message posté le 29 août 2008 à 11h25
- Docteur, je suis très inquiet. Votre diagnostic n'est pas le même que celui de votre confrère.
- Je sais. C'est toujours comme ça, mais l'autopsie prouvera que j'avais raison.
Un petit garçon dit à son père peu de temps après le décès du grand-père :
- Moi je voudrais mourir comme mon grand-père, il est mort pendant son sommeil, il n'a rien senti. Ça c'est une belle mort ! Je ne voudrais pas, surtout pas mourir en paniquant, en gesticulant et en criant comme tous les autres qui sont morts dans sa voiture...
Le simplet du village entre dans son café habituel avec un grand sourire qui illumine son visage.
- " Qu'est-ce qui te rend donc si heureux ? " Demande le barman.
- " Ben c'est toute une histoire ", raconte le gars, " tu sais que je vis à côté d'une ligne de chemin de fer, ... eh ben la nuit dernière, en regardant par la fenêtre, j'ai vu une jeune femme attachée aux rails, comme dans les films. Alors, je suis vite allé couper les liens et je l'ai ramenée chez moi.
- " Ah bon ! Quelle histoire ! Et ensuite ? "
- " Ben tu sais pas... On a fait l'amour toute la nuit, partout dans la maison. On a tout fait, une fois moi au-dessus, une fois elle, partout et de toutes les façons.
- " Mais c'est fantastique, p'tit gars ! " S'exclame le barman. " T'en as eu de la chance, dis donc ! Et... elle était jolie, au moins ? "
- " Ah ça, je saurai jamais, j'ai pas trouvé sa tête. "
Dans un bureau de tabac, une jeune fille achète un paquet de cigarettes et sort un billet de 200 Euros. La caissière l'examine et dit :
- Ce billet est faux, mademoiselle.
- Le salaud ! Mais... Mais alors... C'était un viol !
Au Bois de Boulogne, il y a une terrible bagarre, les putes se battent contre les pédés.
Un passant qui aperçoit des CRS plus loin court vers l'un d'eux :
- Monsieur ! Là-bas, il y a les putes qui se battent contre les pédés !
Le CRS répond :
- Ah bon ? Oh, j'espère qu'on va gagner !!!
Les hommes naissent libres et égaux en droits. Après ils se démerdent ! (Jean Yanne)
On n'arrête pas de jouer quand on devient vieux, on devient vieux quand on arrête de jouer. (George Bernard Shaw)