FrAnKs334 a écrit Pas du tout. À vrai dire je suis souverainiste depuis 2003. Lorsque les péquistes de Landry ont perdus [vert]... c'est alors à cet instant où je me suis intéressé à la souveraineté... et depuis , contrairement à plusieurs Québécois , je n'ai jamais oscillé ou changé de cap... jamais je n'ai été tenté de changer d'idée.
T'es pas vieux non plus. Certains politiciens ont changé d'orientation vers la fin vingtaine... Dumont par exemple.
Dumont est un opportuniste il change d'idée quand ça l'avantage le plus pour sa petite personne.
Il ne fait que prôner ce qui semble populaire dans les sondages, il n'apporte aucune nouvelle idée. Ne ce sens c'est aussi un populariste. (je ne me souviens plus comment ça s'écrit)
Il est évident que l'enseignement de la politique au primaire, voire au secondaire doit absolument s'en tenir à la base de la connaissance du système politique, le compare avec celui des autres pays - par exempel comparer notre monarchie constitutionnelle avec les républiques ou même avec les dictatures. Plus tard, vers la fin du secondaire, on peut commencer à présenter - de façon neutre - toutes les options politiques offertes au niveau provincial et fédéral car dès le sec. V, nous sommes en présence de jeunes qui sont à la veille de voter (dans quoi ? deux ou trois ans ?). Pour éviter la parti pris, des représentants des cinq partis devraient pouvoir venir présenter en classe leurs programmes, sans interventions autres du professeur que pour arbitrer, empêcher que la discussion ne dérape.
Je suis certains qu'avec des balises bien établies, ce pourrait être possible.
Quant à la neutralité des parents : il est évident qu'elle est souhaitable mais pas vraiment possible. Je suis presque certains que mon fils sera un indépendantiste mais il fera son propre choix lorsqu'il sera plus vieux - que je le veuille ou non. C'est donner peu de crédibilité aux individus que de penser qu'ils ne sont pas capable de se faire leur propre idée.
Je suis né dans une famille où tous, nous étions séparatistes. Dans les années 1960, un de mes frères fût arrêté pour avoir distribué des tracts du R.I.N. C'est dire !! Cependant, je suis convaincu que je me suis moi-même forgé mes convictions profondes.
SIMMANIA : qu'est-ce que ça veut dire ça ? tamère va aller voter cette-fois ci par peur de l'indépendance du Québec ? mais on a jamais été aussi loin de cette indépendance que pour ces élections-ci !! Où était-elle toutes ces années ? [yeux][confut]
"Oncques ne fauldray...jamais ne faillira"
Homo Platoregimontis
Le Parti Vert du Canada préconise le bien-être économique plutôt que la croissance pour l'amour de la croissance comme véritable mesure du succès d'un pays. Nous reconnaissons qu'il y a des limites à la consommation matérielle et énergétique.
Nous influencerons la politique publique en instaurant un indice de progrès réel (IPR) plutôt qu'en tenant compte uniquement du produit intérieur brut (PIB). Parce qu'il omet de soustraire les activités économiques, environnementales et sociales négatives de ses calculs, le PIB actuel fausse largement l'évaluation nationale de la création de richesses, de la prospérité et de la qualité de vie réelle.
Le Parti Vert respecte le besoin d'équilibre entre la concurrence et la coopération au sein d'une économie vigoureuse ainsi que les avantages et la souplesse qu'apporte cette tension dynamique à la société. Nous croyons en la justice sociale tout en favorisant l'autonomie, et nous respectons le principe de récompense pour l'effort et le risque.
Les politiques du Parti Vert contribueront à démocratiser et à diversifier le Parlement par le biais du renouveau démocratique. Le gouvernement doit être tenu de rendre compte et faire preuve de beaucoup plus de transparence.
Le Parti Vert sait que la justice sociale ici et à l'étranger est à la fois une question environnementale et une question éthique. Nous constatons que les besoins économiques à court terme l'emportent trop souvent sur le bon leadership et la gérance de l'environnement. Les répercussions d'une planification si dénuée de vision se font déjà sentir auprès des plus vulnérables – nos enfants, les pauvres, les espèces non humaines et de nombreux pays en développement. Nos politiques s'attaquent directement aux causes structurelles de la pauvreté et à la mauvaise santé.
Le Canada doit jouer un rôle beaucoup plus important dans le monde en ce qui a trait à la consolidation de la paix, à l'avancement des droits de la personne et à la protection du patrimoine naturel international.
Si seulement ça pouvait vraiment être ainsi, à quoi bon un référendum?
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-Si la Philosophie est la mère de toutes sciences, l'Histoire en est le père.-
-Dieu est innocent de la toute-puissance dont on a voulu l'accabler.- Albert Jacquard En d'autres termes, il n'existe pas...
En fait ma situation est simple... Il n'y a pas un parti pour lequel je veux voter, mais un parti pour lequel je ne veux à tout prix ne pas voter... J'aimerais voter pour les 4 autres en même temps...
AX
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édité le 25 mars 2007 à 09h02 par AX
