Ya pas juste dans ces villes que ça pu. Matane en est une belle exemple.
Pour ce qui est de la poussière sur les voitures comme The Rock The Motard le dit de la poussière ici aussi on en à. Tout ça du à notre usine de mélamine, je crois que c'est le prix à payer pour avoir une ville industrielle et dynamique.
message posté le 22 oct 2005 à 05h07édité le 22 oct 2005 à 05h04 par beaulieu24
beaulieu24 a écrit Ya pas juste dans ces villes que ça pu. Matane en est une belle exemple.
Pour ce qui est de la poussière sur les voitures comme The Rock The Motard le dit de la poussière ici aussi on en à. Tout ça du à notre usine de mélamine, je crois que c'est le prix à payer pour avoir une ville industrielle et dynamique.
Pas necessairement, industriel n'est pas synonyme de poussièreux, graisseux et laid. Sherbrooke, en est un bel exemple. A cause du virage industriel, on a du lacher le manufactureier pour se consacrer a l'industrie high tech. C'est un peut comme dans SC4 par exemple...
message posté le 22 oct 2005 à 05h21édité le 22 oct 2005 à 05h21 par AX
L'Université de Sherbrooke formera des médecins au Nouveau-Brunswick et au Saguenay
Dès septembre 2006, l'Université de Sherbrooke offrira son doctorat en médecine à Moncton, pour les étudiants francophones du Nouveau-Brunswick et de l'Acadie. La Faculté de médecine et des sciences de la santé prévoit également délocaliser son programme au Saguenay, grâce à une collaboration avec le Centre hospitalier de Chicoutimi et l'Université du Québec à Chicoutimi. En déployant ainsi sa formation médicale, l'UdeS contribue non seulement à favoriser l'intégration de nouveaux médecins à ces régions, mais elle accroît aussi le nombre de médecins en cours de formation au Canada francophone.
À l'Université de Sherbrooke, le programme de médecine, offert depuis 1966, est d'une durée de 4 ans d'étude. Rapidement, les futurs médecins sont amenés à toucher à l'aspect pratique. L'apprentissage par problèmes, en petit groupe, constitue notamment une formule très stimulante pour les étudiantes. L'Université se veut innovatrice en ce qui concerne ses méthodes d'enseignement.
Après l'obtention du grade de M.D., l'étudiant choisit un programme de formation postdoctorale : médecine de famille (deux ans), spécialisation dans l'une ou l'autre des spécialités de la médecine moderne (quatre, cinq ou six ans) ou recherche (maîtrise et doctorat en sciences fondamentales ou cliniques).
Pour plus d'information, visitez le site Internet de la Faculté de médecine et des sciences de la santé.
Aussi....
L'Université de Sherbrooke présente la plus importante hausse d'inscriptions au Québec
7 octobre 2005 – Les données préliminaires de la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ) du 24 septembre attribuaient à l'Université de Sherbrooke une hausse d'inscriptions de 4,4 %, soit l'augmentation la plus élevée parmi l'ensemble des universités québécoises.
Ce dernier bilan dénombrait 17 993 étudiantes et étudiants inscrits à l'Université de Sherbrooke pour la session d'automne 2005 : 12 725 au premier cycle, 4711 au deuxième cycle et 757 au troisième cycle. Et ces chiffres continuent de croître en raison de la possibilité de s'inscrire plus tardivement aux cycles supérieurs.
C'est au troisième cycle que la hausse s'est avérée remarquable. Le chiffre de 8,1 % a entre autres pu être atteint grâce à la création de nouveaux doctorats. Par ailleurs, le caractère audacieux de l'Université de Sherbrooke contribue à l'augmentation constante des inscriptions : tous les ans, quantité de programmes innovateurs voient le jour.
Enfin, le rayonnement de l'UdeS, au Québec comme ailleurs dans le monde, constitue un des éléments majeurs favorisant la hausse du nombre d'étudiantes et étudiants désirent s'y inscrire. Cette popularité grandissante de l'Université de Sherbrooke se traduit également par une hausse constante des demandes d'admission. Depuis 2001, les demandes d'admission ont augmenté de 60 % : 45 % au premier cycle, 100 % au deuxième cycle et 225 % au troisième cycle.
D'après Vivre à l'étranger, le magazine francophone de la mobilité internationale, Sherbrooke «bénéficie d'une position stratégique au centre du triangle technologique que forment Montréal, Québec et la Nouvelle-Angleterre, nom historique que l’on donne à la région du nord-est des États-Unis. À partir de Sherbrooke, il est possible d'accéder en moins de 4 heures de route à un marché de 130 millions de consommateurs couvrant le nord des États-Unis, ainsi que plusieurs provinces canadiennes. Ces atouts font que la région de Sherbrooke se classe au deuxième rang des régions exportatrices du Québec.»
La concentration du savoir
Sherbrooke se distingue de toutes les autres villes au pays par l'exceptionnelle concentration de ses activités universitaires et collégiales, toutes disciplines confondues. Multilingue, Sherbrooke est par surcroît reconnue pour la vitalité socioéconomique et l'esprit de collaboration qui l'animent dans le développement de ses créneaux de choix.
Sherbrooke fait cinq fois son poids en termes d'activité universitaire, avec 20 % de sa population aux études supérieures. Avec 60 % de son économie liée à l'économie du savoir, Sherbrooke se positionne de façon fort avantageuse en tant que cité universitaire intégrée, parmi un club sélect formé de peu de villes au monde.
La beauté de l'histoire
Sherbrooke est particulièrement attrayante parce qu'elle offre un cadre de vie enchanteur, une histoire unique et un environnement à mettre en valeur. Grâce à cette dimension, Sherbrooke offre une qualité de vie et un contexte d'étude de première qualité. Elle attire par conséquent plus de 80 % de ses recrues de l'extérieur de la région.
En tant que cité universitaire, Sherbrooke constitue également une véritable pépinière de talents. Et au cœur de la ville, la vitalité étudiante irrigue profondément la vie sherbrookoise.[/i](julien va être d'accord pour dire que Sherbrooke est une ville ROCK[vert])
Sherbrooke, cité universitaire, présente enfin un environnement résolument ouvert sur le monde. Cette ouverture aux autres cultures s'effectue en offrant une formation exportable et en accueillant un nombre croissant d'entrepreneurs et d'étudiantes et d'étudiants étrangers.
L'essor et ses multiples visages
Les secteurs de la microélectronique et des technologies de l'information, de l'environnement, de la santé et des nouveaux matériaux sont en très forte croissance à Sherbrooke. L'activité industrielle y est aussi très dynamique et diversifiée : 18 secteurs y sont représentés sur un total de 20.
La région bénéficie également d'une main-d'œuvre qualifiée dont le taux de bilinguisme est l'un des plus élevés au Québec, soit près de 40 %. Les étudiantes et étudiants des collèges et universités locales sont une source considérable de main-d'œuvre à temps partiel, sans compter que les finissants contribuent à augmenter le bassin de main-d'œuvre de façon significative chaque année. Un bel exemple d'intégration de tous ces facteurs se trouve dans l'essor local de l'industrie des centres d'appels et de communication, qui recrutent facilement leur main-d'œuvre à temps partiel dans le bassin étudiant de la région.