yarabundi a écrit que je préfère à ce que j'ai connu avant : l'enfer d'une relation pourrie.
wow.... c'était si pourri que ca ton affaire ???
Aussi pourrie que la plupart des relations de couples dans laquelle il n'y en a pas un des deux qui a le courage de prendre la décision de partir : on s'engueulait à longueur de journée, du matin au soir et ce, devant mon fils. Nous n'avions plus aucun moment de bonheur. Pire !! Je vivais dans la crainte de la prochaine dispute qui venait toujours trop tôt. Une horreur. Elle, ça lui a pris au moins deux ans avant d'arrêter de vouloir me contrôler même après la rupture. Aujourd'hui, elle s'est calmé à force de se faire entendre dire par moi qu'elle n'avait plus aucune emprise.
Je ne souhaite ça à personne : ayez le courage et la sagesse de provoquer la rupture avant que ça ne soit trop violent. En parole ou en acte, la violence n'est pas envisageable. Nous avons été chanceux : ça n'a pas fini dans le sang. J'exagère ? Combien de drames ordinaires dont on entend parler dans les actualités ont rapport avec une relation devenue malsaine ?
Sérieusement !! Combien de fois aie-je silencieusement souhaité sa mort et elle je le sais parce qu'elle ne s'en cachait pas, souhaité la mienne ??!!
"Oncques ne fauldray...jamais ne faillira"
Homo Platoregimontis
Je peux comprendre jusqu'à une certaine limite ce que ça devait être. Il s'est écoulé 1 an enre le moment où mes parents ont annoncé leur séparation et le moment où ils se sont séparés... Il y avait souvent des engueulades, c'était pas le fun... Aussitôt que mon père est parti (il ne pouvait pas avant) il n'y a pas eu de chicane et les deux sont en très bon terme depuis ce temps (7 ans)
AX
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Mes photos sur mon site
C'est moi qui suis parti : à Noël il y a bientôt trois ans. Elle m'a frappé avec un objet devant mon fils. Même si ma vie n'était pas menacée à ce moment-là (elle ne m'a pas blessé -sauf peut-être dans mon orgueil), j'ai tout de même compris que si elle n'hésitait pas à monter d'un cran dans nos relations déjà envenimées, 'elle ne s'arrêterait pas là- ou alors c'était moi qui engendrait l'accélération de la violence. Alors je suis parti. Deux minutes après qu'elle m'eût frappé, j'étais parti pour ne plus jamais revenir.
"Oncques ne fauldray...jamais ne faillira"
Homo Platoregimontis
yarabundi a écrit que je préfère à ce que j'ai connu avant : l'enfer d'une relation pourrie.
wow.... c'était si pourri que ca ton affaire ???
Aussi pourrie que la plupart des relations de couples dans laquelle il n'y en a pas un des deux qui a le courage de prendre la décision de partir : on s'engueulait à longueur de journée, du matin au soir et ce, devant mon fils. Nous n'avions plus aucun moment de bonheur. Pire !! Je vivais dans la crainte de la prochaine dispute qui venait toujours trop tôt. Une horreur. Elle, ça lui a pris au moins deux ans avant d'arrêter de vouloir me contrôler même après la rupture. Aujourd'hui, elle s'est calmé à force de se faire entendre dire par moi qu'elle n'avait plus aucune emprise.
Je ne souhaite ça à personne : ayez le courage et la sagesse de provoquer la rupture avant que ça ne soit trop violent. En parole ou en acte, la violence n'est pas envisageable. Nous avons été chanceux : ça n'a pas fini dans le sang. J'exagère ? Combien de drames ordinaires dont on entend parler dans les actualités ont rapport avec une relation devenue malsaine ?
Sérieusement !! Combien de fois aie-je silencieusement souhaité sa mort et elle je le sais parce qu'elle ne s'en cachait pas, souhaité la mienne ??!!
C'est souvent comme ça, on a rarement le courage de se séparer. En général, c'est par peur, par manque de courage, ou pas espoir que ça s'arrange. Au moins, tu n'es plus avec, et il ne s'est passé rien d'irréparable.
Eh que je me sentais misérable. je me trouvais minable de ne pas avoir ce courage. Je ne peux même pas décrire la légèreté que j'ai ressenti le jour où je suis parti. Une certaine légèreté et une crainte en même temps : la peur de cette nouvelle situation. La paeur de savoir que je devais reconstruire ma vie ; l'effort de le faire.
"Oncques ne fauldray...jamais ne faillira"
Homo Platoregimontis
yarabundi a écrit Eh que je me sentais misérable. je me trouvais minable de ne pas avoir ce courage. Je ne peux même pas décrire la légèreté que j'ai ressenti le jour où je suis parti. Une certaine légèreté et une crainte en même temps : la peur de cette nouvelle situation. La paeur de savoir que je devais reconstruire ma vie ; l'effort de le faire.
yarabundi a écrit C'est moi qui suis parti : à Noël il y a bientôt trois ans. Elle m'a frappé avec un objet devant mon fils. Même si ma vie n'était pas menacée à ce moment-là (elle ne m'a pas blessé -sauf peut-être dans mon orgueil), j'ai tout de même compris que si elle n'hésitait pas à monter d'un cran dans nos relations déjà envenimées, 'elle ne s'arrêterait pas là- ou alors c'était moi qui engendrait l'accélération de la violence. Alors je suis parti. Deux minutes après qu'elle m'eût frappé, j'étais parti pour ne plus jamais revenir.
il faut souvent ce genre de petit declic....j ai vecu à peu pres la meme chose à un degré moidre vu que je suis jeune, je n avais pas d enfants avec et que cela ne faisait que 1an et demi que l on vivait ensembre...
mais les 2 derniers mois c etaient l enfer, je ne sais pas si c est elle qui avait changé ou moi qui n avais plus les meme attentes tout cela pour dire que tous les soirs c etait disputes au point où j angoissais comme un malade de la station de metro à ma porte...et un soir c est allé trop loin et je l ai gifflé...premiere fois que je leve la main sur une fille...là j ai pris conscience que ca allait trop loin j ai pris mon sac et suis parti. Je me suis finalement rendu compte que c faisait quelques mois que je ne l aimais plus et que j etais resté juste pour l appart (ben oui à Paris c est pas evident alors quand t en as un bien ca fait chier de le lacher )