Citation Le hacker répondant au nom de Neo a été identifié et retrouvé par les autorités. Il risque jusqu'à dix ans de prison pour les faits qui lui sont reprochés.
Pour ceux qui s'en souviennent, un hacker à la tête d'un mouvement nommé Quatrième armée du réveil national et répondant au nom de Neo avait fait parler de lui en début de mois.
L'homme avait pour mémoire mis en ligne les salaires indécents de certains hauts fonctionnaires en Lettonie pendant la population se serrait la ceinture pour sauver une économie gravement touchée par la crise. Les données avaient été récupérées grâce à l'exploitation d'une faille au niveau du système informatique de l'administration fiscale découverte par pur hasard selon lui, laquelle rendait possible la récupération de n'importe quel document sans la moindre restriction via un simple copier / coller de l'adresse du document dans un moteur de recherche.
Comme il fallait s'en douter, les autorités ont mis les bouchées doubles pour mettre la main sur le hacker Neo et sont parvenues à leurs fins. Mais il faut dire aussi que l'homme, Ilmars Poikans dans la vie de tous les jours, un mari de 31 ans et chercheur en intelligence artificielle de l'Université de Lettonie, à Riga, n'a pas non plus tenté de fuir. L'important pour lui, c'est que les gens sachent, qu'importe les conséquences ensuite : " Je savais que, tôt ou tard, la police allait mettre la main sur moi. Mais pourquoi devrais-je avoir peur de publier ce que les gens ont besoin de savoir ? ".
Si les médias locaux parlent de lui comme d'un Robin des Bois des temps modernes et si certains comme le politologue Nils Muiznieks voit en lui quelqu'un qui a agit par pur idéalisme, la ministre de l'Intérieur Linda Murniece indique qu'il ne s'agit pas d'un héros, mais de quelqu'un qui a dérobé des données.
Arrêté, interrogé et relâché, le hacker encourt une peine de 10 ans d'emprisonnement.
Houlà, il est fou ce mec. Mettre en ligne les salaires d'un gouvernement corrompu jusqu'aux os, c'est pire qu'un meurtre ou qu'un viol....
Deux personnes ont été blessées par balles dimanche lors d'une rixe sur la Place centrale de Martigny, en Valais, selon une information du bureau valaisan de la TSR. L'une des victimes a été touchée à l'abdomen et a été conduite au CHUV à Lausanne.
Selon des témoins, plusieurs coups de feu ont retenti en fin d'après-midi à Martigny. Une personne a été sérieusement touchée à l'abdomen et une autre a été blessée à la jambe ou au pied.
On ignore encore les circonstances exactes de cette agression. Toujours selon témoins, il semblerait que l'altercation ait éclaté entre deux bandes issues de communautés étrangères rivales et en tension depuis plusieurs mois.
En fin d'année dernière, plusieurs rixes et agressions s'étaient déjà succédé au centre-ville de Martigny. Un homme avait été poignardé au ventre au mois de novembre.
Ben putain ... J'ai failli y aller ! Heureusement on a décidé d'aller boire notre verre à Montreux... ca devient n'importe quoi...
Un Serbe de 36 ans est mort dimanche soir, tué par un coup de feu lorsque des ressortissants des Balkans ont croisé des Capverdiens sur la place centrale de Martigny. Deux personnes ont été blessées. Des suspects ont été interpellés, a indiqué la police.
La police cantonale ignore actuellement les raisons du drame. Il s'est produit vers 19h05 lorsque les deux groupes se sont croisés. "L'un était composé de plusieurs ressortissants de l'Ex-Yougoslavie et l'autre de Portugais du Cap-Vert", écrit la police.
Elle précise que plusieurs coups de feu ont été tirés. Touché à la poitrine, le Serbe est mort après son transport à l'hôpital. Un autre Serbe âgé de 29 ans et un Capverdien de 27 ans ont aussi été blessés, mais leur vie n'est pas en danger.