C'est une histoire effroyable comme on en entend de plus en plus et meme en France . Plusieurs affaires de ce type ont fait la une il ya quelques années . ce qu'on appelait les " tournantes" une fille se faisaient séquestrer dans une cave et plusieurs jeunes garçons la violaient pendant des heures. Je ne m'explique pas la sauvagerie de ces actes chez des gamins . Plus reccemment , un groupe de jeunes filles mettent le feu dans la boite aux lettres d'une de leurs camarades de classe qu'elles detestent . Le feu se propagent et tue 18 personnes dans l'immeuble. un autre groupe de jeunes filles séquestre une camarade dans un moulin et la torture en la brulant avec des mégots de cigarette et finissent par la tuer a coup de bouteille sur le crane... Et tres souvent et de plus en plus des histoires de jeunes fills se faisant violer , dans des caves , des sous sol , c'est incroyable au vu du jeune age des agresseurs
On dis souvent que cela vient des images pornographiques diffusées par les médias ... mais nous avons tous été confronté à l'eveil sexuel de differente maniere et on est tous passé par là , comme j'ai pu le lire plus haut , nous n'avons pas tous agit de maniere agressive . Le probleme vient d'un manque d'education avec des parents ne fixant pas de limite dès le plus jeune age. Je ne dis pas que l'enfant agresseur n'est pas directement en faute , il convient non pas de le punir comme on taperait sur les doigts d'un gamin ayant fait une betise, mais passer par la voie judiciaire pour une chose aussi grave et mettre en place une structure adaptée pour des momes aussi dangereux.
On aura toujours des psychologues , pédopsychiatres qui analyseront davantage l'agresseur , son esprit torturé , ce qui l'a conduit à de tels actes et mettront en avant que le jeunes ages de l'enfant ne peu etre compatible à une action judiciaire . Mais qu'en est il de la victime ? de ses parents , de son entourage ? des conséquences sur sa vie , son avenir , des séquelles psychologiques à vie ?
GER a écrit On dis souvent que cela vient des images pornographiques diffusées par les médias ... mais nous avons tous été confronté à l'eveil sexuel de differente maniere et on est tous passé par là , comme j'ai pu le lire plus haut , nous n'avons pas tous agit de maniere agressive . Le probleme vient d'un manque d'education avec des parents ne fixant pas de limite dès le plus jeune age. Je ne dis pas que l'enfant agresseur n'est pas directement en faute , il convient non pas de le punir comme on taperait sur les doigts d'un gamin ayant fait une betise, mais passer par la voie judiciaire pour une chose aussi grave et mettre en place une structure adaptée pour des momes aussi dangereux.
Il semble que nous soyons du même avis la dessus. C'est d'ailleurs en regard de ça que j'ai publié le second article.
A cet age, bien souvent, les jeunes sont encore des enfants. Ils n'ont pas le discernement d'un adulte pour comprendre la portée de leur actes. Il faut leur apprendre, leur donner le bon exemple. Voila la responsabilité des parents.
Il faut regarder l'éducation que reçoit le jeune agresseur avant tout... voir ce qui cloche, comme dit dans l'article...
Citation c'est incroyable comment à partir de faits divers singuliers, on peut en déduire des règles générales...
C'est incroyablement facile de manipuler les gens avec les réactions émotives, si tu les bombardes assez longtemps avec des faits divers ils arriveront à croire que ça arrive à chaque coin de rue tous les jours.
Citation c'est incroyable comment à partir de faits divers singuliers, on peut en déduire des règles générales...
C'est incroyablement facile de manipuler les gens avec les réactions émotives, si tu les bombardes assez longtemps avec des faits divers ils arriveront à croire que ça arrive à chaque coin de rue tous les jours.
La question n'est pas de manipuler ou non l'opinion des gesn : la question est de faire connaître au grand public ces faits et surtout le contexte légal juridique qui a permis de laisser ces individus (enfants et adultes) en liberté. Tout crime se doit d'être puni. Qu'on soit un enfant ou un adulte, il doit y avoir des conséqeunces aux gestes posés. Bien sûr, l'enfant chez qui la notion de bien et de mal n'est pas toujours solidement établie et clairement assimilée ne doit pas recevoir la même sentence -si sentence il doit y avoir) mais il n'en faut pas moins que la société encadre l'enfant (ou les enfants) en question de façon très stricte pour comprendre quelles furent les motivations profondes ayant amenés l'enfant à viloer, à foutre le feu ou à tuer par exemples et à partir de là faire un diagnostic (il faut aussi diagnostiquer les parents) et prendre les décisions qui s'imposent par la suite : doit-on retirer l'enfant du milieu familial s'il est prouvé que celui-ci a pu servir de terreau fertile ? l'enfant doit-il être conséquemment mis entre les mains d'experts (psychiatres, psychoéducateurs, etc...) ?
Ce ne sont pas des faits divers et ne doivent pas être traités comme tels.
"Oncques ne fauldray...jamais ne faillira"
Homo Platoregimontis
message posté le 2 fév 2009 à 18h52édité le 2 fév 2009 à 18h57 par The Rock [membre]
Je crois que tant la vision de yarabundi est valable, tant celle de postdam l'est aussi.
Il est vrai que ce genre d'histoire isolé frappe l'imaginaire. On aura tôt dit ''nous vivons dans un monde de fous !''. Les gens vont vite généraliser et émettre des conclusions ''généralistes''.
D'un autre coté, ce genre d'atrocité doit être dit. C'est ce qu'il faut, je crois, pour permettre d'ouvrir les consciences et paver la voie de la remise en question.
L'erreur je crois, est de focaliser sur les événements négatifs seulement. Les médias sont souvent accusés de procéder ainsi. Normal, si on cherche a faire des ventes, on cherche les histoires a sensation. L'autre erreur est aussi faite du coté de l'individu qui, comme je disais, aura souvent tôt fait de généraliser et conclure des choses a tort.
Malheureusement les "faits divers" de ce genre sont trop nombreux et d'autant plus affreux qu'ils impliquent des enfants.
Celui qui m'a le plus marqué c'est il y a quelques années en Angleterre ces deux gamins d'une dizaine d'années aussi qui avaient enlevé un tout petit enfant dans un magasin je crois, et qui l'avaient emmené dans un endroit désert et l'avaient massacré. Il ont été placés dans un centre d'éducation. Ils n'avaient pas vraiment conscience de l'atrocité de leur crime. Ils s'amusaient, avaient-ils dit.
moctezuma a écrit c'est incroyable comment à partir de faits divers singuliers, on peut en déduire des règles générales...
On ne parle pas de faits divers : un fait divers est un évènement qui n'a aucune importance -qui tient de la trivialité. Quand des citoyens accusés de méfaits -dont le crime d'avoir assassiné un être humain entre autre- se retrouvent en liberté à cause d'entorse aux procédures ou pire !! comme dans le cas cité par Twenty20.
Aimerais-tu aller dire aux parents du jeune assassiné à Montréal par erreur qu'il s'agit d'un fait divers. Je suis certain que tu regrettes déjà d'avoir utilisé ce terme par mégarde. Nous t'en pardonnons déjà. D'autre part, nous ne déduisons pas de règles générales mais nous faisons remarquer qu'il y a des dérives qui existent et qui ont mené à des injustices contre lesquels nos systèmes juridiques devraient pouvoir se prémunir !!
C'est quoi ce language de curés ? !
Ce sont bien des faits divers, car comme tu les définit, ce sont des évènements sans importance. il y a toujopurs une importance pour quelqu'un, mais pour la société, cela reste assez vague.
Je n'ai jamais dit qu'il fallait s'en foutre.Notre définition des "faits divers" diverge Mon propos se limite à m'intergoger sur la capacité à généraliser des cas particuliers.
Le 10 000ème messages du forum "dernier mot", c'est qui ? Bin c'est moi !!!
Le fait que ce soient des faits divers ne les fait pas moins horribles, je n'étais pas en train de commenter l'histoire en question, je ne faisais que discuter sur la géneralisation avec moctezuma.
La presse ne répresente pas une vision objective de la réalité, et il ne faut jamais oublier ceci. Les histoires de faits divers (pas comme celle-ci) choisies spécialement par les médias ont servi à causer par exemple de la discrimination contre les étrangers (voire Italie) ou, par le passé, la peur sur les populations de certains pays.
Ceci dit, cette histoire ci sert à montrer certaines faiblesses du système judiciare, elle a un effet sans doute positif.
Mais ce ne sont pas les histoires individuelles, c'est tout le groupe des histoires qu'on raconte dans la presse qu'on doit regarder, et aussi dans quel sens elles sont dirigées. car ces histoires peuvent causer des effets secondaires négatifs inattendus, comme la discrimination contre les malades mentaux en france par exemple[1].
[1] Pour la science, Février 2009: Psychiatrie: comment changer le regard que la société porte sur ses malades
Me comparer à un curé moi qui se plairait à en torturer un chaque soir avant d'aller au lit !!
Pour moi un fait divers n'implique ni la mort d'un enfant, ni la torture ou le viol d'une jeune enfant par d'autres. Il n'y a rien de divers là-dedans.
L'élection de Miss France, ça c'est divers. La cure de désintox d'amy Winehouse, ça c'est du fait divers.
Un revendeur de drogue qui se fait tuer, ça c'est un fait divers.
Le fait que vous considériez les évènements qui sont à l'origine de cette discussion comme des faits divers me fait penser que vous les trouvez banals.
Pour ce qui est de la tendance des médias à mettre l'accent sur le sensationnalisme et les tragédies, c'est tout de même dans la nature même des médias : on parle pas de la météo quand il fait beau. On ne parle pas de politique quand tout va bien. Un émission de débat publique est plus intéressant quand deux débateurs s'engueulent et ainsi de suite.
Je voudrais ajouter que la façon que vous avez de réagir face aux médias me porte à croire que les médias français sont plus enclins aux dérives que les médias de chez nous car la plupart du temps je ne reconnais pas le Québec dans la culture des médias que vous décrivez.
"Oncques ne fauldray...jamais ne faillira"
Homo Platoregimontis