Juste à l’aboutissement de la rue St jean, la vue s’élargie.
Une grande place de pavés anciens s’ouvre a nous.
Premières vues.
La rue saint Étienne faisant l’angle.
Une fontaine avec un point d’eau potable au pied.
L’apparition de Fourvière, évidement construite dans l’axe de la cathédrale Saint jean que voici :
Une façade bricolée sur de la épierrasse moyenâgeuse surplombée d’un bâtiment typiquement art architectural du 19eme siècle :
Voici quelques façades en face de St jean.
Rapprochons nous :
Ornements et sculptures médiévales, font la richesse de cette façade gothique.
Nous voici a m’intérieur, les gros piliers de soutènement règnent, comme dans toute cathédrales médiévales.
Les vitraux au fond du corridor :
Et ceux du fond du couloir principal :
Une jolie prise de vue d’arcades.
Le grand livre évangélique de pierre :
Contres plongés sur les arcades :
De beaux arcs-boutants gothiques :
Vitraux restaurés médiévaux :
Un effet sur les vitraux d’une arcade supérieure :
Vitraux :
Vues lumineuses tout a fait adorables par leurs perspectives.
Un plafond sublime.
La rosasse de la façade extérieure côté place, vue de l’intérieur :
Non de… j’adore cette vue :
Vitraux arcades :
Le cœur de la cathédrale, demie voûte intérieure vue de coté :
Dans le coté droit de la croix :
Une vue qui représente la rossasse de demi, du coté gauche de la croix.
Une vue d’ensemble pour mieux situer.
Vue d’ensemble coté gauche, une vue que j’adore aussi, même si elle manque de perspective.
Dernière image de l’intérieur le bout du corridor droit.
Aucune source de documents sollicitée pour cette série.
Remarque : toutes les photos ont été prises en mode manuel sur trépied car avec mon vieux compact il faut passer un moment à régler chaque vue pour le meilleur des rendus.
Merci encore pour vos anciens et vos futurs commentaires.[oeil]
En espérant que cette série vous aura autant plu.
" Il est difficile d'attraper un chat noir dans une pièce sombre, surtout lorsqu'il n'y est pas. "
" Le monde est une comédie pour ceux qui pensent, une tragédie pour ceux qui sentent. " Horace.