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Suite de mon écrit en p.2: Le miroir du monde et la mystérieuse base n°32. Venez lire!

message posté le 3 juil 2007 à 20h24(message édité)édité le 6 juil 2007 à 13h42 par fan de simcity 4

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fan de simcity 4

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Voilà, j'écris un peu pour moi et personne ne me lit à par mes parents qui me disent évidemment : "mais oui c'est bien!" sans savoir pourquoi ils disent ça![non]

Alors voilà mon histoire:


Titre=>Le miroir du monde : La base n°32 a écrit


Chapitre 1
La première vision de vie
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2135, Base d’’expérience n°32 à 160 pieds sous Londres…

Appuyé sur un mur blanc et un sol en en petites dalles blanches, la tête dans les mains, Yan réfléchit ; divaguant de sa vie avant d’être arrivé ici jusqu’à se demander comment était-il arrivé dans ce couloir qui ressemblait à un couloir d’hôpital du 21èmesiècle.
Yan leva la tête et grata son crâne ; il sursauta, son crâne était rasé ! Il s’était déjà rendu compte du changement de ses vêtements avec un genre de costume de fou ; Blanc et fait avec une texture de coton, il n’était pas vraiment beau mais il n’était non plus affreux. Par contre, il ne s’était pas encore vu dans un miroir donc il n’avait pas vu sa tête et ne s’était pas rendu compte du changement de coupe !

Il se leva et mit sa main dans sa poche et trouva une clé blanche fait d’une matière ressemblant à du plastique ou du polystyrène très résistant, un briquet et une demi-douzaine de cigarettes complètement blanches, il eut comme un déclic en le voyant, il en sortit une et la fuma rapidement. Pendant ce temps il reprit le paquet et le regarda attentivement :
rien, juste un paquet blanc avec dessus une sorte d’avertissement et le briquet était complètement identique ; tout blanc.

Après avoir fini sa cigarette, il commença à marcher d’un pas rapide et déterminé dans le couloir à la recherche d’une réponse à sa mémoire. Yan passa devant des dizaines et dizaines de portes dans le long couloir blanc, toutes les portes étaient du même type :
gris métallique avec des hublots ronds teintés.
Entre chaque porte des tableaux sur lesquels défilent des têtes de personnes et permettant d’ouvrir les portes et contrôler l’intérieur grâce à une option tactile.
Il courut et courut mais le couloir ne se finit jamais puis il s’arrêta et se regarda dans le hublot :
un visage assez long et affiné, il était bien marqué avec juste une petite barbe naissante, il avait des grands yeux vermillon avec de grandes cernes, ses oreilles étaient petites et avec des arcades peu définies, il avait aussi un grand front et des cheveux rasés tout court brun clair voir même châtain. Après s’être regardé attentivement, il s’approcha et mit ses mains pour mieux voir à travers…

Il recula d’un bond vif ! Des centaines et centaines de caissons avec des fils un peu partout et des hommes et des femmes à l’intérieur, qui étaient rasés et habillés en blanc tout comme lui ! C’était dans une pièce noire qui n’en finissait pas un peu comme le couloir dans lequel il
se trouvait. Il s’assit à côté de la porte en remettant ses mains dans sa tête pour réfléchir… il réfléchit et réfléchit sans trouver de solution ni d’explication. Pourquoi des personnes voudraient-ils mettre des hommes en vie dans de tels caissons? Pourquoi était-il le seul réveillé et pourquoi étaient-ils tous rasés et habillés ainsi?
Tout ce dont il arrivait à se souvenir c’était de son nom… ou plutôt juste de son prénom et d’être atterri dans ce couloir. Il ne s’avait même pas d’où il venait et où il allait surtout…
Il réfléchit encore et vu en fermant ses yeux quelques flash d’une autre vie. Il continua à chercher en lui… ses flashs étaient de plus en plus précis et long...


Novembre 2008, dans une maison de Londres …

Une sonnerie retentit dans une chambre de la banlieue londonienne, une main vola de la couette du lit jusqu’à la petite table de nuit et atterrit sur le réveil électrique dans un bruit sourd et la sonnerie s’arrêta. Peu de temps après le réveil reprit son énervant tintement. La main repartit de la couette mais cette fois-ci, celle-ci bougea en même temps que le réveil s’arrêta et l’homme en dessous en sortit ; il s’appela John.

John sortit de sa chambre en titubant de sommeil, il était 5H30. Il arriva dans le couloir, il était tout petit avec une moquette verte et le mur étaient séparé en deux :
le haut était beige tandis que le bas était fait de lattes de bois importé du Brésil, ses parents en était très fier d’ailleurs et dès qu’ils avaient des invités ils étaient obligés de les montrés en ajoutant toujours un petit « ça nous à couté très cher ! » ou « c’est un vrai miracle qu’on est put s’en procurer ! ». Dans ce couloir, il y avait aussi quatre portes dont une pour la chambre de ses parents,
deux autres pour sa chambre et celle de son frère et la dernière pour la salle de bain tout au fond du couloir où il se rendait sans faire de bruit car ses parents dormait encore. Il ouvra et ferma la porte de *merbeau puis se déshabilla dans la petite salle
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*Merbeau : bois exotique du Sud de l’Europe servant à créer des portes tout à fait
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de bain, entra dans la baignoire et ouvrit l’extension de douche mis au bain, il mit la paroi et ouvrit la douche à 38°C. Il s’endormit bien trois fois sous l’eau chaude avant de se reprendre et quitté la douche. Après avoir finit il s’essuya et se mit près de l’évier pour se sécher ses cheveux brun clair en bataille, on aurait pu dire qu’ils étaient châtain aussi…

Il ferma la lumière et descendit l’escalier. En bas de celui-ci il y avait un autre couloir de la même taille que celui du premier, ses murs étaient d’un vert pomme foncé et il y avait des dalles brunes de taille moyenne pour recouvrir le sol et dans ce couloir il y avait deux portes et deux arcades :
en face de l’escalier, il y avait la porte d’entrée en bois massif avec une petite vitre en haut, à droite de celle-ci une arcade qui amenait au salon et vraiment juste à droite de l’escalier, une autre arcade qui amenait à la cuisine qui est juste à côté du salon et il y avait une dernière porte qui amenait à la buanderie où sont situés le porte-manteau et la machine à laver.

John détestait ses parents et sa maison. Ils avaient toujours préféré son petit frère à lui ce qui l’exaspérait. Ils ne faisaient même plus attention à lui, à l’heure à laquelle il rentrait, de ses points, de ses activités,… Tout ce qui les intéressent c’est Tucker ; son frère ! C’est pour ça que ce matin la décision qu’il prenait lui paraissait obligatoire.

John se rendit dans la cuisine et ouvrit la lumière et la cafetière qui fit un bruit de vieille AK47 avec un problème de fabrication. Depuis qu’il était tout petit il n’avait jamais vu un changement dans la cuisine.
Son père lui répétait sans cesse que changer des choses qui marchaient encore contre des nouvelles n’avait aucune utilité c’était pour ça qu’il gardait son GSM depuis à peu près dix ans ! Il prit dans l’armoire coulissante des céréales et du lait dans le frigo.

Il quitta la pièce par l’arcade en haut à gauche de la pièce et arriva dans la salle à manger qui donnait au jardin grâce à une superbe verrière créer il y trois ans par son père et lui.
D’ailleurs il en était très fier. À l’intérieur il n’y avait que des plantes et un petit arrosoir mit sur un tabouret. Il s’assit sur une des chaises de la salle à manger et versa du lait dans le bol de céréales qu’il avait prit dans le buffet se trouvant dans le coin droit de la pièce.
Ce buffet n’était pas très beau mais il rattachait sa famille à leur grand-mère qui leur en avait fait cadeau dans son héritage.
C’est pour ça que ses parents avaient gardé cet horrible buffet depuis tout ce temps.

Il mangea lentement et avec dépit et pendant qu’il mangeait, il regarda la verrière une dernière fois et repensa à son père entrain de travailler à sa construction avec lui derrière pour l’aider...
C’était en été et sa mère l’avait obligé à aider son père à la construire car il jouait beaucoup trop à son ordinateur. C’était un des seuls étés où il s’était amusé avec son père ; un bref sourire se dessina au coin de ses lèvres, en y repensant ça l’amusait de savoir qu’ils avaient fait attention à lui plus d’une journée. Il termina et se dépêcha de quitter la salle à manger.

Il arriva dans la cuisine et prit vite une tasse de café noir. John prit son sac mit sur le comptoir et l’ouvrit, il prit un mot dans celui-ci, se rendit dans le salon et le posa sur la table qui se trouvait en face de la nouvelle télévision que son frère et sa mère avait acheté pour l’anniversaire de son père. Il était enfin prêt et pouvait partir… il s’avança lentement vers la porte d’entrée et se retourna une dernière fois vers l’escalier, il le regarda attentivement et se demanda leur réaction quand ils liront le mot, peut être que son père rira et lancera « enfin une bouche en moins à nourrir » avec son gros double menton qui se boucherait en rythme avec son gros rire gras et ses petits yeux de fouine qui s’illumineraient… sa mère ferrait sûrement l’hypocrite en pleurant et en criant à tout les voisins que elle l’aimait tant tandis que son frère demanderait directement s’il pourrait avoir sa chambre… c’était un vrai opportuniste celui-là !

John sortit de la maison en essayant de faire le moins de bruit possible avec la porte qui d’habitude grinçait. Il courut dans la rue en passant devant des dizaines et dizaines de maisons identiques à celles de ses parents pour arriver devant un arrêt de bus. il regarda sa montre, elle affichait 6H20 et le premier bus était à 6H33. Il lui restait donc treize minutes avant son arrivée. Il s’assit deux mètres plus loin sur un banc qui se trouvait dans la plaine de jeu du quartier. Il attendit et attendit, il ne lui restait plus que trois minutes à attendre, John commença à en avoir marre et se leva pour aller quelques instants dans la plaine. À cet heure ci son frère devait être déjà debout entrain soit de lire son mot soit de se préparer, quand à ses parents, ils…
Une lumière blanche et étincelante l’interrompit dans ses pensées et ses yeux devinrent blanc teinté…


Retour à la base n°32…

Yan ouvrit les yeux et se retrouva dans le couloir, une lumière aveuglante lui avait fait ouvrir les yeux ; Il était aveugle ! Non, non… Il était juste aveugle pour quelques instants car il commençait déjà à retrouver la vue. Il voulait en savoir plus sur John, que lui était-il arrivé ? Il hésita un moment avant de recommencer mais il était vraiment intrigué par ce garçon, il remit sa tête dans ses mains et ferma les yeux…


Centre de Londres en Novembre 2008…

John était enfin arrivé en ville en prenant le bus. Il se dirigea vers la tour de Londres ; Big Ben. Là, il attendit quelqu’un, il faisait froid et il y avait de la brume. Bien qu’il ait son manteau d’hiver, il avait quand même froid. Il regarda en haut, la lune et les étoiles avait déjà disparues, il faisait fort noir aussi. Bien qu’il fasse froid, l’atmosphère était pesante et humide. C’était bizarre comme matinée à Buckingham palace :
Aucunes voitures ne passaient dans la rue ; Pourtant à sa connaissance cette rue était toujours bondée même au petit matin et pourtant il était déjà 7H10. Ce mauvais temps et le fait qu’il n’y avait pas un chat ressemblait à un film d’horreur, ce qui ne plaisait pas du tout à John. Il mit ses mains dans ses poches et encastra sa tête dans son écharpe. Celle-ci appartenait à sa mère, il lui avait prise juste avant de partir, d’ailleurs John se rendit compte que c’était lui qui lui avait offerte ; en y repensant, ça lui avait couté très cher.
L’ambiance était de plus en plus pesante, il n’y avait personne et il était tout seul depuis à peu près une demi-heure jusqu’au moment où le soleil se leva petit à petit et le ciel devint d’un bleu très clair sans nuages.

Une personne arriva dans la brume, son ombre était gracieuse et affinée, John la regarda arrivé, c’était sûrement Lise.
L’ombre se transforma et se dessina petit à petit en une magnifique jeune fille, elle avait une peau fine et blanche sans aucune imperfection, ses yeux était d’un bleu profond qui était accentué grâce à de superbe cils, ses cheveux étaient longs et brun avec de grande mèches blondes ce qui lui donnait un certain charme, sa bouche était fort pulpeuse et son nez était fin et allongé, un peu comme une trompette, ça lui allait très bien aussi. John avait toujours eu un faible pour elle sans lui avouer. Il était fort timide et adorait le romantisme. Il préférait attendre, si ça devait arriver, ça arriverait ! En attendant, ils étaient juste amis…
-Salut ! Dit-elle en arrivant.
-Salut ! Alors comment ça va ? On y va ?
-Oui, c’est parti suis moi, je vais te montrer…
Ils marcheraient vers Big Ben mais ils furent coupés d’un coup par un flash blanc et John se protégea les yeux quand…


Base n°32…

Un liquide visqueux et bleu ciel venait de s’écouler lentement d’un caisson ouvert duquel Yan venait de se laisser tomber après son ouverture. Tous ses membres étaient endoloris, il n’arrivait plus à se lever et lui fallut quelques secondes pour remarquer qu’il se
trouvait dans une des grandes pièces noires avec tout les caissons…

Comment était-il arrivé ici ? Il regarda en haut puis à gauche et à droite et ne vu aucune porte ; la salle était-elle si grande ? On aurait dit qu’elle ne s’arrêtait jamais ; un peu comme le couloir.
Il se mit à se sentir vraiment bien et d’un coup, à avoir les idées plus claires. Il se leva et commença à courir pour trouver la sortie, il ne savait pas qui il était et pour l’instant ne voulait pas le savoir, tout ce qui lui importait était de comprendre ce qu’il allait devenir et ce que cette endroit signifiait. Pendant sa course Yan repensa à ce garçon John…peut être avait il un rapport avec lui ou avec cet endroit, qui sait ?

Il s’arrêta net en voyant dans un container une femme ressemblant trait pour trait à Lise ; l’amie de John. IL toucha la vitre du caisson de ses deux mains écartées et la regarda attentivement :
Elle avait l’air beaucoup plus fatiguée et était beaucoup moins jolie avec ses cheveux rasés, mais son beau visage de porcelaine était tout à fait le même, ça ne pouvait être qu’elle. Il s’approcha de la gauche de la machine, là il y avait à peu près une cinquantaine de marques blanches reliées entres-elles sur un panneau en verre transparent avec une petite lumière verte pour éclairer un minimum. Yan toucha celle la plus en haut à gauche et laissa appuyé ; un liquide jaunâtre s’écoula lentement dans le caisson. Lise commença à avoir des spasmes et des convulsions partout dans le corps et peu de temps après elle ouvrit les yeux, effrayé par la réaction bizarre de Lise, Yan retira son doigt ! Ses convulsions s’arrêtèrent et elle leva sa main pour toucher la vitre mais n’arriva pas à la toucher car elle se rendormit trop vite. Yan hésita longtemps avant de retoucher le plateau et sa main volait d’un côté à l’autre du tableau sans le toucher… pour finir, il toucha la marque la plus grosse un peu à droite du milieu du tableau :
le caisson s’ouvrit et le liquide bleu ciel avec quelques restes du produit jaunâtre s’écoulèrent peu à peu du caisson et Lise se laissa tomber sur elle-même. Une alarme commença à retentir…

Lise se réveilla et sentit une lourdeur peser sur elle. Mais où était-elle ? Un homme criait devant elle mais elle ne l’entendait pas. Une lumière rouge n’arrêtait pas de clignoter, elle se sentait exténuée et ne savait pas où elle était…
Le bruit devenait de plus en plus perceptible jusqu’au moment où elle pouvait entendre l’homme et un bruit énervant à vouloir se tuer !
L’homme devant elle se bouchait les oreilles et criait très fort pour couvrir le bruit :
- Allez ! Dépêches-toi ! Je crois bien que c’est une alarme. Vite, il faut aller vers la sortie ! Vite lèves-toi !
De quoi parlait-il ? Déjà où était-elle ? Lise était bien trop fatiguée pour obéir et se lever, rien que penser lui donnait mal à la tête. Yan la prit par la main et la tira, elle le suivit sans savoir dans quel aventure elle s’engageait...

Chapitre 2
La réalité du niveau 0
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Yan tourna dans les grandes allées de la salle sans savoir où ils allaient, Lise n’était pas tout à fait consciente et n’était pas prêt de l’être si c’était comme pour lui, elle ne faisait que le suivre. Il vu au loin deux lumières rondes ; ça devait être les hublots de la porte ! Yan couru beaucoup plus vite, l’alarme continuait de sonner

A venir



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message posté le 3 juil 2007 à 20h45(message édité)édité le 3 juil 2007 à 21h08 par sauron620

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Sauron

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Tiens moi aussi j'écris. J'aime beaucoup comme tu écris [ok], ne te décourage pas, continue ! [ok]
Essaie de ne pas trop répeter les "il". [vert]

Le clou qui dépasse attire le marteau.

message posté le 3 juil 2007 à 20h51

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subway

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  • Annecy, France
sauron620 a écrit
Tiens moi aussi j'écris. J'aime beaucoup comme tu écris [ok], ne te décourage pas, continue ! [ok]
Essie de ne pas trop répeter les "il". [vert]

yeah ! pas mal , je continurai apres , ca a l'air bien !
mo ij'avais ecrit des truc un jour...comme dis sauron ,evite les il et les on...

Mon book

message posté le 3 juil 2007 à 21h07

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jim

  • membre
  • Montréal, Québec
J'aime bien, j'aimerais voir la suite[ok]

Ta mise en page me fait penser à Halo le chute de reach que je lis en ce môment[vert]

continue comme ça[oeil]

New-Berlin, Ligue des Quatre
[/b]Paix, amour, fraternité...[b]
Un petit clique pour m'aider (Pas une miniville)

message posté le 3 juil 2007 à 21h19

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fan de simcity 4

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  • belgique, namur
Merci beaucoup à vous trois![oeil]

Mais à par les il et le prénom, je vois pas trop quoi mettre car les " le jeune homme au cheveux long" ou des trucs du genre ça fait vraiment le gars en mnque d'inspiration et ça fait fort exagérer![vert][confut]

message posté le 3 juil 2007 à 21h52

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lamorvandiotte

  • membre
  • nevers
Attention c'est la littéraire qui te parle!
(ne fais pas attention je me donne du courage pour tenter de me dire que j'ai fais le bon choix dans ma triste vie..bref...)

Si je peux me permettre un conseil :
tout d'abord, très bon style d'écriture simple, accessible!
ensuite, délicieuse description des faits et gestes du personnage

Personellement, ce qui me gêne ce sont peut-être les phrases un peu "trop" longues!
tu vas te dire que c'est contradictoire par rapport au fait que tu veuilles une bonne description mais utilise moins de propositions complétives qui allourdissent tes écrits!

voilà... continue c'est sympa![oeil]

L'Humanité : un amas de choses sales et gluantes, de liquides puants suspendus à un échalas, dans un sac de peau trouée...

message posté le 4 juil 2007 à 00h56

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fan de simcity 4

  • membre
  • belgique, namur
Merci beaucoup!
Pour la suite je l'orienterait plus vers un SF à suspens avec pas de conflits qui parle de nos problèmes et questions de tous les jours comme la discrimination et le thème principal du livre : d'où est ce que nous venon![oeil]

message posté le 4 juil 2007 à 01h11

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subway

  • membre
  • Annecy, France
lamorvandiotte a écrit
propositions complétives


oula ! je sais que jlé etudié , mais ca fait tellement savant ! [vert]


c'est vrai c'est pas mal !

par contre tu pourra faire suspence et action ? j'adore !


tu connais alex rider ?

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message posté le 4 juil 2007 à 04h23

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Jérôme16

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  • Marseille
Salut. [content] Je suis mal placé pour juger ton texte car je n'ai pas une grande culture littéraire, en fait je n'aime pas beaucoup lire. Mais, comme j'ai pris la peine de le lire, je me permet de donner mon avis.

[aime] Ce que j'ai aimé : l'histoire est prenante, on a envie de connaître la suite, ce qui veut dire que tu as de l'imagination et du talent pour raconter des histoires. L'atmosphère est envoûtante et un peu angoissante, les personnages sont mystérieux, on a envie de les découvrir petit à petit.

[non] Ce que je n'ai pas aimé : ton style est un peu lourd, par exemple quand tu fais une description, tu fait une succession de phrases un peu simplistes, en utilisant beaucoup "il y a", ça manque un peu de fluidité, de dynamisme. Tu décris les personnages physiquement, mais je trouve que tu devrais aussi plus développer leur psychologie, leurs peurs, leurs espoirs, leurs émotions.
Je suis un peu agacé par les fautes de français et d'orthographe, mais là c'est parce que je suis perfectionniste : "retrouver la vue" --> recouvrer la vue, c'est plus joli, "il vu" --> on dit "il vit", "dépêches toi", "lèves toi" --> il n'y a pas de s à l'impératif... "Lise n’était pas tout à fait consciente et n’était pas prêt de l’être si c’était comme pour lui, elle ne faisait que le suivre." --> près au lieu de "prêt" et je ne comprends pas bien cette phrase.

Voilà, je ne suis pas critique littéraire ou prof de français, mais j'espère que mes critiques te feront progresser. Et puis, je ne sais pas quel âge tu as, si tu es jeune, ton style va s'améliorer, s'enrichir.
En tout cas, continue, c'est très intéressant. [ok] [oeil]

Les hommes naissent libres et égaux en droits. Après ils se démerdent ! (Jean Yanne)
On n'arrête pas de jouer quand on devient vieux, on devient vieux quand on arrête de jouer. (George Bernard Shaw)

message posté le 4 juil 2007 à 15h41

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subway

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  • Annecy, France
[non]
Jérôme16Voilà, je ne suis pas critique littéraire ou prof de français[/quote a écrit



pfff : notre prof de francais nous dit que si on fait une faute , et bien c'est naze , masi si victor hogo la fait alors c'est bien

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