En ce qui me concerne, j'écoute parfois les séries anglophones mais la plupart sont américaines. Perso, je trouve que lorsque les Canadiens essaient de faire de la télé à l'américaine, ils se plantent. C'est " drab " ( un anglicisme : fade, sans cachet ). Les Québécois sont sans doute un peu meilleur ( chauvinisme [oeil] ) quand ils produisent des séries dramatiques mais il y a aussi le fait que puisqu'on est le public visé, on s'y retrouve.
L'année dernière, il y avait au États une série de téléréalité ( semie - réalité, en ce qui me concerne ) dans laquelle un homme ( environ 25 / 30 ans, très ordinaire, un peu grassouillet ) tombe amoureux d'une femme moyennement riche et mignonne. Lui est un comédien, elle joue sérieusement ; elle n'est pas au courant de la supercherie. Si le mariage se fait, la famille récolte un million de dollars.
Pendant les fréquentations, avant de rencontrer les parents de la femme, l'homme est charmant : le rêve, quoi. Un homme comme celui - lè, ça n'existe que dans les contes de fées. Dès qu'il est connu de la famille, il commence à déconner. Sa famille ( aussi fictive que lui ) vient séjourner chez les parents de la jeune femme qui sont très conservateurs, très pincés. La famille fictive fait des siennes : ce sont les beaufs, versions plus beaufs que beaufs !! Ça rote, pète, ça sait pas se tenir à la table ; on aime les blagues grivoises, etc... Fallait voir la tronche des membres de la vraie famille : écoeurés, mais impuissant puisqu'il faisait tout en leur possible pour ne pas froisser leur fille ( ou soeur, c'était selon ) qui semblait en amour par - dessus la tête.Ça j'ai trouvé hilarant[content]
"Oncques ne fauldray...jamais ne faillira"
Homo Platoregimontis