En tant qu'écrivain amateur (j'écris pour moi-même), je peux te dire que tu as un excellent style. Ton histoire tient la route, tu décris bien les situations, je n'ai pas tout lu disons que j'ai "survolé" ton texte, mais c'est pas mal du tout. [daccord]
Si tu n'as que 14 ans alors c'est très bien ! [ok] A ton âge, j'aurais été incapable d'écrire aussi bien. [ok]
subway a écrit pfff : notre prof de francais nous dit que si on fait une faute , et bien c'est naze , masi si victor hogo la fait alors c'est bien
C'est vrai que l'orthographe n'est pas le plus important, mais quand il y a trop de fautes, ça ne donne pas envie de lire. Et puis, que je sache, aucun d'entre nous n'a le talent de Victor HUgo. [vert]
Les hommes naissent libres et égaux en droits. Après ils se démerdent ! (Jean Yanne)
On n'arrête pas de jouer quand on devient vieux, on devient vieux quand on arrête de jouer. (George Bernard Shaw)
message posté le 6 juil 2007 à 13h27édité le 6 juil 2007 à 13h30 par fan de simcity 4
J'ai pas eu beaucoup le temps d'écrire hier alors je vous montre la version re faites un tout petit peu mieux du chapitre 1 et le tout tout tout petit peu que je viens de faire sur le deuxième chapitre:
le miroir du monde et la mystérieuse base n°32 a écrit
Chapitre 1
La première vision de vie ___________________________________________________________
2135, Base d’’expérience n°32 à 160 pieds sous Londres…
Appuyé sur un mur blanc et un sol en en petites dalles blanches, la tête dans les mains, Yan réfléchit et cherche dans sa mémoire. Essayant de retrouver de ce qu’il faisait avant d’être dans ce couloir jusqu’à se demander comment il était arrivé ici. D’ailleurs, au plus Yan l’observait ce couloir au plus il se disait qu’il ressemblait à un couloir d’hôpital complètement inanimé…
Yan leva la tête et grata son crâne ; il sursauta, son crâne était rasé ! Il s’était déjà rendu compte qu’il portait un genre de costume de fou. Il était blanc et fait avec une texture de coton, il n’était pas vraiment beau mais il n’était pas non plus affreux. Par contre, il ne s’était pas encore vu dans un miroir donc il ne s’était pas rendu compte de sa coupe !
Il se leva, mit sa main dans sa poche et trouva une clé blanche fait d’une matière ressemblant à du plastique ou du polystyrène très résistant, un briquet et une demi-douzaine de cigarettes complètement blanches, il eut comme un déclic en le voyant, il en sortit une et commença à la fumer très rapidement. Pendant ce temps il reprit le paquet et le regarda attentivement :
rien, juste un paquet blanc avec dessus une sorte d’avertissement et le briquet était complètement identique ; tout blanc.
Après avoir fini sa cigarette, il commença à marcher d’un pas rapide et déterminé dans le couloir à la recherche d’une réponse à sa mémoire. Yan passa devant des dizaines et dizaines de portes dans le long couloir blanc, toutes les portes étaient du même type :
gris métallique avec des hublots ronds teintés.
Entre chaque porte des tableaux sur lesquels défilaient des têtes de personnes et permettant, à première vue, d’ouvrir les portes et de contrôler l’intérieur grâce à une option tactile.
Il courut et courut mais le couloir ne se finissait jamais… après une petite heure John s’arrêta d’épuisement et approcha d’un hublot pour se regarder :
un visage assez long et affiné, il était bien marqué avec juste une petite barbe naissante, il avait des grands yeux vermillon avec d’énormes cernes, ses oreilles étaient petites et avec des arcades peu définies, il avait aussi un grand front et des cheveux rasés tout court brun clair voir même châtain. Après s’être regardé attentivement, il s’approcha et mit ses mains pour mieux voir à travers…
Il recula d’un bond vif ! Des centaines et centaines de caissons avec des fils un peu partout et des hommes et des femmes à l’intérieur, qui étaient rasés et habillés en blanc tout comme lui ! C’était dans une pièce noire qui n’en finissait pas un peu comme le couloir dans lequel il
se trouvait. Il s’assit à côté de la porte en remettant ses mains dans sa tête pour réfléchir… il réfléchit et réfléchit sans trouver de solution ni d’explication. Pourquoi des personnes voudraient-ils mettre des hommes en vie dans de tels caissons? Pourquoi était-il le seul réveillé et pourquoi étaient-ils tous rasés et habillés ainsi?
Tout ce dont il arrivait à se souvenir c’était qu’il était atterri dans ce couloir et de son nom… ou plutôt juste de son prénom ; Yan. Il ne s’avait même pas d’où il venait et où il allait surtout…
Il réfléchit encore et vu en fermant ses yeux quelques flash d’une autre vie. Il continua à chercher en lui… ses flashs étaient de plus en plus précis et long...
Novembre 2008, dans une maison de Londres …
Une sonnerie retentit dans une chambre de la banlieue londonienne, une main vola de la couette du lit jusqu’à la petite table de nuit et atterrit sur le réveil électrique dans un bruit sourd et la sonnerie s’arrêta… mais peu de temps après le réveil reprit son énervant tintement. La main repartit de la couette mais cette fois-ci, celle-ci bougea en même temps que le réveil s’arrêta et l’homme en dessous en sortit ; il s’appelait John.
John sortit de sa chambre en titubant de sommeil, il était 5H30. Il arriva dans le couloir, il était tout petit avec une moquette verte et le mur étaient séparé en deux parties :
le haut était beige tandis que le bas était fait de lattes de bois importé du Brésil, ses parents en était très fier et dès qu’ils avaient des invités ils étaient obligés de les montrés en ajoutant toujours un petit « ça nous à couté très cher ! » ou « c’est un vrai miracle qu’on est put s’en procurer ! ». Dans ce couloir, il y avait aussi quatre portes dont une pour la chambre de ses parents, deux autres pour sa chambre et celle de son frère et la dernière pour la salle de bain tout au fond du couloir où il se rendait sans faire de bruit car ses parents dormait encore. Il ouvra et ferma la porte de *merbeau de la salle de bain puis se déshabilla, entra dans la baignoire et prit l’extension de douche mis au bain. Il mit la paroi et ouvrit la douche à 38°C. Il s’endormit bien trois fois sous l’eau chaude avant de quitter la douche. Après avoir quitté la douche, il s’essuya et se mit près de l’évier pour se sécher ses cheveux brun clair en bataille, on aurait pu dire qu’ils étaient châtain aussi…
John ferma la lumière et descendit l’escalier. En bas de celui-ci il y avait un autre couloir de la même taille que celui du premier, ses murs étaient d’un vert pomme foncé et il y avait des dalles brunes de taille moyenne pour recouvrir le sol et dans ce couloir se trouvait deux portes et deux arcades :
en face de l’escalier, il y avait la porte d’entrée en bois massif, à droite de celle-ci une arcade qui amenait, la deuxième porte amenait à la buanderie où étaient situés le porte-manteaux et la machine à laver et vraiment juste à droite de l’escalier se situait la deuxième arcade qui amenait à la cuisine.
John détestait ses parents et sa maison. Ils avaient toujours préféré son petit frère à lui ce qui l’exaspérait. Ils ne faisaient même plus attention à lui, à l’heure à laquelle il rentrait, de ses points, de ses activités,… Tout ce qui les intéressent c’était Tucker ; son petit frère ! C’est pour ça que ce matin-là, la décision qu’il prenait lui paraissait obligatoire.
John se rendit dans la cuisine et ouvrit la lumière et la cafetière qui faisait un bruit de vieille AK47 avec un problème de fabrication. Depuis qu’il était tout petit il n’avait jamais vu un changement dans cette cuisine. Son père lui répétait sans cesse que changer des choses qui marchaient encore contre des nouvelles n’avait aucune utilité c’était pour ça qu’il gardait son GSM depuis à peu près dix ans ! John pensait surtout que c’était un vieux radin ! Il prit dans l’armoire coulissante des céréales et du lait dans le frigo.
Il quitta la pièce par l’arcade en haut à gauche de la pièce et arriva dans la salle à manger qui donnait au jardin grâce à une superbe verrière créer il y trois ans par son père et lui.
D’ailleurs il en était très fier. À l’intérieur il n’y avait que des plantes et un petit arrosoir mit sur un tabouret. Il s’assit sur une des chaises de la salle à manger et versa du lait dans le bol de céréales qu’il avait prit dans le buffet se trouvant dans le coin droit de la pièce.
John avait toujours trouvé ce buffet hideux mais il rattachait sa famille à leur grand-mère qui leur en avait fait cadeau dans son héritage. C’était pour ça que ses parents avaient gardé cet horrible buffet depuis tout ce temps…
Il mangea lentement et avec dépit et pendant qu’il mangeait, il regarda la verrière une dernière fois et repensa à son père entrain de travailler à sa construction avec lui derrière pour l’aider...
C’était en été et sa mère l’avait obligé à aider son père à la construire car il jouait beaucoup trop à son ordinateur. C’était un des seuls étés où il s’était amusé avec son père ; un bref sourire se dessina au coin de ses lèvres, en y repensant ça l’amusait de savoir qu’ils avaient fait attention à lui plus d’une journée. Il termina et se dépêcha de quitter la salle à manger.
Il arriva dans la cuisine et prit vite une tasse de café noir. John prit son sac mit sur le comptoir et l’ouvrit, il prit un mot dans celui-ci, se rendit dans le salon et le posa sur la table qui se trouvait en face de la nouvelle télévision que son frère et sa mère avait acheté pour l’anniversaire de son père, il s’en était d’ailleurs plaint car l’ancienne télévision marchait encore ! Encore un prétexte pour garder de l’argent… John était enfin prêt et pouvait partir… il s’avança lentement vers la porte d’entrée et se retourna une dernière fois vers le couloir. Il le regarda attentivement puis se demanda leurs réactions quand ils liraient son mot, peut être que son père rira et lancera « enfin une bouche en moins à nourrir » avec son horrible double menton qui boucherait en rythme avec son gros rire gras et ses petits yeux de fouine qui s’illumineraient… sa mère ferrait sûrement l’hypocrite en pleurant et en criant à tout les voisins qu’elle l’aimait tellement son fils tandis que son frère demanderait directement s’il pourrait avoir sa chambre… c’était un vrai opportuniste celui-là.
John sortit de la maison en essayant de faire le moins de bruit possible avec la porte d’entrée qui d’habitude grinçait. Il courut dans la rue en passant devant des dizaines et dizaines de maisons identiques à celles de ses parents pour arriver devant un arrêt de bus. il regarda sa montre, elle affichait 6H20 et le premier bus était à 6H33. Il lui restait donc treize minutes avant son arrivée. Il s’assit deux mètres plus loin sur un banc qui se trouvait dans la plaine de jeu du quartier. Il attendit et attendit, il ne lui restait plus que trois minutes à attendre, John commença à en avoir marre et se leva pour aller quelques instants dans la plaine. À cet heure ci son frère devait être déjà debout entrain soit de lire son mot soit de se préparer, quand à ses parents, ils…
Une lumière blanche et étincelante l’interrompit dans ses pensées et ses yeux devinrent blanc teinté…
Retour à la base n°32…
Yan ouvrit les yeux et se retrouva dans le couloir, une lumière aveuglante lui avait fait ouvrir les yeux ; il ne voyait plus, il était aveugle ! Non, non… Il avait juste été ébloui par le flash car il commençait déjà à recouvrer la vue. Il voulait en savoir plus sur John, que lui était-il arrivé ? Il hésita un moment avant de recommencer mais il était vraiment intrigué par ce garçon, il remit sa tête dans ses mains et ferma les yeux…
Centre de Londres en Novembre 2008…
John était enfin arrivé en ville en prenant le bus. Il se dirigea vers la tour de Londres ; Big Ben. Là, il attendit quelqu’un, il faisait froid et il y avait de la brume. Bien qu’il ait son manteau d’hiver, il avait quand même froid. Il regarda en haut, la lune et les étoiles avaient déjà disparues, il faisait fort noir aussi. John en avait toujours eu peur du noir, il ne s’avait pas comment l’expliquer mais ce retrouver tout seul dans le noir l’avait toujours fait peur…Peut être y avait une réponse dans son subconscient, qui sait ?
Bien qu’il faisait fort froid, l’atmosphère était pesante et humide. C’était bizarre comme matinée à Buckingham palace :
Aucunes voitures ne passaient dans la rue ; Pourtant à sa connaissance cette rue était toujours bondée même au petit matin et il était quand même déjà 7H10. Ce mauvais temps et le fait qu’il n’y avait pas un chat ressemblait à un film d’horreur, ce qui ne plaisait pas du tout à John. Il mit ses mains dans ses poches et encastra sa tête dans son écharpe. Celle-ci appartenait à sa mère, il lui avait prise juste avant de partir. John se rendit compte que c’était lui qui lui avait offerte ; en y repensant, ça lui avait couté vraiment très cher.
L’ambiance était de plus en plus pesante, il n’y avait personne et il était tout seul depuis à peu près une demi-heure jusqu’au moment où le soleil se leva petit à petit et le ciel devint d’un bleu très clair sans nuages.
Une personne arriva dans la brume, son ombre était gracieuse et affinée, John la regarda arrivé, c’était sûrement Lise.
L’ombre se transforma et se dessina petit à petit en une magnifique jeune fille, elle avait une peau fine et blanche sans aucune imperfection, ses yeux était d’un bleu profond qui était accentué grâce à de superbe cils, ses cheveux étaient longs et brun avec de grande mèches blondes ce qui lui donnait un certain charme, sa bouche était fort pulpeuse et son nez était fin et allongé, un peu comme une trompette, ça lui allait très bien aussi. John avait toujours eu un faible pour elle sans lui avouer. Il était fort timide et adorait le romantisme. Il préférait attendre, si ça devait arriver, ça arriverait ! En attendant, ils étaient juste « amis »…
-Salut ! Dit-elle en arrivant.
-Salut ! Alors comment ça va ? On y va ? Répliqua-t-il.
-Oui, c’est parti suis moi, je vais te montrer…
Ils marcheraient vers Big Ben mais ils furent coupés d’un coup par un flash blanc et John se protégea les yeux quand…
Base n°32…
Un liquide visqueux et bleu ciel venait de s’écouler lentement d’un caisson ouvert duquel Yan venait de se laisser tomber après son ouverture. Tous ses membres étaient endoloris, il n’arrivait plus à se lever et Il lui fallut quelques secondes pour remarquer qu’il se
trouvait dans une des grandes pièces noires avec tout les caissons…
Comment était-il arrivé ici ? Il regarda en haut puis à gauche et à droite et ne vu aucune porte ; la salle était-elle si grande ? On aurait dit qu’elle ne s’arrêtait jamais ; un peu comme le couloir.
Il se mit à se sentir vraiment bien et d’un coup, à avoir les idées plus claires. Il se leva et commença à courir pour trouver la sortie, il ne savait pas qui il était réellement et pour l’instant ne voulait pas le savoir, tout ce qui lui importait était de comprendre ce qu’il allait devenir et ce que cette endroit signifiait. Pendant sa course Yan repensa à ce garçon John…peut être avait il un rapport avec lui ou avec cet endroit, qui sait ?
Il s’arrêta net en voyant dans un container une femme ressemblant trait pour trait à Lise ; l’amie de John. IL toucha la vitre du caisson de ses deux mains écartées et la regarda attentivement :
Elle avait l’air beaucoup plus fatiguée et était beaucoup moins jolie avec ses cheveux rasés, mais son beau visage de porcelaine était tout à fait le même, ça ne pouvait être qu’elle. Il s’approcha de la gauche de la machine, là il y avait à peu près une cinquantaine de marques blanches reliées entres-elles sur un panneau en verre transparent avec une faible lumière verte pour éclairer un minimum. Yan toucha la marque la plus en haut à gauche et laissa appuyé ; un liquide jaunâtre s’écoula lentement dans le caisson. Lise commença à avoir des spasmes et des convulsions partout dans le corps et peu de temps après elle ouvrit les yeux, effrayé par la réaction bizarre de Lise, Yan retira son doigt ! Ses convulsions s’arrêtèrent et elle leva sa main pour toucher la vitre mais n’y arriva pas car elle se rendormit trop vite. Yan hésita longtemps avant de retoucher le plateau et sa main volait d’un côté à l’autre du tableau sans le toucher… pour finir, il toucha la marque la plus grosse un peu à droite du milieu du tableau :
le caisson s’ouvrit et le liquide bleu ciel avec quelques restes du produit jaunâtre s’écoulèrent peu à peu du caisson et Lise se laissa tomber sur elle-même. Une alarme commença à retentir…
Lise se réveilla et sentit une lourdeur peser sur elle. Mais où était-elle ? Un homme criait devant elle mais elle ne l’entendait pas. Une lumière rouge n’arrêtait pas de clignoter, elle se sentait exténuée et ne savait pas où elle était…
Le bruit devenait de plus en plus perceptible jusqu’au moment où elle pouvait entendre l’homme et un bruit énervant à vouloir se tuer !
L’homme devant elle se bouchait les oreilles et criait très fort pour couvrir le bruit :
- Allez ! Dépêche-toi ! Je crois bien que c’est une alarme. Vite, il faut aller vers la sortie ! Vite lève-toi !
De quoi parlait-il ? Déjà où était-elle ? Lise était bien trop fatiguée pour obéir et se lever, rien que penser lui donnait mal à la tête. L’homme la prit par la main et la tira, elle le suivit sans savoir dans quel aventure elle se lançait...
Chapitre 2
La réalité du niveau 0 ___________________________________________________________
Yan tourna dans les grandes allées de la salle sans savoir où ils allaient, Lise n’était pas tout à fait consciente, elle ne faisait que le suivre. Il vu au loin deux lumières rondes ; ça devait être les hublots de la porte ! Yan couru beaucoup plus vite, l’alarme continuait de sonner… il arriva enfin près de la porte ! Il essaya de l’ouvrir mais elle était fermée ! Il regarda par la vitre et vu le grand couloir blanc, dedans, des drôles d’humanoïdes à trois yeux avec une petite trompe à la place du nez couraient vers cette porte avec des sortes d’armes électriques… en tout cas c’est ce que voyait Yan dans le hublot. Il ne savait pas quoi faire, il faisait noir, il n’y avait qu’une seule issue et il devait traîner Lise. Comment allait-il s’en sortir… Il savait qu’en lui il était complètement effrayé, mais ne devait pas l’être à l’extérieur, il devait être fort et trouver une solution… Puis là, Yan sentit une force monté en lui, il lâcha Lise sans s’en rendre compte, son corps se suréleva de trente centimètre au-dessus du sol, son corps se crispa et se tordit jusqu’à ce que tout son corps se mettent en arc avec les bras et les jambes écartés et des grandes lumières blanches lui sortirent d’un peu partout du visage jusqu’à ce que son corps se stabilisa sur le sol et que les lumières blanches ne sortirent que de ses yeux. Les espèces d’aliens à trois yeux ouvrirent la porte grâce au tableau tactile et entrèrent dans la pièce. Yan ne se rendait plus compte de rien, il était comme déconnecté de son corps et ne pouvait que voir ce qui se passait, il avait à la fois fort peur de ce que son corps pouvait faire mais été tout aussi intrigué par ce qu’il lui arrivait… Son corps ne bougeait pas, il était comme paralysé. Un des aliens cria en entrant dans la pièce une sorte de langage complètement différent du sien.
________________________________________________________________________
*Merbeau : bois exotique du Sud de l’Europe servant à créer des objets communs. Ex : portes, escaliers,… -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Evidemment ce n'est pas du tout la même mise en page que ce que je vous montre, d'ici deux trois jours si mes parents s'absente assez fréquemment, je pourrais faire des photos de ma mise en page et de tout ce que je fais![oeil] En faites mes parents me permettent juste d'écrire sur word c'est tout normalemeent comme je suis puni![sourcils]