message posté le 28 août 2007 à 16h19

membre
La Rochelle

J'avais raté Lost les 2 dernières fois, j'ai regardé hier, ouch, j'ai capté que la moitié. Du peu que j'ai compris, ils sont tous morts en faite? genre ils sont dans une dimension parallèle? et pourquoi la coréenne doit mourrir parce qu'elle est enceinte?

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C'est quoi?
- Rambo: une lampe bleu
Et ça fait quoi?
- Rambo : du bleu...

message posté le 28 août 2007 à 16h36

gabs

membre
Toulouse - France

Jusqu'à présent, je n'ai jamais suivi une seule série de ma vie, mis à part Desperate depuis plusieurs mois

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Ma vie, ma ville Toulouse
Ici, on vient chercher l'image d'une brandade fière de l'être...

message posté le 28 août 2007 à 22h28

yarabundi

membre
Montréal

Cela ne m'empêchera pas de regarder les trois séries C.S.I. mais :

Hugo Dumas

La Presse

Amis Gil Grissom en herbe, rangez vos pinceaux à empreintes digitales et vos lampes qui détectent les taches suspectes sur les draps. Après avoir épluché des données du début des années 90 jusqu'à aujourd'hui, un professeur de criminologie à l'Université de Montréal, Benoît Dupont, a conclu qu'une télésérie comme CSI n'influencerait pas le déroulement d'un procès pour meurtre ou autre crime violent.

L'hypothèse de l'effet CSI - pour Crime Scene Investigation - circule beaucoup dans les couloirs des palais de justice d'Amérique du Nord: depuis que la série américaine a été mise en ondes, en 2000, les jurés acquitteraient plus souvent les suspects en l'absence d'une abondante preuve médicolégale. Pour les non-initiés, la police scientifique de CSI (Les experts, en français) attrape souvent ses crapules grâce à des détails microscopiques comme une rognure d'ongle cachée dans une craque de plancher ou une goutte de salive ayant imbibé le foulard d'une victime.

Foutaise, tranche Benoît Dupont. «Depuis le début des années 90, les taux de condamnation ont augmenté aux États-Unis et ont diminué au Canada. Et dans ces deux pays, CSI est une des émissions les plus regardées», poursuit le professeur.

Au Québec, à peine une centaine de personnes exerceraient ce métier: technicien en scène de crime. Une profession beaucoup moins sexy que celle montrée dans CSI, selon le professeur. Et, malheureusement, les tests demandés par Gil Grissom ou Catherine Willows s'avèrent inutiles «dans la vraie vie».

«Ces techniques existent. Mais leur présentation n'est pas très réaliste. Dans 85 à 90 % des cas, soit l'auteur du crime se livre lui-même à la police, soit il a été identifié par la victime, soit il y a eu des témoins. Donc, pas besoin d'autant de tests», énumère Benoît Dupont.

Dans CSI, des analyses balistiques sortent en moins de 24 heures. Au Québec, il faut attendre entre un et trois mois pour obtenir des résultats de tests en laboratoire. «Et un mois, c'est pour les affaires pressantes comme les homicides», précise Benoît Dupont.

"Oncques ne fauldray...jamais ne faillira"
Homo Platoregimontis

message posté le 29 août 2007 à 03h24

BabyLink

membre
montreal

Le père d'un de mes amis est technicien de laboratoire et il dit que les tests ADN ne sont pas réalistes non plus...:|

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Cliquez pour voir SCS 2!
Le problème n'est pas d'entrer au royaume des morts, c'est d'en sortir...

message posté le 29 août 2007 à 12h09

GER

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France (41)

Yarabundi a écrit
Aimerais-tu que je te dise comment se finit la première saison ?

na na mon ami

je prefere le decouvrir par moi meme !!!

--== GER ==--

message posté le 29 août 2007 à 12h17

GER

membre
France (41)

yarabundi a écrit
Cela ne m'empêchera pas de regarder les trois séries C.S.I. mais :

Hugo Dumas

La Presse

Amis Gil Grissom en herbe, rangez vos pinceaux à empreintes digitales et vos lampes qui détectent les taches suspectes sur les draps. Après avoir épluché des données du début des années 90 jusqu'à aujourd'hui, un professeur de criminologie à l'Université de Montréal, Benoît Dupont, a conclu qu'une télésérie comme CSI n'influencerait pas le déroulement d'un procès pour meurtre ou autre crime violent.

L'hypothèse de l'effet CSI - pour Crime Scene Investigation - circule beaucoup dans les couloirs des palais de justice d'Amérique du Nord: depuis que la série américaine a été mise en ondes, en 2000, les jurés acquitteraient plus souvent les suspects en l'absence d'une abondante preuve médicolégale. Pour les non-initiés, la police scientifique de CSI (Les experts, en français) attrape souvent ses crapules grâce à des détails microscopiques comme une rognure d'ongle cachée dans une craque de plancher ou une goutte de salive ayant imbibé le foulard d'une victime.

Foutaise, tranche Benoît Dupont. «Depuis le début des années 90, les taux de condamnation ont augmenté aux États-Unis et ont diminué au Canada. Et dans ces deux pays, CSI est une des émissions les plus regardées», poursuit le professeur.

Au Québec, à peine une centaine de personnes exerceraient ce métier: technicien en scène de crime. Une profession beaucoup moins sexy que celle montrée dans CSI, selon le professeur. Et, malheureusement, les tests demandés par Gil Grissom ou Catherine Willows s'avèrent inutiles «dans la vraie vie».

«Ces techniques existent. Mais leur présentation n'est pas très réaliste. Dans 85 à 90 % des cas, soit l'auteur du crime se livre lui-même à la police, soit il a été identifié par la victime, soit il y a eu des témoins. Donc, pas besoin d'autant de tests», énumère Benoît Dupont.

Dans CSI, des analyses balistiques sortent en moins de 24 heures. Au Québec, il faut attendre entre un et trois mois pour obtenir des résultats de tests en laboratoire. «Et un mois, c'est pour les affaires pressantes comme les homicides», précise Benoît Dupont.

Parallement à cela , le recrutement des jurées aux etat-unis integre une nouvelle question posée lors de leur audition : " etes vous fans de la serie Les Experts "? .
En effet beaucoup de jurés ont demandés ces dernieres années , des analyses ADN , des preuves scientifiques afin de prouver l'innocence ou responsabilité d'un prevenu , et ils ont precisé "comme dans la serie les Experts "

--== GER ==--