message posté le 28 août 2009 à 22h48
j'ai réecrit l'info, je n'ai pas fait gaffe au faute desoler, mais maintenant c'est corrigé
Peugeot, Motion & Emotion !
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« If I can make it there, I'll make it anywhere, It's up to you, New York, New York. »
Un père a tué sa fille de 17 ans et puis s'est suicidé au Petit-Lancy (GE).
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Le 10 000ème messages du forum "dernier mot", c'est qui ? Bin c'est moi !!!
George Clooney dans le gang ?
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Qui aura eu le dernier mot ? Eh bien c'est moi ! :-)
édité le 11 oct 2009 à 13h27 par Proskater [membre]
200 émeutiers saccagent le centre de Poitiers
Source : La nouvelle république du Centre-Ouest
La ville de Poitiers a connu hier, en fin d'après-midi, une heure d'émeute particulièrement violente, organisée par des manifestants proches de l'ultra-gauche. Rien a priori ne laissait penser que le rassemblement, prévu initialement pour protester contre un transfèrement de détenus, prévu dimanche, entre l'ancienne et la nouvelle prison, pourrait dégénérer de la sorte. Quelques signes cependant ont rapidement inquiété les forces de police : tandis que la plupart des manifestants, fondus dans le public du festival de rue « Les Expressifs » qui se termine ce week-end à Poitiers, se cachaient le visage à l'aide de masques, des tracts étaient distribués ; intitulés : « Quelques conseils pour se sortir d'une sale galère ». En fait, la conduite à tenir dans une manifestation puis, le cas échéant, en garde à vue.
Après avoir patienté pendant trois-quarts d'heure, les manifestants se sont lancés à travers la ville, sortant bâtons et barres de fer de leurs cachettes. Aux tags sur les murs et les vitrines et sur le baptistère Saint-Jean, ont succédé les premiers feux de poubelles, puis le saccage des vitrines, notamment sur le parvis de la basilique Notre-Dame-la-Grande.
Pris de court par ce déchaînement de violence, les policiers poitevins, bientôt renforcés par la compagnie locale de CRS, ont tenté de maîtriser les émeutiers. Recourant au gaz lacrymogènes, les forces de l'ordre ont malheureusement plus incommodé les badauds que les casseurs, qui avaient pris soin de se protéger le visage.
Des vitrines détruites
De nombreuses vitrines ont été détruites à coups de pied ou de manches de pioches. Dix-huit personnes, dont des militants « ultra-gauche », ont été interpellés et placés en garde à vue. Le parquet pourrait les faire juger dès lundi en comparution immédiate.
Présent sur place, le substitut du procureur de la République ne cachait pas sa crainte de voir de nouveaux incidents se produire au cours de la nuit. Hier soir, les forces de police restaient mobilisées et prêtes à faire face à toute éventualité.
