Ne vous sentez pas coupables quand même
Lorsque j'ai commencé ce projet j'étais conscient que ça allait être long et difficile, pas à ce point certes mais quand même. A ce moment là j'avais étudié plusieurs solutions :
- d'abord faire évoluer la plateforme actuelle : ça paraissait le plus simple au premier abord, mais c'est très fastidieux car il faut se replonger dans des pages de codes dont je me souviens plus le fonctionnement. En plus, le code est complètement obsolète face aux versions actuelles de PHP. Bref c'est soit du bricolage, soit comme repartir de zéro !
- autre solution qui permettrait d'aller très vite : utiliser un CMS comme tu le proposes Quesh. Malheureusement c'est très complexe pour convertir la base de données actuelle pour la rendre compatible. Beaucoup de données auraient été perdues et c'est dommage. Puis après quelques essais je me suis rendu compte qu'on risquait de perdre pas mal de fonctionnalités qui existent déjà avec la version actuelle.
- enfin dernière solution que j'ai retenue : repartir de zéro avec l'aide d'un "framework" qui aide et accélère drôlement le développement et qui me permet de reprendre le plus gros de la structure de la base de donnée actuelle. Je ne regrette pas du tout ce choix, car j'ai appris une toute nouvelle façon de concevoir un site (pour les connaisseurs en passant à la POO et au MVC notamment) et ça change la vie. La contre-partie, c'est que je suis du coup encore plus ambitieux
C'est vrais en revanche que parfois j'aimerais ne pas être seul devant ce projet. Mais je ne connais personne dans mon entourage qui a les connaissances requises et je ne tiens pas non plus travailler avec quelqu'un éloigné où l'on se retrouverait à passer plus de temps sur MSN pour se mettre d'accord qu'à développer le site !
Conclusion, je continue tranquillement et ce sera terminé quand ça sera terminé ! Désolé pour les impatients
mais l'avantage c'est que la surprise sera d'autant plus grande
Magaris : ce n'est pas le problème la modération, avec la fréquentation actuelle on s'en sort bien à 3.
"Les Alpes sont pour l'Isérois le raisin sec sur la polente, la cerise sur le gâteau."