message posté le 12 mai 2013 à 02h01édité le 12 mai 2013 à 02h07 par tzar
Bon ben allons y ...on en était à...
Softswiss=
Et pourtant, cela est énorme. Chaque pays a des propres centaines de marques... 1 marques VS des dizaines de milliers d'autres.... Si un type a 2% de la fortune mondiale, c'est peu, mais si il est le plus riche, ça veut dire que les autres ont le reste diviser par 7 milliards, donc ils ont chacun quelques miettes...
Sinon, parlons Glencore, une société qui a un contrôle phénoménal, qui n'ont aucune pitié. 200 milliards de chiffre d'affaire, 190'000 employés, et qui contrôle 60% du zinc, 50% du cuivre, 30% de l'aluminium, 25% du charbon, 10% du grain et 3% du pétrole.....
Là, t'as une entreprise hyper opaque, largement critiqué, et personne sur terre ne peut éviter d'enrichir cette société. Les seuls qui ont un pouvoir, contre c'est la politique.... Nestlé sont des saints a côté...
Comme ça on évite de trop flinguer les autres topic.
Et celle la je connais pas trop a part que c'est suisse ...encore lol
et que le mec est accusé d'avoir détourner de l'argent et violé l'embargo en Irak. après...
je pense que je vais aller me renseigner .
Sc4 for ever...
message posté le 12 mai 2013 à 02h18
Concernant les embargos, je comprend, que certaines entreprises, quelque soit leur taille se permettent de ne pas les respecter.
Perdre de gros clients à cause d'un conflit qui ne concerne même pas l'entreprise est tout ce qu'il y a de plus néfaste.
Pendant la guerre de Lybie, il y avait un embargo sur les produits Français, sauf que l'entreprise pour laquelle je travaillais l'an dernier avait plusieurs clients dans le pays.
On a continué à les fournir pendant un temps, mais même après la guerre on avait du mal à les fournir, en fin de compte on est passé à moins d'une commande par mois.
C'est une perte qu'on pouvait se permettre, mais pour d'autres entreprises, ça peut concerner de gros clients ou fournisseurs.
In the end I trust
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message posté le 12 mai 2013 à 18h49
Parmi les pires, on peut aussi citer les entreprises chinoises, qui n'hésitent pas à exploiter les employés quand une entreprise américaine, japonaise ou européenne les emploient. Et celles-ci sont indifférentes à ces conditions....
On peut aussi citer les grands groupes de l'industrie textile qui mettent en péril la vie des employés sans vouloir investir dans des infrastructures qui au final s'effondre, alors que le cout sur le prix d'un habits vendu aurait été négligeable.
En Europe, on peut citer la poubelle radioactive qu'est Areva, qui se fout complètement des poussières radioactives, et qui jouis de la protection du gouvernement de son pays d'origine.... Mais bon, dans l'industrie de l'atome, je ne sais pas si il y a une seule entreprise qui soit honnête....
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message posté le 12 mai 2013 à 20h20
message posté le 12 mai 2013 à 23h04
message posté le 13 mai 2013 à 19h16édité le 13 mai 2013 à 19h16 par bol5
Citation
Une nouvelle loi proposée par la Commission européenne veut rendre illégal le fait de faire pousser, de reproduire ou de vendre des semences de végétaux qui n’ont pas été testées, approuvées et acceptées par une nouvelle autorité, l’Agence européenne des variétés végétales.
Les jardiniers qui cultivent leurs propres plantes à partir de graines non réglementées seront considérés comme des criminels en vertu de cette loi.
Le projet de loi, qui a déjà été modifié à plusieurs reprises, est consultable ici.
"Cette loi va immédiatement stopper le développement des variétés de légumes pour les jardiniers, les cultivateurs biologiques, et les petites agriculteurs", a déclaré Ben Gabel, jardinier et directeur de "The Seed Catalogue Real".
"Les jardiniers ont des besoins très différents. Par exemple, ils cultivent manuellement, pas à la machine, et ne peuvent pas ou ne veulent pas pulvériser des produits chimiques puissants. Il n’y a aucun moyen d’enregistrer les variétés adaptées à une utilisation à domicile selon les critères stricts de l’Agence des variétés végétales, qui est seulement préoccupée d’approuver le type de semences utilisées par les agriculteurs industriels."
Théoriquement, toutes les plantes devront à terme, être enregistrées
Sous le titre IV de la proposition de loi de l’UE :
Titre IV – Inscription des variétés dans les registres nationaux et de l’Union
Les variétés, afin d’être mises à disposition sur le marché dans toute l’Union, doivent être inscrites dans un registre national ou dans le registre de l’Union via la procédure de demande directe au CVPO.
Les jardiniers doivent également payer des frais à l’Union Européenne pour l’enregistrement de leurs graines. D’après le texte de la proposition de loi :
Les autorités compétentes et le CVPO devront exiger des frais pour le traitement des applications, les examens formels et techniques, y compris les vérifications pour la dénomination de la variété et le maintien des variétés pour chaque année pendant la durée de l’enregistrement.
Bien que cette loi peut initialement être uniquement destinée aux jardiniers commerciaux, tôt ou tard, cela concernera également les jardiniers amateurs.
Les petits acteurs du secteur, notamment l’association Kokopelli, s’insurgent contre ces propositions qu’ils jugent taillées sur mesure pour les poids lourds de l’industrie semencière.
"En réduisant les droits des paysans à ressemer leurs propres semences, en durcissant les conditions de reconnaissance des variétés par des petits entrepreneurs indépendants, en limitant la circulation et l’échange de graines entre associations et entre planteurs, la Commission européenne balaye 10000 ans d’histoire agricole", a affirmé l’eurodéputé José Bové, cité dans un communiqué.
L’office communautaire qui délivre les titres de propriété intellectuelle sur les variétés sera directement chargé du catalogue qui conditionne l’accès au marché des semences. En outre, un suivi électronique des échanges de semences en Europe, géré par l’administration au nom de la sécurité sanitaire, pourrait servirà poursuivre les agriculteurs qui utilisent des graines protégées ou leurs propres variétés de ferme.
"Au prétexte de simplification, cette proposition place toutes les semences sous le contrôle direct de l’industrie et de ses brevets", dénonce le Réseau Semences Paysannes dans un communiqué publié mardi 7 mai.
"Il s’agit d’un hold-up sur les semences, soigneusement caché sous des centaines de pages de jargon réglementaire"
Cette loi est la "solution finale" pour Monsanto, DuPont, Pionner, Sygenta et d’autres sociétés de semences, qui ont depuis longtemps admis que leur objectif est le contrôle total de toutes les semences et les cultures de la planète. En criminalisant la culture privée de légumes – faisant des jardiniers des criminels – la commission européenne remet le contrôle de l’approvisionnement alimentaire à des sociétés comme Monsanto.
Une pétition en ligne contre ce projet réunit déjà près de 50000 signatures.
Sources : NaturalNews / Lavenir.net / Le Journal du Siècle
http://lejournaldusi...n-enregistrees/
Personne pour aller bruler ces pourris ?
cliquez ici ! Pour une recherche de lot ;)
message posté le 13 mai 2013 à 19h49
message posté le 13 mai 2013 à 20h57
Le problème c'est qu’aujourd’hui hui cela n’intéresse personne. la plupart des gens sont très loin de tout ça et n'en n'ont même rien n'a foutre. ils ne se réveilleront que quand sa sera trop tard. Et que le monopole de ces sociétés les mettront directement a genoux.
Mais cela ne date pas d'hier en tout cas.
Sc4 for ever...
message posté le 13 mai 2013 à 21h04
message posté le 13 mai 2013 à 21h50