Les hommes naissent libres et égaux en droits. Après ils se démerdent ! (Jean Yanne)
On n'arrête pas de jouer quand on devient vieux, on devient vieux quand on arrête de jouer. (George Bernard Shaw)
L'intérêt de Reservoir dogs n'est pas là : c'est la relation entre les personnages joués par Harvey Keitel (White) et Tim Roth (Orange).
La meilleure scène, à mon sens, est celle où l'on voit Mr Orange, flic infiltré dans l'équipe, répéter comme un acteur une blague qu'il doit raconter pour se faire accepter par les autres. C'est génial : une "histoire dans l'histoire" qui n'existe pas rééllement, mais qui occupe plus de décors que toutes les autres scènes reunies !
Et puis ces dialogues de malfrats discutant du sens caché des paroles de "like a virgin"...[vert]
J'ai adoré Pulp Fiction, film très original, avec des dialogue excellent comme a propos des frites et du big mac en europe, des supers acteurs, enfin mythique comme film...
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C'est quoi?
- Rambo: une lampe bleu
Et ça fait quoi?
- Rambo : du bleu...
William Munny a écrit L'intérêt de Reservoir dogs n'est pas là : c'est la relation entre les personnages joués par Harvey Keitel (White) et Tim Roth (Orange).
La meilleure scène, à mon sens, est celle où l'on voit Mr Orange, flic infiltré dans l'équipe, répéter comme un acteur une blague qu'il doit raconter pour se faire accepter par les autres. C'est génial : une "histoire dans l'histoire" qui n'existe pas rééllement, mais qui occupe plus de décors que toutes les autres scènes reunies !
Et puis ces dialogues de malfrats discutant du sens caché des paroles de "like a virgin"...[vert]
Ahahah Like A Virgin. Oui, en effet tous ces morceaux d'histoires insérés dans le film sont très intéressant, et j'ai en effet compris que là était l'intérêt. Y'a aussi Mr. Pink, qui depuis le début s'entête sur une idée que personne accepte mais que finalement était la bonne solution. Sinon pour le sang, bah, j'ai vu bien pire, Reservoir Dogs en contient pas autant (peut-être à part la scène de l'oreille...)
Josh: Big Kahuna Burger ? Ce qui m'a épaté dans Pulp Fiction c'est tous ces segments d'histoires qui se rejoignent, des dialogues pas mal, qui veulent pas toujours dire grand chose mais qu'on ne se passerait pas, et de toutes ces petites intrusions à la vie de chaque. La fin, qui n'est pas la fin nous laisse vraiment bien même si on pense finalement, que Vincent est mort en n'écoutant pas les paroles de Jules, qui a vraiment de bonnes répliques.