message posté le 5 déc 2006 à 22h16
La ville d'Arleem fut fondée par le Cardinal Hollandais Joseph Arleem en une froide journée de Septembre 1785.
Bien ancrée sur le lit du Fleuve Avalon, elle ne connut pas un développement spectaculaire, grimpant jusqu'à 10.000 habitants puis redescendant à 5.000. Elle oscilla ainsi pendant à peu près 100 ans, peu aidée par le flux migratoire quasi inexistant en provenance de la Mère Patrie et par les maladies, nombreuses dans ce coin isolé du monde, contrairement aux autres villes du pays, qui elles se développaient à un rythme effréné.
En juin 1869, elle fut envahie par les Allemands, qui rasèrent la plupart des édifices hollandais et la renomèrent Onyah, en souvenir du Patriarche des Colons, disparu quelques mois plus tôt.
Intégrée au pays en 1919 après la Première Guerre Mondiale et l'abandon des Colonies Germaniques, Onyah ne s'est cependant pas développée correctement, gardant sa réputation de petit bourg de Province, isolé et sans intérêt.
Aujourd'hui, la ville compte à peine 25.000 habitants, loin des grandes métropoles du pays de plusieurs millions d'habitants.
Elle a su néanmoins garder un patrimoine architectural rare sous ces latitudes et n'a pas cédé aux sirènes du béton (en même temps, pour quoi faire, à 25.000 habitants hein?).
Redynamisée et mise en valeur, Onyah se tourne aujourd'hui vers l'avenir, bien décidée à faire découvrir à la Nation les charmes de la pierre ancienne.
Place aux images... je ne suis que moyennement satisfait de mon travail, alors il y aura quelques petites améliorations à fournir!
Alexanderplatz:
Il s'agit d'une petite place aménagée à même les quais, pour le plus grand plaisir des citadins.
Le Porte d'Onyah et le Pont St Jean:
Porte d'entrée de la ville.
L'immeuble des douanes:
Onyah étant une ville maritime, les douanes ont été installées dans cette immeuble flambant neuf et d'une hauteur sans commune mesure avec le reste de la ville ancienne. C'est, pour l'instant, la principale porte d'entrée de la ville, il lui fallait donc un symbole fort.
L'Eglise Saint Baptiste:
Dans son écrin de verdure.
Rue de l'Hôtel de Ville:
Voilà, vu le poids des images, c'est tout pour aujourd'hui.
Que pensez-vous des quais réaménagés?
Bien ancrée sur le lit du Fleuve Avalon, elle ne connut pas un développement spectaculaire, grimpant jusqu'à 10.000 habitants puis redescendant à 5.000. Elle oscilla ainsi pendant à peu près 100 ans, peu aidée par le flux migratoire quasi inexistant en provenance de la Mère Patrie et par les maladies, nombreuses dans ce coin isolé du monde, contrairement aux autres villes du pays, qui elles se développaient à un rythme effréné.
En juin 1869, elle fut envahie par les Allemands, qui rasèrent la plupart des édifices hollandais et la renomèrent Onyah, en souvenir du Patriarche des Colons, disparu quelques mois plus tôt.
Intégrée au pays en 1919 après la Première Guerre Mondiale et l'abandon des Colonies Germaniques, Onyah ne s'est cependant pas développée correctement, gardant sa réputation de petit bourg de Province, isolé et sans intérêt.
Aujourd'hui, la ville compte à peine 25.000 habitants, loin des grandes métropoles du pays de plusieurs millions d'habitants.
Elle a su néanmoins garder un patrimoine architectural rare sous ces latitudes et n'a pas cédé aux sirènes du béton (en même temps, pour quoi faire, à 25.000 habitants hein?).
Redynamisée et mise en valeur, Onyah se tourne aujourd'hui vers l'avenir, bien décidée à faire découvrir à la Nation les charmes de la pierre ancienne.
Place aux images... je ne suis que moyennement satisfait de mon travail, alors il y aura quelques petites améliorations à fournir!
Alexanderplatz:
Il s'agit d'une petite place aménagée à même les quais, pour le plus grand plaisir des citadins.
Le Porte d'Onyah et le Pont St Jean:
Porte d'entrée de la ville.
L'immeuble des douanes:
Onyah étant une ville maritime, les douanes ont été installées dans cette immeuble flambant neuf et d'une hauteur sans commune mesure avec le reste de la ville ancienne. C'est, pour l'instant, la principale porte d'entrée de la ville, il lui fallait donc un symbole fort.
L'Eglise Saint Baptiste:
Dans son écrin de verdure.
Rue de l'Hôtel de Ville:
Voilà, vu le poids des images, c'est tout pour aujourd'hui.
Que pensez-vous des quais réaménagés?
