vue sur Fourvière, l’antenne relais et la basilique, bien dégagée…
Un joli contre jour de Lyon :
Une vue de Lyon presque en haut de l’escalier, le dôme ressortant est l’Hôtel dieu, sur lequel je donnerais des informations plus tard.
Le clocher, par contre appartient à l’Eglise Bon pasteur.
Elle a été construite vers le milieu du XIXième siècle.
Elle a son clocher, mais n'a jamais eu l'escalier de son entrée principale.
Le premier curé, qui eut l'astuce de déclarer son église filleule de Napoléon III, espérait ainsi obtenir le terrain où se situe actuellement
l'École des Beaux-Arts. Malheureusement, il échoua. L'église est due à Nizier de Puitspelu, écrivain par goût, mais architecte de métier.
Il eut de nombreux démêlés avec le curé qui intervint dans ses plans pour surélever le clocher.
Cette église n'est plus affectée au culte catholique, mais sert de salle d'exposition aux élèves de l'École des Beaux-Arts
Alexandre et le clocher :
La rue Saint François d’Assise, Une résidence bordant cette rue un peu plus loin :
La Place des Tapis, avec mon ami Alexandre chez qui nous nous dirigeons :
Le boulevard de la Croix Rousse :
A droite
A gauche :
Toujours ces façades, lyonnaises, claire et d’une très douce couleur pastelle :
La place des tapis, veloutée d’arbres, dans un fond de façades pastelles, a la Française, ça me fais rêver…
ça détends ce genre de vues :
L’immeuble de mon cher ami devant le Boulevard des Canuts :
15h50 : On monte, L’ascenseur nous mène au 15ieme étage, on ne peut pas monter sur le toit… mais voici la fenêtre miracle :
Et voici « le » panoramique vue d’enssemble : de cette première partie :
Et maintenant la panoramique détaillée :
1: Lyon 6eme arrondissement
2: Planète saturne
3: Cours Gambetta
4: Chambre du Commerce et de l'Industrie de Lyon (ou parc République)
5: hôpital de l'Hôtel Dieu
L'Hôtel Dieu est actu L’Hôtel-Dieu se compose de bâtiments construits au XVIIe et au XIXe siècle, la fondation de l’hôpital remontant
quant à elle au VIe siècle. François Rabelais exerça en qualité de médecin de l’hôpital de 1532 à 1534.
Un musée remarquable, témoin de la prestigieuse histoire hospitalière de la ville est installé à l’Hôtel-Dieu.
Totalement modernisé au cours des vingt dernières années, l’hôpital offre un hébergement confortable dans des locaux fonctionnels.
Au seuil de l’an 2000, service public de santé, partie intégrante du Centre Hospitalier Régional et Universitaire de Lyon, l’Hôtel-Dieu
veut donner à toutes celles et ceux qui lui font confiance des soins de qualité.
ellement un CHU dépendant des Hospices Civils
de Lyon. Il renferme également le Musée des Hospices Civils de Lyon, témoin de son riche passé.
Sa désafectation est prévue pour 2010, il sembleque les bâtiments historiques puissent être convertis en grand musée médical et anatomique.
Aucune décision officielle n'a été encore rendue.
6: Rue de la République
7: les Minguettes, Vénissieux
Vénissieux à hériter de son nom d'une ferme Gallo Romaine se nomant Vénicies. Jusqu'aux premieres révolutions industrielles
Vénissieux fut un village agricole, des vignes était principalement présente sur le plateau des minguettes.
La ville connu un accroissement très rapide de sa population: d'un peu plus de 20 000 habitants dans les années 1950, elle atteignit
près de 75 000 habitants dans les années 1970, grâce à la construction de grands ensembles, notamment la cité des Minguettes.
Ce quartier est symbolique d'une forme d'urbanisation encouragée dans les années 1960 qui a donné, une vingtaine d'années plus tard,
des quartiers défavorisés qui avaient perdu leur attrait d'origine. Dès les années 1980, d'importants programmes de rénovation urbaine
ont transformé les Minguettes, réduisant la densité de population trop forte au profit d'un meilleur cadre de vie. Cette rénovation
explique la forte baisse du nombre d'habitants à Vénissieux depuis lors.
Une Médiathèque moderne a été construite au début des années 2000 par Dominique Perrault.
8: Parc Antonin Poncet
9: Quais du rhône, lyon
10: Préfectures
11: presqu'ile
12: Feyzin
La raffinerie de Feyzin est l'une des plus importantes d'Europe.
13: Eglise saint Nizier
Le premier édifice religieux situé sur le site de l'église actuelle est un monument romain, probablement un temple d'Attis.
Au Ve siècle, selon la tradition saint Eucher, 19e évêque de Lyon, bâtit sur les ruines de l'édifice une basilique pour abriter les
reliques des 48 martyrs de Lyon suppliciés en 177, parmi lesquels saint Pothin et sainte Blandine. L'église reçoit le nom
d'« église des Saints-Apôtres », à savoir Pierre et Paul. Les évêques de Lyon s'y font enterrer durant tout le VIe siècle, en
particulier saint Nizier, 28e évêque. Le corps de ce dernier attire une foule si grande, les miracles qu'on lui prête sont si nombreux
que l'église finit par prendre son nom.
Au début du VIIIe siècle, l'église est ravagée par les Sarrasins, puis par Charles Martel qui les repousse. Elle n'est reconstruite
qu'au IXe siècle, sur l'ordre de l'évêque Leydrade, qui lui adjoint un chapitre canonial. Le quartier de l'église s'embourgeoise,
désormais l'élection des consuls et échevins y est proclamée. Pierre Valdo, au XIIIe siècle, en est le paroissien. Ses disciples,
choqués par la richesse des lieux, y mettent le feu en 1253.
L'évêque Louis de Villars la fait rebâtir au XIVe siècle. Les travaux avancent progressivement, et l'église n'est achevée
qu'à la fin du XVIe siècle. Elle subit les dégâts causés par les bandes huguenotes de la région, qui pillèrent les tombes des évêques
de Lyon, puis ceux de la Révolution française.
L'église est située au cœur de la presqu'île,
près de la rue longue, et d'un réseau serré de rues étroites. Ce quartier était mal fréquenté et paupérisé dans les années 70.
La présence de cette église, fut mise en lumière lors de son occupation symbolique par les prostituées du quartier en 1975 qui
exprimaient leur colère face au harcèlement policier et social. Cette église a souvent été perçue comme un lieu de refuge et
d'accueil dans la ville.
À partir de 1973, des travaux de rénovation ont été engagés par la direction des Monuments Historiques et la ville de Lyon.
La paroisse correspondante est animée par la Communauté de l'Emmanuel (mouvement charismatique) depuis 1996.
14: université lumière Lyon II :
Jusqu'en juillet 1973, l'université Lyon II regroupait l'ensemble des disciplines des sciences humaines, sociales, juridiques et
économiques. À cette date, une scission intervient, qui est directement la conséquence des événements de mai 1968.
Par décret ministériel, le 26 juillet 1973, deux universités nouvelles, Lyon II et Lyon III (de tendance de droite) sont créées. Le nom
d'Université Lumière Lyon 2 est adopté en 1987.
Au cours des années 1970, la conception marxienne de l'urbanisme (séparation des différentes fonctions urbaines), dominante à
l'époque, et la forte augmentation démographique des étudiants du second degré a poussé l'université Lyon II à créer un campus
à Bron. Un autre objectif non avoué est que les étudiants de Lyon II, a priori plus contestataires, ont été éloignés du centre-ville
de Lyon, afin de contenir leurs manifestations en dehors.
Actuellement, Lyon II comporte deux campus, un sur les quais du Rhône et l'autre à Porte des Alpes, à Bron et Saint-Priest.
Depuis 1973, Gilbert Puech est le président de l'Université Lyon II.
• Plus de 26 000 étudiants inscrits en 2002-2003.
• 35 millions d'Euros de budget
• 537 enseignants et chercheurs, 142 vacataires et associés, 742 IATOSS
• 13 Facultés et Instituts ainsi que deux départements de formation : le centre de langues et le centre international d'études françaises.
• 210 diplômes délivrés, du 1er au 3e cycle
o 19 doctorats
o 33 diplômes d'Université
• 41 équipes de recherche dont 19 UMR Université_CNRS
Sources de documents:
15h30 sortie des cours, On remonte encore sur la croix Rousse au début, on n’est toujours pas allé la où on le devait, mais cette fois
on y va, escalier, menant directement au plateau :
La vue de la ou on était au tout début, on voit bien les quais de la sâone, avec cette façade rouge, à droite des arbres c’est un très vieux
bâtiment, puis, les couleurs pastels typiques de Lyon au bord de ses rives…
L’escalier, et oui a la Croix Rousse ça grimpe…
Une vue sur Fourvière, l’antenne relais et la basilique, bien dégagée…
Un joli contre jour de Lyon :
Une vue de Lyon presque en haut de l’escalier, le dôme ressortant est l’Hôtel dieu, sur lequel je donnerais des informations plus tard.
Le clocher, par contre appartient à l’Eglise Bon pasteur.
Elle a été construite vers le milieu du XIXième siècle.
Elle a son clocher, mais n'a jamais eu l'escalier de son entrée principale.
Le premier curé, qui eut l'astuce de déclarer son église filleule de Napoléon III, espérait ainsi obtenir le terrain où se situe actuellement
l'École des Beaux-Arts. Malheureusement, il échoua. L'église est due à Nizier de Puitspelu, écrivain par goût, mais architecte de métier.
Il eut de nombreux démêlés avec le curé qui intervint dans ses plans pour surélever le clocher.
Cette église n'est plus affectée au culte catholique, mais sert de salle d'exposition aux élèves de l'École des Beaux-Arts
Alexandre et le clocher :
La rue Saint François d’Assise, Une résidence bordant cette rue un peu plus loin :
La Place des Tapis, avec mon ami Alexandre chez qui nous nous dirigeons :
Le boulevard de la Croix Rousse :
A droite
A gauche :
Toujours ces façades, lyonnaises, claire et d’une très douce couleur pastelle :
La place des tapis, veloutée d’arbres, dans un fond de façades pastelles, a la Française, ça me fais rêver…
ça détends ce genre de vues :
L’immeuble de mon cher ami devant le Boulevard des Canuts :
15h50 : On monte, L’ascenseur nous mène au 15ieme étage, on ne peut pas monter sur le toit… mais voici la fenêtre miracle :
Et voici « le » panoramique vue d’enssemble : de cette première partie :
Et maintenant la panoramique détaillée :
1: Lyon 6eme arrondissement
2: Planète saturne
3: Cours Gambetta
4: Chambre du Commerce et de l'Industrie de Lyon (ou parc République)
5: hôpital de l'Hôtel Dieu
L'Hôtel Dieu est actu L’Hôtel-Dieu se compose de bâtiments construits au XVIIe et au XIXe siècle, la fondation de l’hôpital remontant
quant à elle au VIe siècle. François Rabelais exerça en qualité de médecin de l’hôpital de 1532 à 1534.
Un musée remarquable, témoin de la prestigieuse histoire hospitalière de la ville est installé à l’Hôtel-Dieu.
Totalement modernisé au cours des vingt dernières années, l’hôpital offre un hébergement confortable dans des locaux fonctionnels.
Au seuil de l’an 2000, service public de santé, partie intégrante du Centre Hospitalier Régional et Universitaire de Lyon, l’Hôtel-Dieu
veut donner à toutes celles et ceux qui lui font confiance des soins de qualité.
ellement un CHU dépendant des Hospices Civils
de Lyon. Il renferme également le Musée des Hospices Civils de Lyon, témoin de son riche passé.
Sa désafectation est prévue pour 2010, il sembleque les bâtiments historiques puissent être convertis en grand musée médical et anatomique.
Aucune décision officielle n'a été encore rendue.
6: Rue de la République
7: les Minguettes, Vénissieux
Vénissieux à hériter de son nom d'une ferme Gallo Romaine se nomant Vénicies. Jusqu'aux premieres révolutions industrielles
Vénissieux fut un village agricole, des vignes était principalement présente sur le plateau des minguettes.
La ville connu un accroissement très rapide de sa population: d'un peu plus de 20 000 habitants dans les années 1950, elle atteignit
près de 75 000 habitants dans les années 1970, grâce à la construction de grands ensembles, notamment la cité des Minguettes.
Ce quartier est symbolique d'une forme d'urbanisation encouragée dans les années 1960 qui a donné, une vingtaine d'années plus tard,
des quartiers défavorisés qui avaient perdu leur attrait d'origine. Dès les années 1980, d'importants programmes de rénovation urbaine
ont transformé les Minguettes, réduisant la densité de population trop forte au profit d'un meilleur cadre de vie. Cette rénovation
explique la forte baisse du nombre d'habitants à Vénissieux depuis lors.
Une Médiathèque moderne a été construite au début des années 2000 par Dominique Perrault.
8: Parc Antonin Poncet
9: Quais du rhône, lyon
10: Préfectures
11: presqu'ile
12: Feyzin
La raffinerie de Feyzin est l'une des plus importantes d'Europe.
13: Eglise saint Nizier
Le premier édifice religieux situé sur le site de l'église actuelle est un monument romain, probablement un temple d'Attis.
Au Ve siècle, selon la tradition saint Eucher, 19e évêque de Lyon, bâtit sur les ruines de l'édifice une basilique pour abriter les
reliques des 48 martyrs de Lyon suppliciés en 177, parmi lesquels saint Pothin et sainte Blandine. L'église reçoit le nom
d'« église des Saints-Apôtres », à savoir Pierre et Paul. Les évêques de Lyon s'y font enterrer durant tout le VIe siècle, en
particulier saint Nizier, 28e évêque. Le corps de ce dernier attire une foule si grande, les miracles qu'on lui prête sont si nombreux
que l'église finit par prendre son nom.
Au début du VIIIe siècle, l'église est ravagée par les Sarrasins, puis par Charles Martel qui les repousse. Elle n'est reconstruite
qu'au IXe siècle, sur l'ordre de l'évêque Leydrade, qui lui adjoint un chapitre canonial. Le quartier de l'église s'embourgeoise,
désormais l'élection des consuls et échevins y est proclamée. Pierre Valdo, au XIIIe siècle, en est le paroissien. Ses disciples,
choqués par la richesse des lieux, y mettent le feu en 1253.
L'évêque Louis de Villars la fait rebâtir au XIVe siècle. Les travaux avancent progressivement, et l'église n'est achevée
qu'à la fin du XVIe siècle. Elle subit les dégâts causés par les bandes huguenotes de la région, qui pillèrent les tombes des évêques
de Lyon, puis ceux de la Révolution française.
L'église est située au cœur de la presqu'île,
près de la rue longue, et d'un réseau serré de rues étroites. Ce quartier était mal fréquenté et paupérisé dans les années 70.
La présence de cette église, fut mise en lumière lors de son occupation symbolique par les prostituées du quartier en 1975 qui
exprimaient leur colère face au harcèlement policier et social. Cette église a souvent été perçue comme un lieu de refuge et
d'accueil dans la ville.
À partir de 1973, des travaux de rénovation ont été engagés par la direction des Monuments Historiques et la ville de Lyon.
La paroisse correspondante est animée par la Communauté de l'Emmanuel (mouvement charismatique) depuis 1996.
14: université lumière Lyon II :
Jusqu'en juillet 1973, l'université Lyon II regroupait l'ensemble des disciplines des sciences humaines, sociales, juridiques et
économiques. À cette date, une scission intervient, qui est directement la conséquence des événements de mai 1968.
Par décret ministériel, le 26 juillet 1973, deux universités nouvelles, Lyon II et Lyon III (de tendance de droite) sont créées. Le nom
d'Université Lumière Lyon 2 est adopté en 1987.
Au cours des années 1970, la conception marxienne de l'urbanisme (séparation des différentes fonctions urbaines), dominante à
l'époque, et la forte augmentation démographique des étudiants du second degré a poussé l'université Lyon II à créer un campus
à Bron. Un autre objectif non avoué est que les étudiants de Lyon II, a priori plus contestataires, ont été éloignés du centre-ville
de Lyon, afin de contenir leurs manifestations en dehors.
Actuellement, Lyon II comporte deux campus, un sur les quais du Rhône et l'autre à Porte des Alpes, à Bron et Saint-Priest.
Depuis 1973, Gilbert Puech est le président de l'Université Lyon II.
• Plus de 26 000 étudiants inscrits en 2002-2003.
• 35 millions d'Euros de budget
• 537 enseignants et chercheurs, 142 vacataires et associés, 742 IATOSS
• 13 Facultés et Instituts ainsi que deux départements de formation : le centre de langues et le centre international d'études françaises.
• 210 diplômes délivrés, du 1er au 3e cycle
o 19 doctorats
o 33 diplômes d'Université
• 41 équipes de recherche dont 19 UMR Université_CNRS
Sources de documents:
" Il est difficile d'attraper un chat noir dans une pièce sombre, surtout lorsqu'il n'y est pas. "
" Le monde est une comédie pour ceux qui pensent, une tragédie pour ceux qui sentent. " Horace.
