message posté le 10 avr 2007 à 00h23
Québec, le 3 avril 2007 – En 2006, l’indice synthétique de fécondité atteint 1,62 enfant par femme au Québec, comparativement à 1,51 en 2005 et à 1,48 en 2004. La fécondité québécoise se situe au-dessus de 1,6 enfant par femme pour la première fois depuis une décennie.
On a enregistré 82 100 naissances au Québec l’an dernier, soit 8 % de plus qu’en 2005. Il s’agit d’une quatrième année consécutive d’augmentation, mais celle-ci se démarque par son importance. Auparavant, le nombre de naissances a diminué chaque année de 1990 à 2000, puis s’est stabilisé autour de 73 000 de 2000 à 2004.
La remontée de la fécondité s’observe dans tous les groupes d’âge au-delà de 20 ans. Entre 2005 et 2006, l’augmentation du taux de fécondité a été de 3 % chez les femmes de 20-24 ans, de 6 % chez les 25-29 ans, de 10 % chez les 30-34 ans et de 13 % chez les 35-39 ans.
Au cours de la même période, c’est la fécondité associée aux naissances de rang 3 et plus qui a connu la plus forte augmentation (9 %), puis à celles de rang 2 (8 %) et, enfin, à celles de rang 1 (6 %).
La hausse du nombre de naissances et de la fécondité s’étend à toutes les régions administratives du Québec, à l’exception de la région du Nord-du-Québec qui affiche néanmoins la fécondité la plus élevée (2,67 enfants par femme). Quatre régions ont enregistré une fécondité d’environ 1,8 enfant par femme en 2006, soit l’Abitibi-Témiscamingue, la Côte-Nord, la Chaudière-Appalaches et les Laurentides. Bien qu’également en progression, le nombre moyen d’enfants par femme est un peu plus faible dans la Capitale-Nationale (1,44) et à Montréal (1,50).
On a enregistré 82 100 naissances au Québec l’an dernier, soit 8 % de plus qu’en 2005. Il s’agit d’une quatrième année consécutive d’augmentation, mais celle-ci se démarque par son importance. Auparavant, le nombre de naissances a diminué chaque année de 1990 à 2000, puis s’est stabilisé autour de 73 000 de 2000 à 2004.
La remontée de la fécondité s’observe dans tous les groupes d’âge au-delà de 20 ans. Entre 2005 et 2006, l’augmentation du taux de fécondité a été de 3 % chez les femmes de 20-24 ans, de 6 % chez les 25-29 ans, de 10 % chez les 30-34 ans et de 13 % chez les 35-39 ans.
Au cours de la même période, c’est la fécondité associée aux naissances de rang 3 et plus qui a connu la plus forte augmentation (9 %), puis à celles de rang 2 (8 %) et, enfin, à celles de rang 1 (6 %).
La hausse du nombre de naissances et de la fécondité s’étend à toutes les régions administratives du Québec, à l’exception de la région du Nord-du-Québec qui affiche néanmoins la fécondité la plus élevée (2,67 enfants par femme). Quatre régions ont enregistré une fécondité d’environ 1,8 enfant par femme en 2006, soit l’Abitibi-Témiscamingue, la Côte-Nord, la Chaudière-Appalaches et les Laurentides. Bien qu’également en progression, le nombre moyen d’enfants par femme est un peu plus faible dans la Capitale-Nationale (1,44) et à Montréal (1,50).