message posté le 7 sept 2005 à 03h10édité le 7 sept 2005 à 17h00 par yarabundi
Lors de statistique, les répondants à la question de la langue considère la(les) langue(s)
parlées à la maison. Ceux qui répondent anglos + francos sont des couples multilingues. L'un de deux possède le français comme langue maternelle et l'autre, l'anglais.
Edité le jeudi 07 / 09 / 05 : j'ai un très bon exemple de ce que j'ai écrit. Ce matin en allant reconduire mon fils à l'école j'ai remarqué deux pères anglophones qui venaient reconduire leurs fils à la même école que mon fils.
Je leur ai parlé. L'un d'eux est un anglo qui est né Montréal, qui a quitté notre ville à l'âge de 10 et qui est revenu ici récemment. L'autre est un Anglais (lire : d'Angleterre) qui travail au département des ventes de l'hebdomadaire culturel gratuit Voir et est marié à une franco. Bien que tous les deux aient la possibilité d'envoyer leurs enfants à l'école anglophone, tous les deux me disait que c'était le simple bon sens que d'éduquer leurs enfants en français. D'abord, ils vivent dans un quartier franco et tous les amis de leurs enfants sont francos ; ensuite, il est évident que la réalité de Montréal exige la maîtrise des deux langues. Quoi dire de plus.
parlées à la maison. Ceux qui répondent anglos + francos sont des couples multilingues. L'un de deux possède le français comme langue maternelle et l'autre, l'anglais.
Edité le jeudi 07 / 09 / 05 : j'ai un très bon exemple de ce que j'ai écrit. Ce matin en allant reconduire mon fils à l'école j'ai remarqué deux pères anglophones qui venaient reconduire leurs fils à la même école que mon fils.
Je leur ai parlé. L'un d'eux est un anglo qui est né Montréal, qui a quitté notre ville à l'âge de 10 et qui est revenu ici récemment. L'autre est un Anglais (lire : d'Angleterre) qui travail au département des ventes de l'hebdomadaire culturel gratuit Voir et est marié à une franco. Bien que tous les deux aient la possibilité d'envoyer leurs enfants à l'école anglophone, tous les deux me disait que c'était le simple bon sens que d'éduquer leurs enfants en français. D'abord, ils vivent dans un quartier franco et tous les amis de leurs enfants sont francos ; ensuite, il est évident que la réalité de Montréal exige la maîtrise des deux langues. Quoi dire de plus.
"Oncques ne fauldray...jamais ne faillira"
Homo Platoregimontis