message posté le 29 août 2007 à 23h21
Aucune photo permise dans ce topic !
L'intérêt est uniquement de décrire votre ville telle que vous pouvez la vivre au quotidien. L'essentiel, c'est qu'on puisse ressentir l'ambiance, l'atmosphère comme si on y était en vrai. Pour celà, essayez de raconter ce que que vous ressentez (ce que vous voyez, sentez, etc...). Plus il y a de détails, plus on vivra votre ville!
Je précise qu'il s'agit de découvrir une nouvelle façon de découvrir nos villes autrement que par de la photo, et qu'il ne s'agit en aucun cas de chauvinisme, de comparaison directe entre villes!
A moi! Je vous présente Toulouse en version écrite. Et pour vous donner une idée, voici la description de Toulouse par la presse (L'Express et GÉO). Viendra ensuite ma vision personnelle.
Movida à la toulousaine
La dynamique de sa bouillonnante métropole a entraîné tout le département. Ajoutez l'art de vivre et les Pyrénées pour décor... Une victoire aux allures de sacre annoncé
Le printemps s'est posé en douce ces jours-ci et Toulouse en frémit encore. Des berges de la Garonne au forum de la place du Capitole, des coursives du marché Victor-Hugo aux ruelles intimes du quartier des Carmes, la foule, jeune, très jeune, a repris possession de la rue. Pour tout visiteur de passage, c'est ce bouillonnement coloré et sudiste qui s'impose d'emblée. La capitale de la Haute-Garonne est bien cette ville-ruche qui bouge, vibre, bout, chambre d'écho d'une spectaculaire mutation dont personne aujourd'hui ne peut mesurer l'ampleur. La Haute-Garonne était hier encore un département viscéralement agricole et Toulouse un centre universitaire et administratif qui, malgré ses rêves aériens, cultivait spontanément ses nostalgies rurales. Une belle ville campagnarde, bien au chaud, un peu assoupie et plutôt fière de voguer à contre-courant des modes du temps. La vie en rose, donc…
C'était il y a vingt ans, cela paraît des siècles! En deux décennies, Toulouse a sans doute vécu l'une des plus spectaculaires métamorphoses de son histoire et aspiré dans son sillage le département tout entier. Avec l'évolution record de sa démographie (1er, avec 18 000 nouveaux arrivants l'an dernier pour la seule agglomération toulousaine), ses 115 000 étudiants (3e), son dynamisme économique soutenu (5e), sa météo clémente (14e), mais aussi sa vitalité culturelle (13e) et la qualité de son offre de soins (8e), la Haute-Garonne a pris les allures d'un département phare. Un modèle de prospérité et d'art de vivre (2e pour la santé des habitants) … Un alliage subtil et étincelant qui justifie aujourd'hui cette première place au classement général de L'Express et les accessits obtenus dans les palmarès particuliers (2e pour les familles, 3e pour les jeunes, 6e pour les seniors). En clair, et tant pis si cela sonne comme un slogan de plaquette de communication: en Haute-Garonne, chacun peut trouver son bonheur…
Il existe, bien sûr, des disparités entre le nord, dopé par l'expansion toulousaine, et les territoires du sud proches des Pyrénées, où dominent encore l'agriculture et l'élevage traditionnels. Revel, forte de son artisanat du meuble, reste place de marché influente; le Lauragais a conservé son rang de zone céréalière tandis que le Comminges, où Saint-Gaudens est la seule ville à enregistrer un léger déclin démographique, mise depuis quelques années sur un tourisme vert en plein essor. Tout autour de Toulouse (et jusqu'à 30 kilomètres alentour), c'est l'embellie. Pas seulement une simple mue économique, due en grande partie aux réussites d'Airbus ou d'Aérospatiale (28 000 salariés, avec les sous-traitants). L'an dernier, la croissance du chiffre d'affaires des entreprises, tous secteurs confondus, a dépassé 6,5%. C'est donc un mouvement profond, continu, bien ancré. La Haute-Garonne, vieille terre rurale qui avait raté à l'époque la révolution industrielle, confirme son réveil avec éclat.
Pierre Izard, président (PS) du conseil général, premier adjoint de Villefranche-de-Lauragais et «départementaliste» convaincu, a beau pointer les «dangers d'une industrie aéronautique monolithique» (Airbus) ou l' «impérialisme toulousain» - qui lui fait de l'ombre - il admet sans barguigner que son département vit de fait une période faste. Exaltante, même. «Partout, on doit construire à la hâte des équipements collectifs, développer nos réseaux de communications, de transports, édifier des logements sociaux, énumère-t-il. C'est une tâche immense et le rythme ne faiblit pas.» Tout bouge, tout s'accélère. Pas un jour sans inauguration, sans nouveaux projets.
Au pays de la Ville rose, deux gros nuages gris voilent pourtant l'horizon: la montée de la délinquance (80e pour la sécurité) et surtout la tension du marché immobilier (76e), qui oblige les classes moyennes à émigrer dans des communes de plus en plus éloignées (voir L'Express du 19 avril 2004). L'agglomération toulousaine s'étend comme un feu de brousse et la course au logement devient une hantise. Les prix avaient, croyait-on, dépassé les bornes. Ils continuent à grimper. Fernand et Huguette Trazit, employés de mairie bientôt à la retraite, n'en sont toujours pas revenus. Leur petite maison des Minimes, quartier longtemps populaire, vient d'être estimée 400 000 euros. Elle avait été acquise en 1969 pour… 93 000 francs (environ 14 000 euros)! Ce ne sont pas seulement les étiquettes qui valsent, c'est aussi une certaine atmosphère qui change. Fernand, Toulousain pur sucre, livre sa lecture des chiffres: «La ville étouffe dans ses murs et sera demain une réserve de luxe. Si on devait redémarrer, on devrait se contenter d'un petit pavillon à 30 bornes du Capitole!» Voilà, ça l'énerve un peu, cette histoire de succès.
Près de la place Arnaud-Bernard, carrefour métissé et festif proche du centre, Régis Delair, 36 ans, est lui aussi partagé. L'ancien étudiant en commerce a repris et rénové il y a quelques mois un joli poste à pizza où il s'installe le soir à partir de 17 heures. «J'adore ce quartier, qui est super-vivant, et mon affaire marche plutôt mieux que prévu», reconnaît-il. Mais la fièvre de la ville le déroute un peu: «Tout le centre s'embourgeoise. Avant, c'était festif, ouvert, humble. Maintenant, tu sens la pression du fric.»
Dans le somptueux salon de réception du Capitole, Jean-Luc Moudenc, maire (UMP) de Toulouse, adoubé au printemps 2004 par Philippe Douste-Blazy, a le triomphe modeste. Il le sait mieux que quiconque: être premier de la classe ne signifie pas que l'on est sans faiblesses. Aussi énumère-t-il un à un tous les projets censés freiner la pression immobilière; améliorer les transports en commun (ouverture de la ligne B de métro, l'an prochain); réhabiliter les banlieues chaudes d'ici à 2012 (grand projet de ville de presque 600 millions d'euros); améliorer l'environnement (100 000 mètres carrés d'espaces piétonniers et 400 hectares d'espaces verts créés dans les dix ans). Pour le reste, inutile d'en rajouter: la capitale de la Haute-Garonne confirme brillamment son expansion. Elle mise, notamment, sur le Cancéropôle, l'un des tout premiers centres de recherche médicale du pays. Préserve son rang mondial de centre aéronautique et spatial. Et accompagne au mieux cet «effet eldorado» qui attire chaque mois de nouveaux arrivants. «Je suis né à Toulouse, dit le maire. Savez-vous que, sur les 430 000 habitants recensés, nous ne sommes que 40% dans ce cas?»
Oui, la Ville rose change, en profondeur, et les communes proches plus encore. A l'ouest de Blagnac, sur la route du Gers, Tournefeuille, 23 000 habitants, est ainsi devenue la troisième ville du département. Elle comptait moins de 9 000 âmes en 1982...
Il y en a au moins un qui ne boude pas son plaisir: Claude Terrazzoni, président de la chambre de commerce, ravi de ce remue-ménage. L'ancien dirigeant d'Aérospatiale n'est plus tout jeune, mais les nostalgies ou les pudeurs devant l'expansion en cours le hérissent. Le stimulent. Bien sûr, il y a des zones d'ombre, mais, que diable! de l'audace! encore de l'audace! Et ce Méditerranéen bouillant - père corse et mère catalane - passionné de rugby, donc du Stade (toulousain), espère des projets d'urbanisme talentueux, des signes d'architectes de génie. De quoi prouver enfin que la Haute- Garonne, Toulouse en proue, a bien franchi le seuil du XXIe siècle. «Vous connaissez la tour que Foster a édifiée dans la City de Londres? Les anciennes usines Fiat rénovées de Turin? Le musée Guggenheim de Bilbao? Voilà ce dont nous avons besoin: une signature pour l'avenir», s'enflamme-t-il, tout sourire. Avec des airs d'aventurier du futur.
Citations chez GEO :
« La haute technologie y côtoie la nature, la sociabilité villageoise et l’ouverture sur le monde. Résultat ? 30 000 habitants de plus en 5 ans. »
« L’aéronautique et la conquête de l’espace ont fait décoller ses ambitions »
« Elle cultive ses airs de village et son atmosphère résolument latine »
« Malgré son rapide essor démographique, c’est toujours une ville facile à vivre »
« Ici, on vient chercher l’image d’une province fière de l’être »
« Je ne sais pas vous parler de cette ville autrement que dans le désordre de la mémoire » un habitant photographe
C'est juste un petit travail d'écrivain que je vous demande: faites ressortir au plus profond de vous-même vos états d'âme d'habitant, et ça devrait marcher. Vous pouvez autant y dire du bien que du mal, comme vous voulez (!!) Allez-y !
L'intérêt est uniquement de décrire votre ville telle que vous pouvez la vivre au quotidien. L'essentiel, c'est qu'on puisse ressentir l'ambiance, l'atmosphère comme si on y était en vrai. Pour celà, essayez de raconter ce que que vous ressentez (ce que vous voyez, sentez, etc...). Plus il y a de détails, plus on vivra votre ville!
Je précise qu'il s'agit de découvrir une nouvelle façon de découvrir nos villes autrement que par de la photo, et qu'il ne s'agit en aucun cas de chauvinisme, de comparaison directe entre villes!
A moi! Je vous présente Toulouse en version écrite. Et pour vous donner une idée, voici la description de Toulouse par la presse (L'Express et GÉO). Viendra ensuite ma vision personnelle.
Movida à la toulousaine
La dynamique de sa bouillonnante métropole a entraîné tout le département. Ajoutez l'art de vivre et les Pyrénées pour décor... Une victoire aux allures de sacre annoncé
Le printemps s'est posé en douce ces jours-ci et Toulouse en frémit encore. Des berges de la Garonne au forum de la place du Capitole, des coursives du marché Victor-Hugo aux ruelles intimes du quartier des Carmes, la foule, jeune, très jeune, a repris possession de la rue. Pour tout visiteur de passage, c'est ce bouillonnement coloré et sudiste qui s'impose d'emblée. La capitale de la Haute-Garonne est bien cette ville-ruche qui bouge, vibre, bout, chambre d'écho d'une spectaculaire mutation dont personne aujourd'hui ne peut mesurer l'ampleur. La Haute-Garonne était hier encore un département viscéralement agricole et Toulouse un centre universitaire et administratif qui, malgré ses rêves aériens, cultivait spontanément ses nostalgies rurales. Une belle ville campagnarde, bien au chaud, un peu assoupie et plutôt fière de voguer à contre-courant des modes du temps. La vie en rose, donc…
C'était il y a vingt ans, cela paraît des siècles! En deux décennies, Toulouse a sans doute vécu l'une des plus spectaculaires métamorphoses de son histoire et aspiré dans son sillage le département tout entier. Avec l'évolution record de sa démographie (1er, avec 18 000 nouveaux arrivants l'an dernier pour la seule agglomération toulousaine), ses 115 000 étudiants (3e), son dynamisme économique soutenu (5e), sa météo clémente (14e), mais aussi sa vitalité culturelle (13e) et la qualité de son offre de soins (8e), la Haute-Garonne a pris les allures d'un département phare. Un modèle de prospérité et d'art de vivre (2e pour la santé des habitants) … Un alliage subtil et étincelant qui justifie aujourd'hui cette première place au classement général de L'Express et les accessits obtenus dans les palmarès particuliers (2e pour les familles, 3e pour les jeunes, 6e pour les seniors). En clair, et tant pis si cela sonne comme un slogan de plaquette de communication: en Haute-Garonne, chacun peut trouver son bonheur…
Il existe, bien sûr, des disparités entre le nord, dopé par l'expansion toulousaine, et les territoires du sud proches des Pyrénées, où dominent encore l'agriculture et l'élevage traditionnels. Revel, forte de son artisanat du meuble, reste place de marché influente; le Lauragais a conservé son rang de zone céréalière tandis que le Comminges, où Saint-Gaudens est la seule ville à enregistrer un léger déclin démographique, mise depuis quelques années sur un tourisme vert en plein essor. Tout autour de Toulouse (et jusqu'à 30 kilomètres alentour), c'est l'embellie. Pas seulement une simple mue économique, due en grande partie aux réussites d'Airbus ou d'Aérospatiale (28 000 salariés, avec les sous-traitants). L'an dernier, la croissance du chiffre d'affaires des entreprises, tous secteurs confondus, a dépassé 6,5%. C'est donc un mouvement profond, continu, bien ancré. La Haute-Garonne, vieille terre rurale qui avait raté à l'époque la révolution industrielle, confirme son réveil avec éclat.
Pierre Izard, président (PS) du conseil général, premier adjoint de Villefranche-de-Lauragais et «départementaliste» convaincu, a beau pointer les «dangers d'une industrie aéronautique monolithique» (Airbus) ou l' «impérialisme toulousain» - qui lui fait de l'ombre - il admet sans barguigner que son département vit de fait une période faste. Exaltante, même. «Partout, on doit construire à la hâte des équipements collectifs, développer nos réseaux de communications, de transports, édifier des logements sociaux, énumère-t-il. C'est une tâche immense et le rythme ne faiblit pas.» Tout bouge, tout s'accélère. Pas un jour sans inauguration, sans nouveaux projets.
Au pays de la Ville rose, deux gros nuages gris voilent pourtant l'horizon: la montée de la délinquance (80e pour la sécurité) et surtout la tension du marché immobilier (76e), qui oblige les classes moyennes à émigrer dans des communes de plus en plus éloignées (voir L'Express du 19 avril 2004). L'agglomération toulousaine s'étend comme un feu de brousse et la course au logement devient une hantise. Les prix avaient, croyait-on, dépassé les bornes. Ils continuent à grimper. Fernand et Huguette Trazit, employés de mairie bientôt à la retraite, n'en sont toujours pas revenus. Leur petite maison des Minimes, quartier longtemps populaire, vient d'être estimée 400 000 euros. Elle avait été acquise en 1969 pour… 93 000 francs (environ 14 000 euros)! Ce ne sont pas seulement les étiquettes qui valsent, c'est aussi une certaine atmosphère qui change. Fernand, Toulousain pur sucre, livre sa lecture des chiffres: «La ville étouffe dans ses murs et sera demain une réserve de luxe. Si on devait redémarrer, on devrait se contenter d'un petit pavillon à 30 bornes du Capitole!» Voilà, ça l'énerve un peu, cette histoire de succès.
Près de la place Arnaud-Bernard, carrefour métissé et festif proche du centre, Régis Delair, 36 ans, est lui aussi partagé. L'ancien étudiant en commerce a repris et rénové il y a quelques mois un joli poste à pizza où il s'installe le soir à partir de 17 heures. «J'adore ce quartier, qui est super-vivant, et mon affaire marche plutôt mieux que prévu», reconnaît-il. Mais la fièvre de la ville le déroute un peu: «Tout le centre s'embourgeoise. Avant, c'était festif, ouvert, humble. Maintenant, tu sens la pression du fric.»
Dans le somptueux salon de réception du Capitole, Jean-Luc Moudenc, maire (UMP) de Toulouse, adoubé au printemps 2004 par Philippe Douste-Blazy, a le triomphe modeste. Il le sait mieux que quiconque: être premier de la classe ne signifie pas que l'on est sans faiblesses. Aussi énumère-t-il un à un tous les projets censés freiner la pression immobilière; améliorer les transports en commun (ouverture de la ligne B de métro, l'an prochain); réhabiliter les banlieues chaudes d'ici à 2012 (grand projet de ville de presque 600 millions d'euros); améliorer l'environnement (100 000 mètres carrés d'espaces piétonniers et 400 hectares d'espaces verts créés dans les dix ans). Pour le reste, inutile d'en rajouter: la capitale de la Haute-Garonne confirme brillamment son expansion. Elle mise, notamment, sur le Cancéropôle, l'un des tout premiers centres de recherche médicale du pays. Préserve son rang mondial de centre aéronautique et spatial. Et accompagne au mieux cet «effet eldorado» qui attire chaque mois de nouveaux arrivants. «Je suis né à Toulouse, dit le maire. Savez-vous que, sur les 430 000 habitants recensés, nous ne sommes que 40% dans ce cas?»
Oui, la Ville rose change, en profondeur, et les communes proches plus encore. A l'ouest de Blagnac, sur la route du Gers, Tournefeuille, 23 000 habitants, est ainsi devenue la troisième ville du département. Elle comptait moins de 9 000 âmes en 1982...
Il y en a au moins un qui ne boude pas son plaisir: Claude Terrazzoni, président de la chambre de commerce, ravi de ce remue-ménage. L'ancien dirigeant d'Aérospatiale n'est plus tout jeune, mais les nostalgies ou les pudeurs devant l'expansion en cours le hérissent. Le stimulent. Bien sûr, il y a des zones d'ombre, mais, que diable! de l'audace! encore de l'audace! Et ce Méditerranéen bouillant - père corse et mère catalane - passionné de rugby, donc du Stade (toulousain), espère des projets d'urbanisme talentueux, des signes d'architectes de génie. De quoi prouver enfin que la Haute- Garonne, Toulouse en proue, a bien franchi le seuil du XXIe siècle. «Vous connaissez la tour que Foster a édifiée dans la City de Londres? Les anciennes usines Fiat rénovées de Turin? Le musée Guggenheim de Bilbao? Voilà ce dont nous avons besoin: une signature pour l'avenir», s'enflamme-t-il, tout sourire. Avec des airs d'aventurier du futur.
Citations chez GEO :
« La haute technologie y côtoie la nature, la sociabilité villageoise et l’ouverture sur le monde. Résultat ? 30 000 habitants de plus en 5 ans. »
« L’aéronautique et la conquête de l’espace ont fait décoller ses ambitions »
« Elle cultive ses airs de village et son atmosphère résolument latine »
« Malgré son rapide essor démographique, c’est toujours une ville facile à vivre »
« Ici, on vient chercher l’image d’une province fière de l’être »
« Je ne sais pas vous parler de cette ville autrement que dans le désordre de la mémoire » un habitant photographe
C'est juste un petit travail d'écrivain que je vous demande: faites ressortir au plus profond de vous-même vos états d'âme d'habitant, et ça devrait marcher. Vous pouvez autant y dire du bien que du mal, comme vous voulez (!!) Allez-y !
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Ma vie, ma ville Toulouse
Ici, on vient chercher l'image d'une brandade fière de l'être...