message posté le 16 sept 2006 à 02h03
Mais justement, j'affrime qu'un individu qui accepte froidement d'accomplir un assassinat - d'un individu ou d'un groupe d'individu - doit quelque part avoir craqué. Si cette personne était équilibrée et saine d'esprit avant de prendre la décision de passer aux actes, elle ne l'est plus tout à fait au moment d'accomplir l'inévitable. Il doit nécéssairement y avoir une coche qui pète parce qu'on ne peut pas - normalement - accepter d'enlever la vie à un autre humain.
Un crime passionnel est commis dans un moment de fragilité émotive : ça ne fait pas partie de la "normalité" ; un crime comme celui commis à Montréal cette semaine est l'oeuvre ( nous le savons maintenant ) d'un individu qui avait le mal de vivre et qui souhaitait à la fois mourir sous les balles et enlever la vie à d'autres humains en même temps. [neutre]
Les kamikazes sont fragilisés : on ne peut pas sainement choisir de s'enlever la vie et de priver d'autre êtres humains de la leur en même temps sans avoir quelque part une soif de vengeance. La vengeance est humaine mais elle est aussi le reflet d'une faiblesse de caractère. [neutre]
Un crime passionnel est commis dans un moment de fragilité émotive : ça ne fait pas partie de la "normalité" ; un crime comme celui commis à Montréal cette semaine est l'oeuvre ( nous le savons maintenant ) d'un individu qui avait le mal de vivre et qui souhaitait à la fois mourir sous les balles et enlever la vie à d'autres humains en même temps. [neutre]
Les kamikazes sont fragilisés : on ne peut pas sainement choisir de s'enlever la vie et de priver d'autre êtres humains de la leur en même temps sans avoir quelque part une soif de vengeance. La vengeance est humaine mais elle est aussi le reflet d'une faiblesse de caractère. [neutre]
"Oncques ne fauldray...jamais ne faillira"
Homo Platoregimontis