message posté le 18 juil 2009 à 17h16
Le fait est que depuis la crise du verglas, les villes ont plus tendance a enfouir les fils.
A Sherbrooke, dans les nouveaux secteurs bourgeois en construction, les fils sont enfouis a mesure. Il n'y a rien qui pendouille dans les airs.
Une autre avantage qu'on a a Sherbrooke, c'est qu'ici, l'électricité est municipalisé (nous ne sommes pas tributaire d'H'ydro-Québec), ce qui est quasi unique au Québec. Hydro-Sherbrooke étant un organisme satellite de la ville, il devient simple de mettre en place des programmes d'enfouissement des fils dans la ville. D'ailleurs, ici, chaque année, la ville y travaille ardemment...
Mais ce n'est pas le cas dans le reste du Québec. Étant donné que la province est majoritairement déservie par Hydro-Québec, c'est extrêmement long avant de pouvoir recevoir des subventions ou faire partie d'un programme d'enfouissement. Plusieurs municipalités décident donc d'oublier l'idée...
A Sherbrooke, dans les nouveaux secteurs bourgeois en construction, les fils sont enfouis a mesure. Il n'y a rien qui pendouille dans les airs.
Une autre avantage qu'on a a Sherbrooke, c'est qu'ici, l'électricité est municipalisé (nous ne sommes pas tributaire d'H'ydro-Québec), ce qui est quasi unique au Québec. Hydro-Sherbrooke étant un organisme satellite de la ville, il devient simple de mettre en place des programmes d'enfouissement des fils dans la ville. D'ailleurs, ici, chaque année, la ville y travaille ardemment...
Mais ce n'est pas le cas dans le reste du Québec. Étant donné que la province est majoritairement déservie par Hydro-Québec, c'est extrêmement long avant de pouvoir recevoir des subventions ou faire partie d'un programme d'enfouissement. Plusieurs municipalités décident donc d'oublier l'idée...